chapitre III : Grindelwald

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Il faisait bon d'être  de nouveau libre et surtout jeune ! Depuis le temps qu'il était enfermé dans une geôle, de sa propre fabrication ! , il en avait presque oublié la saveur de l'air pur, de la vie en soi et surtout de la magie

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Il faisait bon d'être de nouveau libre et surtout jeune ! Depuis le temps qu'il était enfermé dans une geôle, de sa propre fabrication ! , il en avait presque oublié la saveur de l'air pur, de la vie en soi et surtout de la magie. Qu'il était agréable d'y regoûter ! Son regard pâle s'attarda encore un peu sur la forêt de l'Est, cette magnifique Forêt Noire, qui s'étendait devant lui et l'appelait vers un ailleurs que peu d'humains (moldu comme sorciers) ne pouvaient imaginer car trop faibles et trop peu imaginatifs pour cela. Il respira à fond cet air de liberté, appréciant le vent qui soufflait. A le voir, il semblait la réplique exact du Wanderer de Gaspar Friedrich, sauf que ses cheveux était d'un blond pâle presque blanc et qu'il n'était pas seul. A ses côtés, l'observant avec des yeux profonds et calculateurs, des yeux emplis de vices, se tenait avec mépris, le célèbre Serpentard à qui il devait cette bienheureuse liberté.

Se détournant enfin du paysage, il fit face à son compagnon de fortune, croisant nonchalamment les bras, son index caressant légèrement ses lèvres, comme s'il réfléchissait. Ses yeux pâle scrutaient l'autre avec intelligence . Tous les deux savaient à quoi s'en tenir avec l'autre mais il n'empêchait pas Grindelwald de se demander pourquoi Serpentard avait prit le risque d'affronter un autre rival, en le faisant s'évader, en cours de route. D'autant plus qu'il était un sorcier intelligent, peu apte à ne pas faire les chose inconsciemment. Le mystère restait entier et le silence s'appesantissait.

« Que savez-vous du directeur actuel de l'école ? » demanda le Fondateur tout de go.

Le mage noir s'était attendu à toutes les possibilités inimaginable et à des négociations mais pas à ce genre de question.

« Pourquoi Albus Dumbledore vous intéresse-t-il ? »

« Ne jouez pas au Juif avec moi, Messire. Je ne vous ai pas fait évader de cette forteresse pour palabrer inutilement. »

« Vous auriez pu tout aussi bien me laisser vieillard. Or vous ne l'avez pas fait ce qui signifie que j'ai part à vos projets. Je suis donc libre de ne pas répondre. »

« Vous oubliez que vous avez une dette envers moi. Grâce à moi vous êtes libre et jeune. »

« Ce qui devait être, a été. Tout comme n'aurait pas été. L'avenir est relatif. »

« Vous avez le don de vue ? »

L'étonnement était visible. Grindelwald lâcha un sourire énigmatique.

« C'est fort possible. »

Puis inspiré par de sombre dessein, il reprit d'une voix charmante, comme un homme parlant à un vieil ami :

« Je sais qui fut Dumbledore mais ce qu'il est présentement... les nouvelles extérieures ne parvenaient guère jusqu'à ma cellule, dans cette forteresse fort lointaine. » fit-il semblant de justifier.

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