Dix jours d'amour pur [Todomomo]

Jour 10

⚠ Attention lemon maladroit ! ⚠
Ps: si vous ne voulez pas lire cette atrocité j'ai marqué la fin plus bas. (**)

Ils étaient dans la salle de classe, seuls, le soleil commençait à se coucher. Quand le jeune homme aux cheveux bicolores, rassembla tout son courage pour parler à sa bien-aimée.

- Momo.

- Oui... Todo... Shouto-san.

- Il y a une chose que je voudrais te dire.

- Qu'est-ce ? Dit-elle les joues rouges.

- Tu sais que je t'aime ?

- Ah oui, effectivement, fit-elle, elle lui sourit. Moi aussi Shouto-san.

Il ne répondit pas, ses iris vairons la regardait d'une forte intensité, et il mit sa main sur la joue délicate de la déléguée, qu'il caressa tendrement.

Il s'approcha peu à peu de son visage et toucha les douces lèvres fruitées de la jeune femme. Et malgré la surprise, la fille renforça le baiser, leurs langues s'en mêlèrent, et leurs bras se resserèrent pour mieux se coller. Leurs mains glissèrent pour découvrir la forme du corps de l'autre. Le bicolore enleva la veste de la noiraude et déboutonna la chemise de celle-ci tout en lui donnant de doux baiser sur le cou. Enivrée de baiser la jeune femme se laissa transporter sur une table où elle s'assit et retira la chemise de son amoureux après avoir enlever sa veste.

Les mains tièdes du bicolore s'aventura sur sa forte poitrine, effleura son soutien gorge et passant sa main en dessous et il serra un sein, puis deux tout en l'embrassant langoureusement. Elle se crispa, laissant apparaître un petit bruit. Et il dégraffa son soutien gorge et profita pour lui donner mille baiser. La respiration haletante de la déléguée quand celui touchait son corps la rendait joyeuse, elle profita pour toucher le beau dos sculpté de son âme sœur. Elle glissait fines mains un peu partout sur son corps et lui remonta jusqu'à sa bouche pour l'embrasser. Et elle empoigna de ses mains les fesses de son amoureux et le rapprocha d'elle avec ses jambes dodues. Sa jupe plissée se détacha restant seulement sa culotte.

Et elle défit la ceinture puis fit tomber le pantalon. Il s'en débarrassa une bonne fois pour toute et posa un genou puis un autre la table et fit tomber la jeune fille sur le dos. Mais au lieu de la dureté du bois des bureaux c'était la douceur d'un matelas. Il retira d'une main l'élastique qui était accroché dans les cheveux de sa belle et sa longue chevelure de jais s'éparpillèrent sous l'oreiller. Elle le regardait avec de grands yeux, elle avait des palpitations dans son ventre, son cœur ne cessait pas de battre à cent à l'heure depuis tout à l'heure. Elle était rouge et elle avait chaud mais elle était contente. Elle caressa la peau brûlée de son amant et elle descendit jusqu'à son torse.

- Je t'aime tellement Shouto, tu n'as pas idée...

- Momo... si tu savais l'étendue de ce que je ressentais pour toi. Tu es une étoile qui illumine ma vie et tu m'as fait découvrir un sentiment que je n'aurais sûrement jamais connu. Alors je t'en remercie. Il lui sourit.

- Shouto. Elle effleura sa joue, puis ses lèvres avant de l'embrasser à pleine bouche. Et sans savoir pourquoi des larmes coulerèrent sur ses joues. Elle savait que ce n'était qu'un rêve et que ce moment de tendresse elle ne pourrait le vivre avec le vrai.

Alors elle se laissa envirer, désirer, par toutes ses délicates caresses qui ne cessaient de lui faire plaisir, un plaisir imaginaire mais si réel. Il embrassa son ventre et avec ses dents il craqua la petite culotte de sa douce. Et le train rentra dans le tunnel. Une fois, deux, trois fois à une vitesse modérer, on pouvait voir que les deux lycéens prenaient du plaisir. Et ils jouissirent.