undecimo capitulo

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GRIEZMANN
barcelona, españa

Mariela essuie doucement ses larmes et hoche la tête

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Mariela essuie doucement ses larmes et hoche la tête.

_ « Karsten... est la femme que j'aime, dont je suis éperdument amoureux. Tu es une personne que j'apprécie beaucoup et je te remercie... de m'avoir apprécié, d'avoir été là pour moi. » lui dis-je

Elle se lève sans rien me dire puis part. Définitivement. Je soupire, je suis triste car c'est une personne que j'apprécie beaucoup. Je prends mon téléphone portable pour appeler Karsten.

_ « Hey, comment tu vas ? »
_ « ¡ Está bien ! »
_ « Je viens te voir, tu es là ? »
_ « Oui, je suis à la maison, viens. »

*

Elle vient m'ouvrir la porte, j'entre après avoir embrassé ses lèvres. Je me sens automatiquement bien. Ce qu'elle dégage m'apaise et élimine tout le stress.

_ « J'ai parlé à Mariela. » dis-je « C'est fini entre elle et moi, elle l'a... mal pris. »

Je la suis dans la cuisine, elle me sert du jus de fruits frais qu'elle a l'habitude de faire.

_ « Je la comprends entièrement. » marmonne t-elle avec son fort accent « No es fácil. » dit-elle en continuant de faire ce qu'elle faisait « Elle était probablement amoureuse de toi. »
_ « Je ne pense pas. »

Elle roule des yeux en posant une assiette devant moi, je la remercie.

_ « Tu ne te rends pas compte... que c'est facile de t'aimer. Trop facile. » réplique t-elle

Je viens face à elle, je prends son visage entre mes mains et admire sa beauté. Je n'arrive pas à croire qu'elle me soit revenue, qu'elle accepte de tourner la page sur ce que je lui ai fait.

_ « Casarte conmigo, Karsten. (Épouse-moi, Karsten) » lui dis-je
_ « Antoine... »
_ « Je t'aime de tout... tout mon cœur. »
_ « Moi aussi... moi aussi, amor, mais... nous devons prendre notre temps. » dit-elle « Nous ne sommes même pas ensemble. »

Elle caresse mon torse avec un sourire.

_ « Danos tiempo. (Donne-nous du temps) » souffle t-elle

Je la plaque contre moi, plongeant mes mains dans ses cheveux.

_ « Quand le moment viendra, voudras-tu te marier avec moi ? » lui demandé-je
_ « Nous verrons au moment venu. » répond t-elle « Mais... Je ne me vois mariée à personne d'autre. »

Elle caresse mon visage en souriant.

_ « Je ne me marierai qu'avec toi, Nino. Parce que je n'aime que toi et je continuerai à t'aimer, même si... tu es une personne compliquée avec beaucoup de défauts. Je t'aime comme tu es, mon petit menteur malhonnête. »

sábanas de satén | antoine griezmann Où les histoires vivent. Découvrez maintenant