Crevant de faim, je le décide a prendre une pause et aller me chercher un truc a manger.
Sur le chemin j'ai un sentiment assez étrange, comme quand on a l'impression que quelqu'un nous suit...
Avec toutes les mises en garde de Taylor je suis devenue parano.
Je me prends un sandwich et un thé glacé.
En sortant, je croise un homme, tête baissé qui me bloque le passage.
- Excusez moi dis-je en le decalant pour essayer de passer sur le côté.
Il suit mon mouvement et me bloque de nouveau.
Quand il releve la tête je me fige, paniquée.- Mon frère a vraiment bon goût me dit-il. Ta peau à l'air tellement douce, tu n'imagines pas tout ce que ça m'inspire.
Je regarde de tout les côtes pour chercher de l'aide.
- Oh je te ferais rien... En tout cas pas maintenant.
Tu seras mon chef-d'oeuvre.Il passe sa langue sur ses lèvres de manière tellement obscène que ça me soulève le coeur de dégoût.
- Tu diras a mon frère que je le salue
Quand il fait demi tour je me dis que c'est l'occasion, qu'il faut que je fuis mais mon corps ne m'obeit pas.
Quand je me reprend enfin je cours jusqu'a mon bureau et m'y enferme.
Quand j'aperçois la rose noir posée sur mon bureau je ne me rends pas compte que je hurle de terreur.
Tremblante je prends mon téléphone et appel Taylor.
" - Bonjour chérie répond-il.
- T...t... Taylor begayais-je sanglotante.
- Bébé ? Laura ? Qu'est ce qu'il y a ? Cria-t-il.
J'essaye de parler mais je n'y arrive pas.
- Bébé ! Putain dit moi ce qui se passe merde !
- Ton frère murmurais-je. ..
- Enferme toi tu m'entends ? On arrive ! Enferme toi et reste cachée, tu n'ouvres a personne jusqu'a ce que j'arrive. "
Quand il arrive et me crie de lui ouvrir la porte je lui saute dans les bras.
Il me serre fort et me chuchote pleins de mots doux en me caressant les cheveux.Apaisée, je leur montre la rose noir du doigt.
Taylor hurle et exige que je lui raconte tout.
Une fois mon recit terminé il me dit.
- Tu vas venir t'installer au club, tu travailleras de la bas. Il te fera rien tu m'entends ? Regarde moi mon coeur, je ne le laisserai pas t'approcher.
Je le tuerais, je te le jure.Arrivé au club je monte directement dans ma chambre, Taylor sur les talons.
Je me deshabille et me dirige vers la salle de bains.
J'entre dans la douche et l'eau commence a couler le long de mon corps.
L'eau lave la saleté dont ce monstre m'a couvert de son regard.Je sens Taylor se coller a mon dos.
- Je suis tellement désolé ma cherie.
Ne... ne me quitte pas... s'il te plaît.
Je te jure que je te protégerais. Murmura-t-il.- Je n'ai aucune intention de te quitter Taylor repondis-je en me tournant face a lui.
Tu n'es pas responsable de ses actes, tu n'es pas responsable de sa folie.Je passe mes bras derrière son cou et les siens entourent ma taille.
- J'ai juste... eu très peur, son regard... seigneur. C'est son regard qui m'a fait le plus peur.
Je sais que tu me protégeras, tu n'as pas a m'en convaincre.
J'ai confiance en toi Taylor.Il pose sa bouche sur la mienne pour un baiser tellement tendre, tellement doux...
- J'ai besoin de te sentir en moi chuchotais-je en me détachant de sa bouche.
Il nous fait sortir de la douche, me sèche et m'entraine sur le lit.
Je m'allonge et il me rejoint, se plaçant entre mes jambes.
Il relève mes mains au dessus de ma tête, sans cesser notre baiser.
Je relève mes jambes et les passent autour de sa taille.
Une main retenant mes 2 mains, l'autre me caressant la hanche il me pénètre.
Il me fait l'amour, je ressens tellement de chose à ce moment la que je cède enfin.
- Regarde moi lui dis-je.
Quand il releve la tête en accentuant ses coups de reins et je lui livre enfin ce que je ne lui avais jamais dit.
- Je t'aime Taylor.
Ses yeux s'embuent et il cache son visage dans mon cou.
Il accélère ses coups de boutoir , rapidement il nous mène à la jouissance.
Je jouis la première en hurlant son prénom, quand il jouit il me crie son amour, répétant inlassablement " je t'aime ".
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A.O.D Tome 2
AdventureJe suis le meilleur dans mon domaine, c'est bien la seule chose piur laquelle je suis doué à vrai dire. J'a toujours été passionné par les ordinateurs, le monde que je m'y suis créé me permettait d'échapper à la réalité. Il a fallu que j'ai 29 a...