Au moment où il s'endormit, Sherlock avait presque oublié son « problème » de tantôt mais malheureusement pour lui son corps ne l'avait pas oublié.
Il tomba dans un profond sommeil et ses rêves furent hantés par Molly.
Ils se dirigèrent dans le couloir et cette fois quand il la pressa contre le mur il n'eut pas besoin de s'équilibrer : sa jambe allait très bien. Il se pencha et releva sa longue jupe vers ses hanches, puis la souleva facilement pour que ses jambes nues et minces puissent s'enrouler autour de sa taille.
Il se sentait dur et désespéré et voulait être en elle. Ce n'était qu'une question de secondes avant qu'il ne se libère dans son pantalon alors il poussa dans son centre chaud et humide. Sa bouche était sur lui, sa langue se battant contre la sienne, son goût l'enivrant alors qu'il s'enfonçait de plus en plus profondément en elle. Ses gémissements se mêlèrent aux siens alors qu'il pouvait sentir sa libération se construire délicieusement.
Il caressa sa poitrine de sa main, sentant son mamelon durcir sous son toucher et les bruits qu'elle faisait... chaque gémissement et halètement l'excitait encore plus.
Juste avant sa libération, il sentit qu'elle convulsait autour de lui, son nom tomba de ses lèvres et le fit basculer. Il sentit ses couilles se serrer et son cerveau se vider avec plaisir lorsqu'il sentit sa semence se répandre en elle.
Il vint avec un début et un gémissement en sentant les résidus collants sur sa chemise de nuit et son estomac. Il s'assit en jurant à voix basse alors que l'un des autres hommes lui disait de « se la fermer ».
Il grimaça passant la chemise de nuit part dessus sa tête, essuyant la pagaille sur son estomac avec avant de la jeter sur le sol, puis il passa ses mains à travers ses cheveux humides et moites et sur son visage alors qu'il fermait les yeux et repensait à son rêve. Il n'avait pas été affecté par une femme depuis qu'il était adolescent et cela le troublait et l'effrayait. Il avait toujours cru que tenir à quelqu'un n'était pas un avantage et pourtant, ici, non seulement il se souciait des autres, mais il ne faisait rien pour les empêcher de s'approcher. Il n'était même pas sûr que ce fût un choix qu'il puisse faire parce que bien que l'idée d'être avec elle l'effrayait, la pensée qu'elle soit avec quelqu'un d'autre lui donnait mal au ventre.
MHMHMHMHMHMHMHMHMHMHMH
Sherlock n'était pas le seul à souffrir d'insomnie. Molly n'arrêtait pas de repasser dans sa tête encore et encore leurs baiser. Elle savait qu'elle devrait avoir honte de l'avoir laissé la toucher et l'embrasser ainsi. C'était tellement déplacé et contre tout ce que sa mère et son père lui avaient appris sur la bienséance, mais quand elle était avec lui... oh, quand elle était avec lui, le reste du monde, avec toutes ses restrictions et ses règles, semblaient tout simplement disparaître.
Elle avait eu l'intention de lui demander de lui donner quelques assurances avant de céder à ses baisers mais il ne lui avait pas laissé une chance et, que Dieu lui vienne en aide, elle avait aimé à quel point il avait été fort, lui volant exactement ce qu'il voulait. Elle n'avait jamais cédé à une autre personne comme elle l'avait fait avec lui. Il la captivait et l'excitait, lui faisant ressentir des choses qu'elle n'avait jamais ressenties auparavant.
Elle écoutait la respiration régulière de Mary dans le lit à côté d'elle. Elle s'était confiée à elle une fois de plus et Mary avait juste rit et secouer sa tête et lui avait dit qu'elle semblait avoir ça dans la peau. Quand Molly avait demandé ce que Mary « ça » était Mary avait juste répondu « l'amour, Molly, l'amour. »
Elles étaient toutes les deux aussi excitée au sujet de leur pique-nique à venir et Molly avait décidé de porter sa nouvelle et plus belle robe. Elle était très à la mode pour Londres mais un peu risqué pour le Hampshire avec un ourlet à mi-mollet. Elle était faite à partir d'un coton fin et crème foncée et était ornée de petits motifs de cerises rouges. Mary avait joint ses mains et crié de joie quand elle l'avait vue. Elle dévoilait les délicates chevilles de Molly à la perfection, surtout quand il y avait tant de bas et ses meilleures chaussures à talons noirs ; un grand changement par rapport à ses vêtements de travail plus ternes et ses bottes plates.
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Battle For Love (tr)
Fanfiction[Traduction de MrsMCrieff] Vers la fin de la Première Guerre Mondiale, Sherlock et John sont blessés à la guerre et renvoyés en Angleterre pour se remettre. Qu'arrive-t-il quand Sherlock insiste pour que Molly soit son médecin ? Sherlolly bien sûr !