Après un bon week-end a me reposer et loin de tous mes problèmes.
Je rejoins mon poste de travail et retourne faire mes tâches habituel. Essayant un maximum d'oublier mon patron ce qui est compliquer en soit puisque au dernière nouvelle je travail directement pour lui. Pour éviter de devoir lui parler, ma technique est a mettre au point ; fermer la porte à clé et ne parler au personne du service que par mail ce qui signifie que même mon téléphone est hors d'usage de quoi être tranquille au moins une journée.
Mais c'est juste fuir les problème et les remettre a plus tard. Un souffle sort de ma bouche. Je ne sais pas quoi faire ni comment réagir avec cet homme qui me sert de patron. Parce que même en parlent avec le personnes par mail. LUI il a toutes les clés des salles de travail. Donc si IL y a envie de me parler il le pourra. Même contre mon grès. Je voudrais tellement en parler, annoncer un relation entre une employer et son patron n'est jamais une tâche facile.Mais je ne pense pas qu'il viendrait ouvrir la porte avec ces propres clés, ça serrait tellement déplacer de sa part. Mais bon je ne suis pas venu ici pour pensez a tous çà mais plutôt à ouvrir et aérer mon cerveau. Après tout j'ai déjà pris assez de retard comme ça dans mon travail ce n'est pas pour en rajouter encore. Sinon mon poste sera peut sans moi dans les temps qui suivront. Reprenant les mails un-à-un, par l'aide de plusieurs post-it et d'un stylo, je m'arme. Sur le post-it jaune ce qui peut attendre et sur le bleu ce qu'il est urgent de faire. Après deux bonne heure a déchiffrer tout ces mails plus incorporant les uns que les autres, je peux enfin commencer.
Je ne vais jamais m'en sortir. Il n'y a que deux travaux sur le post-it jaune mais a l'inverse j'ai 5 post-it bleu avec au moins dix idées sur chaque. Un autre souffle passe a travers les lèvres entrouverte. Ma tête se dirige d'elle même en direction de mon bureau. Ne vivant pas dans le monde des Smyler la chance me couronne enfin on ne peux distinguer une goûte sur le coins de ma tête. Le licencient ou une lettre de démission serait plus radical. J'ai plus qu'à chercher un nouveaux emploi. Alors voyons le bon côté avec un peu de chance, je m'entends bien avec mon grand patron il me sauverais bien la mise non.
Je vois au même moment un employer au téléphone avec une tête assez indescriptible. Au final c'est peux être lui qui m'en verra voir le plus de toute les couleurs. A je suis fichu c'est bon je peux commencer mon carton mon heure a sonner. Non Ana c'est le moment ou il faut se relever et montrer qui est la plus forte. Aller courage ce n'est pas une petite surcharge de travail qui va faire peurs à une Smith. Que toute les têtes adorable de James parts de mon cerveaux me laissant tout le loisir de me concentrer et de montrer de quel point je me chauffe.
Après quelque minutes, mon téléphone se mets a vibrer. Ce n'est pas vraiment le moment de répondre si c'est important je rappellerais dans une heure à ma pause déjeuner. Mais même après le temps habituelle d'un appel, il ne s'arrête pas pour autant. Ou j'en suis autant décrocher.
Je récupère mon téléphone poser préalablement sur mon bureau coté écrans. Une fois dans ma mains le nom afficher sur l'écran m'empresse de répondre.