Chapitre 17

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— Es tu certaine de ta décision ? S'enquit Maximiliano en la fixant de son regard sombre.

— Je suis prête à tout pour sauver l'entreprise de ma mère, tu devrais t'en douter, Marmonna la jeune femme.

Saissisant le stylo qui lui avait été attribué par l'un des garde de corps, Askia signa le contrat en respirant un grand coup. Cette décision était sûrement la plus cruciale de sa vie et elle allait peut-être le regretté plu tard mais  pour le moment rien ne comptait plus que de sauver son entreprise. Maximiliano n'avait piper mot à propos de leur petite escapade à la clairière qui s'était terminée en boule de gomme. Rien que d'y penser, la jeune anglaise se maudissait. Comment avait elle put être aussi écervelée et laissée cette décharge d'émotions fortes lui faire dire toutes ces aneries ? En attendant elle détestait la barrière  que le milliardaire avait installé entre eux. Ils étaient dans la même pièce et pourtant elle paraissait invisible à ses yeux. A chaque fois que son regard croisait le sien, celui-ci prenait la peine de l'eviter farouchement.

C'était presque comme si il agonisait en sa présence. Comment se faisait il que trois petits mots ait changer tout entre eux ? Se demanda la jeune femme. Il commençait peu a peu à s'ouvrir à elle, ils découvraient leurs points communs mise à part le désir vorace qu'ils se portait l'un à l'autre. Elle avait aimée découvrir cet aspect sensible et attachant de sa personnalité et non ce masque d'homme effroyable qui abritait sa vraie nature. Ce dernier, qui discutait avec son avocat un certain maitre Cruz, ne prêtait aucune attention à Askia. Elle eu un pincement au cœur tandis que son ventre se tordit. Elle avait encore quelques documents à signer et elle en avait encore pour environ une heure avec le jeune homme. Mais elle ne se croyait pas capable de supporter une telle froideur à son égard.

— Maitre Cruz apporte le reste des documents dans une demi heure en attendant aimerais tu manger quelque chose.

— Volontiers.

Elle le suivit jusqu'à la terrasse éclairée et lumineuse surplombée par un beau jardin exotique. Au centre se tenait une belle table en bois sculpté agrémentée par des chaises tout aussi sculptées aux nuances boisées. Une bouquet de fleurs trônait au milieu de la table. Un harmonieux mélange de tulipes et de roses rouges.

— Je ne t' aurais jamais crue fascinée par les plantes. Elle passa une main dans ses cheveux genée.

— Elles m'aident à me changer les idées, le jardinage m'as été transmis par ma mère, L'expliqua-t-il sans pour autant la regarder.

— Ta mère biologique ou adoptive ? S'entendit demander la jeune femme.

— Je ne parle pas de ce sujet là, Askia. Son ton était si monotone et dur que l'anglaise se tut, sidérée.

— Maximiliano je...crois que tu devrais pouvoir parler de ta mère car c'est la seule manière de ne plus souffrir, moi aussi je suis passée par là et la dénigrer n'est sûrement pas le bon moyen de l'oublier.

—  Assez ! Tonna-t-il en cognant fortement la table renversant des gouttes d'eau provenant du vase. Qu'en sais tu ?! Toi au moins ta mère ne s'est pas suicidée parce qu'elle en avait marre de toi ?! Elle t'a tout simplement laissée et toi tu n'as pas l'impression d'avoir fait quelque chose de travers ou de l'avoir tuée. Tu ignore totalement ce que je ressens alors je t'interdis catégoriquement de me juger.

— Mais je voulais-

— Arrête de te donner beaucoup trop d'importance veux-tu, tu es comme toutes les autres femmes que je baise et je jette alors ne te crois pas plus importante que tu ne l'ai. La seule et unique chose qui nous lie c'est les affaires et rien d'autre.

"Le grand méchant Loup" T1 (En pause)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant