[ Conversation privée ]IDA a rejoint la conversation.
IDA : Monsieur Fonollossa.
Berlin : Bonjour. IDA ? Un acronyme ?
IDA : Ça ne vous regarde en aucun cas. J'aurais besoin de votre participation.
Berlin : Pour Murillo.
IDA : Oui. J'ai besoin que vous la fassiez venir à un endroit précis dans deux semaines. À la grande fontaine de Madrid, le 12 décembre.
Berlin : Elle est têtue.
IDA : Vous saurez la convaincre.
Berlin : Elle est enceinte.
IDA : Ça vous cause des scrupules ?
Berlin : C'est l'enfant de mon frère.
IDA : Et avec un tel enfant, il ne l'oubliera jamais. Votre frère est jeune, il en aura d'autre.
Berlin : Il faut qu'il croit à un accident.
IDA : Une voiture ça ira ? Un tragique accident.
Berlin : Parfait.
IDA : Alors ça sera une voiture. Je vous donnerais les instructions le jour même.
Berlin : J'ai toute les raisons de la haïr. Mais vous ? Vous en prenez de la peine pour assassiner une petite flic.
IDA a quitté la conversation.
————
[ Conversation générale. ]
Professeur : C'est le grand départ pour moi. Je serais absent deux semaines. C'est possible d'espérer un peu de calme d'ici là ?
Berlin : Bien sur. Tu nous connais.
Professeur : Tu as balancé Tokyo d'un braquage parce que je ne répondais pas au téléphone.
Berlin : J'ai balancé Tokyo d'un braquage parce que c'est une sale petite garce qui le méritait. Mais je comprend ta confusion petit frère.
Tokyo : Je vais te butter.
Rio : Je t'aiderais princesse.
Denver : Enfin Rio t'es bête Tokyo c'est pas une princesse.
Rio : Ah ouais ?
Denver : Bah non c'est une capitale.
Tokyo : Moi tu m'as balancé, mais lui non.
Berlin : Ne t'inquiètes pas pour ça je l'ai beaucoup regretté.
Denver : Eh mais pourtant je t'ai aidé !
Nairobi : Non tu n'as rien comprit et tu as suivit le mouvement mais on te pardonne.
Professeur : Je disais.
Denver : Oui pardon prof. On sera hyper sages.
Nairobi : On s'arrangera pour que ton frère et ta femme ne s'arrachent pas les yeux.
Berlin : Comme si le sexe faible pouvait m'empecher de faire quoi que ce soit...
Nairobi : Correction. On s'arrangera pour aider ta femme à arracher les yeux de ton frère.
Raquel Murillo : Non. Nous sommes en trêves. Personne n'arrache les yeux de personne.
Berlin : Certes.
Nairobi : Très déçue Inspectrice. Les hormones vous affaiblissent.
Raquel Murillo : Je peux encore voir mes pieds, et donc potentiellement venir vous en mettre un dans le nez Mademoiselle Nairobi.
Nairobi : Ne m'appelez pas comme ça, je vous l'ai déjà dit. Ça donne à mon corps des envies étranges.
Denver : Bien dit Nairobi !
Monica : Ne faites pas attention il n'a rien comprit.
Denver : Bien dit Monica !
Tokyo : Il est quand même sérieusement attaqué.
Professeur : Je suis tout à coup très effrayé de vous laisser.
Raquel Murillo : On s'occupera d'eux.
Berlin : On ?
Raquel Murillo : Vous et moi.
Berlin : Vous savez que je ne peux pas vous voir en peinture ?
Raquel Murillo : Je sais. C'est réciproque.
Nairobi : J'ai tellement hâte du repas de noël.
Denver : Bien dit Nairobi !
Monica : Quand ça parle de nourriture, il est toujours d'accord.
Nairobi : Très sexy ton bébé géant Monica.
Professeur : Seigneur.
Berlin : Ne t'en fais pas Sergio. On s'occupera d'eux. C'est ça, la famille.
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La casa de papel sur Facebook
FanfictionC'est le bordel, c'est multi-ship, c'est drôle ( j'espère ) et c'est dans le déni. Bise bise