Partie 21

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[ Conversation privée ]

IDA a rejoint la conversation.

IDA : Monsieur Fonollossa.

Berlin : Bonjour. IDA ? Un acronyme ?

IDA : Ça ne vous regarde en aucun cas. J'aurais besoin de votre participation.

Berlin : Pour Murillo.

IDA : Oui. J'ai besoin que vous la fassiez venir à un endroit précis dans deux semaines. À la grande fontaine de Madrid, le 12 décembre.

Berlin : Elle est têtue.

IDA : Vous saurez la convaincre.

Berlin : Elle est enceinte.

IDA : Ça vous cause des scrupules ?

Berlin : C'est l'enfant de mon frère.

IDA : Et avec un tel enfant, il ne l'oubliera jamais. Votre frère est jeune, il en aura d'autre.

Berlin : Il faut qu'il croit à un accident.

IDA : Une voiture ça ira ? Un tragique accident.

Berlin : Parfait.

IDA : Alors ça sera une voiture. Je vous donnerais les instructions le jour même.

Berlin : J'ai toute les raisons de la haïr. Mais vous ? Vous en prenez de la peine pour assassiner une petite flic.

IDA a quitté la conversation.

————

[ Conversation générale. ]

Professeur : C'est le grand départ pour moi. Je serais absent deux semaines. C'est possible d'espérer un peu de calme d'ici là ?

Berlin : Bien sur. Tu nous connais.

Professeur : Tu as balancé Tokyo d'un braquage parce que je ne répondais pas au téléphone.

Berlin : J'ai balancé Tokyo d'un braquage parce que c'est une sale petite garce qui le méritait. Mais je comprend ta confusion petit frère.

Tokyo : Je vais te butter.

Rio : Je t'aiderais princesse.

Denver : Enfin Rio t'es bête Tokyo c'est pas une princesse.

Rio : Ah ouais ?

Denver : Bah non c'est une capitale.

Tokyo : Moi tu m'as balancé, mais lui non.

Berlin : Ne t'inquiètes pas pour ça je l'ai beaucoup regretté.

Denver : Eh mais pourtant je t'ai aidé !

Nairobi : Non tu n'as rien comprit et tu as suivit le mouvement mais on te pardonne.

Professeur : Je disais.

Denver : Oui pardon prof. On sera hyper sages.

Nairobi : On s'arrangera pour que ton frère et ta femme ne s'arrachent pas les yeux.

Berlin : Comme si le sexe faible pouvait m'empecher de faire quoi que ce soit...

Nairobi : Correction. On s'arrangera pour aider ta femme à arracher les yeux de ton frère.

Raquel Murillo : Non. Nous sommes en trêves. Personne n'arrache les yeux de personne.

Berlin : Certes.

Nairobi : Très déçue Inspectrice. Les hormones vous affaiblissent.

Raquel Murillo : Je peux encore voir mes pieds, et donc potentiellement venir vous en mettre un dans le nez Mademoiselle Nairobi.

Nairobi : Ne m'appelez pas comme ça, je vous l'ai déjà dit. Ça donne à mon corps des envies étranges.

Denver : Bien dit Nairobi !

Monica : Ne faites pas attention il n'a rien comprit.

Denver : Bien dit Monica !

Tokyo : Il est quand même sérieusement attaqué.

Professeur : Je suis tout à coup très effrayé de vous laisser.

Raquel Murillo : On s'occupera d'eux.

Berlin : On ?

Raquel Murillo : Vous et moi.

Berlin : Vous savez que je ne peux pas vous voir en peinture ?

Raquel Murillo : Je sais. C'est réciproque.

Nairobi : J'ai tellement hâte du repas de noël.

Denver : Bien dit Nairobi !

Monica : Quand ça parle de nourriture, il est toujours d'accord.

Nairobi : Très sexy ton bébé géant Monica.

Professeur : Seigneur.

Berlin : Ne t'en fais pas Sergio. On s'occupera d'eux. C'est ça, la famille.

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