Professeur : Nous n'allons pas passer par quatre chemins, inspecteur Sierra.
Alicia Sierra : Ah ! Le voilà tout calme, tout serein ! Moi qui croyais qu'il serait charmeur, ou novateur au moins.
Professeur : Pourquoi avoir censuré Nairobi ? Qu'avait-elle a dire qui vous gênait tellement ?
Alicia Sierra : J'en avais marre d'entendre sa voix, rien d'autre ! Vous avez remarqué comme elle grogne ? Quel pitbull. C'est peut-être le seul homme que vous ayez engagé !
Professeur : Vous devriez être au lit, Inspectrice. Dans votre état.
Alicia Sierra : Vous devriez être en prison, Professeur, dans votre état.
Berlin : Minable.
Helsinki : Bof.
Denver : Pas terrible.
Alicia Sierra : Bon. J'en ai ma claque que vos petits acolytes pathétiques gâchent notre premier rendez-vous galant.
Berlin : ————- ?
Tokyo : —- ———- ??!
Rio : Merde, elle les bloque, je n'arrive pas à les————-
Professeur : Vous n'aimez pas la critiques, Inspectrice Sierra ?
Alicia Sierra : Je n'aime pas les oiseaux le matin, ni les emmerdeurs en journée ! C'est ma nature, je n'y peux rien.
Professeur : Ça n'arrangera pas votre complexe d'infériorité envers moi, Inspectrice.
Alicia Sierra : MON complexe ! Mais rien que pour cette phrase, je vous censurerais bien aussi.
Professeur : Pourquoi ? N'est-ce pas ça un peu, le fond du problème ? Le moment où c'est devenu personnel ?
Alicia Sierra : Ça n'a absolument rien de personnel. Vous êtes un méchant, je suis une gentille foldingue.
Professeur : C'est tout ce qu'il y a de plus personnel.
Alicia Sierra : Moi qui croyais voir des neurones s'agiter en vous !
Professeur : Vos collègues vous détestent, votre vie se déroule sans que vous ayez la moindre prise dessus. Nous sommes une équipe soudée, qui avons pris notre destin en main. Nous incarnons ce que vous n'avez pas eu le courage de devenir. Quel gâchis. Vous n'êtes pas sans capacités pourtant.
Alicia Sierra : Vous êtes au bout de votre petit raisonnement ?
Professeur : Je tirerais, vous savez, si il faut. Sur vous.
Alicia Sierra : Sur moi ?! Une pauvre femme enceinte et vulnérable ?
Professeur : Si vous ne me laissez pas le choix. Vous ne manquerez à personne.
Alicia Sierra : Professeur, je peux vous dire un petit, tout petit secret entre nous deux ?
Professeur : Bien sûr.
Alicia Sierra : Bon, mais pendant que je vous le raconte, vous me promettez de ne pas me couper ?
Professeur : Je ne vous promet rien, vous vous en doutez.
Alicia Sierra : Bouhou.
Professeur : Mais puisque vous n'avez personne à qui parler, je vous écoute avec la plus grande attention.
Alicia Sierra : Alors voilà.
Nairobi : ————- !!!!
Alicia Sierra : Chuuuuuut, silence toi. Je suis occupée ! On papote, le binoclard et moi.
Nairobi : ——————- !!!!!
Alicia Sierra : C'est ça. Couchée.
Professeur : Quand vous aurez fini de me faire perdre mon temps, vous me le ferez savoir. J'y vais.
Alicia Sierra : Non non ! Je vais vous dire !
Professeur : Bien.
Alicia Sierra : Vous avez intérêt à tirer Professeur, Sergio, Salva, peu importe comment on vous nomme maintenant.
Professeur : Ah ?
Alicia Sierra : Oh oui. Parce que si vous ne le faites pas, je prendrais tout le temps qu'il faut, en commençant par Nairobi, et en terminant par vous. Je lui logerais une balle dans les côtes pour le plaisir de la voir se noyer dans son sang. Berlin, Fonollosa pardon, je lui injecterais peut-être une bulle d'air dans les veines, pour qu'il meurt de la façon la plus ridicule et minable possible.
Professeur : ————-
Professeur ———- ?
Alicia Sierra : Oh laissez moi finir Professeur. Pour Helsinki, Oslo, tout vos clowns en rouge, ça sera une balle entre les deux yeux. Clair, rapide. Sauf Rio et Tokyo.
Professeur : ——
Alicia Sierra : Chuuuut. On laisse parler. Pour Rio, je l'abandonnerais quelque part, comme un petit chien hargneux. Et Tokyo, votre chouchoute...
Tokyo : ——- ?!
Alicia Sierra : Ça sera spécialement pour vous. Je me mettrais derrière elle, et je vous ferais la regarder pendant que je lui tranche la gorge.
Raquel Murillo : Et moi ?
Alicia Sierra : Tiens ! Te voilà toi. Je ne savais pas que tu lisais. Ça n'est pas très poli d'espionner.
Raquel Murillo : Tu n'as pas répondu, Alicia.
Alicia Sierra : Biiiiiien. Toi quoi ?
Raquel Murillo : Tu envisages de faire disparaître toutes les personnes auxquelles je tiens, desquelles je fais partie.
Alicia Sierra : Tu n'en fais pas partie, ne soit pas ridicule.
Raquel Murillo : Bien. Vois ça autrement alors. Si j'étais entre eux, et toi. Tu tirerais ?
Alicia Sierra : Tu ne veux pas entendre la réponse.
Raquel Murillo : Réponds-moi. Tu tiens à avoir le dernier mot, comme toujours, alors va-y.
Alicia Sierra : Je te demanderais de te pousser, ne sois pas bête.
Raquel Murillo : Tout en sachant que je ne bougerais pas.
Alicia Sierra : Je te ferais bouger.
Raquel Murillo : Tu sais que non.
Alicia Sierra : Je te mettrais l'arme sous le menton si il faut.
Raquel Murillo : Je ne bougerais pas.
Alicia Sierra : Bien. Bien ! Tu as gagné : je tirerais. D'accord ? Si tu ne bouges pas, si tu te mets entre moi et cet bande de clowns, je tirerais.
Raquel Murillo : Moi non.
Alicia Sierra : Quoi toi non ?
Raquel Murillo : Je ne tirerais pas.
Alicia Sierra : Tu mens.
Raquel Murillo : Je n'ai rien à ajouter.
Alicia Sierra a été banni du groupe.
Rio : C'est bon ! J'ai réussi !
Professeur : Bravo.
Nairobi : Un peu tard Rio. Un peu tard...
[ Si jamais vous voulez me mettre en commentaire vos ships improbables préférés, N'HÉSITEZ PAS ! ]
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La casa de papel sur Facebook
FanfictionC'est le bordel, c'est multi-ship, c'est drôle ( j'espère ) et c'est dans le déni. Bise bise