Partie 22

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[ Conversation IDA-Andres ]

IDA : Elle n'était pas là.

Andrés de Fonollosa : Effectivement.

IDA : Vous êtes attaché à elle.

Andrés de Fonollosa : Bien sur que non. Cette petite garce m'a volé mon frère. Mais je n'ai pas eu le temps.

IDA : Le temps, je vous conseille de le trouver monsieur Fonollosa. Ou j'enverrais cet échange à votre frère.

Andrés de Fonollosa : C'est une menace ?

IDA : Perspicace.

Andrés de Fonollosa : Je ne répond pas au menace.

IDA : Et que fera votre frère en découvrant que vous conspiriez avec un inconnu pour assassiner sa femme enceinte ?

Andrés de Fonollosa : Avec un peu de chance, il changera d'épouse.

IDA : Il vous abandonnera. Elle vaux plus que vous à ses yeux. Il est aveuglé.

Andrés de Fonollosa : Il a toujours eu mauvais goût en la matière.

IDA : Vous êtes son frère. C'est votre rôle de le remettre sur le droit chemin. Vous avez un mois pour me la livrer.

IDA a quitté la conversation.

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[ Conversation publique ]

Nairobi : Alors ça y est, plus de prof !

Raquel Murillo : Provisoirement.

Denver : Comme du pain et des fruits ?!

Monica : Mon amour, silence.

Andrés de Fonollosa : Il est d'une tel idiotie, c'est à se demander ce qu'il comprend.

Tokyo : Il n'est pas complètement débile non plus, arrête.

Denver : Bien dit maman !

Tokyo : Je retire, c'est un débile profond.

Washington-Denver : Ouais !

Nairobi : Ah, ça faisait longtemps.

Raquel Murillo : Quelqu'un a une explication pour l'embauche de ce cretin danss une équipe d'élite ?

Andrés de Fonollosa : Je suis étrangement  d'accord avec Murillo.

Tokyo : Comme quoi tout arrive.

Denver : Mon papa dit « Tout vient à point qui sais attendre » !

Nairobi : Citation étrangement bien placé vu le contexte.

Raquel Murillo : En fait, c'est comme ça que vous avez gagné ce braquage. Par le hasard des circonstances.

Andrés de Fonollosa : Il y a de ça oui.

Washington-Denver : Ouais !!!

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[ Conversation privé Raquel-Andres. ]

Raquel Murillo : Bien. Ça n'est pas facile à dire.

Andrés de Fonollosa : Vous êtes une grande fille, vous devriez y arriver.

Raquel Murillo : Ne commencez pas.

Andrés de Fonollosa : L'humour, ça n'est pas votre fort.

Raquel Murillo : Alors que vous, vous êtes un vrai petit rigolo.

Andres de Fonollosa : Pourquoi vous êtes comme ça ?

Raquel Murillo : Comment comme ça ?

Andrés de Fonollosa : Mal à l'aise, sur la défensive.

Raquel Murillo : Vous n'en savez rien.

Andrés de Fonollosa : Je vous connais.

Raquel Murillo : C'est cela. Je voulais juste vous signaler qu'il portera le nom de votre père. Du père de Sergio.

Andrés de Fonollosa : Votre fils ?

Raquel Murillo : Non mon lapin nain. Bien sûr mon fils.

Andrés de Fonollosa : Qu'elle prévenance de me donner le nom d'un enfant que vous ne me laisserez jamais voir.

Raquel Murillo : Je ne vous aime pas.

Andrés de Fonollosa : Sans rire.

Raquel Murillo : Mais vous serez sans doute un meilleur oncle que beau-frère.

Andrés de Fonollosa : Oh.

Raquel Murillo : Pas de commentaire. Je ne veux pas que ça devienne larmoyant entre nous.

Andrés de Fonollosa : Je sais.

Raquel Murillo : Pourquoi restez-Vous sur la conversation ?

Andrés de Fonollosa : Je cherche comment vous dire merci.

Raquel Murillo : Abstenez-vous.

Andrés de Fonollosa : Ça me semble bien oui.

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