[ Conversation IDA-Andres ]
IDA : Elle n'était pas là.
Andrés de Fonollosa : Effectivement.
IDA : Vous êtes attaché à elle.
Andrés de Fonollosa : Bien sur que non. Cette petite garce m'a volé mon frère. Mais je n'ai pas eu le temps.
IDA : Le temps, je vous conseille de le trouver monsieur Fonollosa. Ou j'enverrais cet échange à votre frère.
Andrés de Fonollosa : C'est une menace ?
IDA : Perspicace.
Andrés de Fonollosa : Je ne répond pas au menace.
IDA : Et que fera votre frère en découvrant que vous conspiriez avec un inconnu pour assassiner sa femme enceinte ?
Andrés de Fonollosa : Avec un peu de chance, il changera d'épouse.
IDA : Il vous abandonnera. Elle vaux plus que vous à ses yeux. Il est aveuglé.
Andrés de Fonollosa : Il a toujours eu mauvais goût en la matière.
IDA : Vous êtes son frère. C'est votre rôle de le remettre sur le droit chemin. Vous avez un mois pour me la livrer.
IDA a quitté la conversation.
————
[ Conversation publique ]
Nairobi : Alors ça y est, plus de prof !
Raquel Murillo : Provisoirement.
Denver : Comme du pain et des fruits ?!
Monica : Mon amour, silence.
Andrés de Fonollosa : Il est d'une tel idiotie, c'est à se demander ce qu'il comprend.
Tokyo : Il n'est pas complètement débile non plus, arrête.
Denver : Bien dit maman !
Tokyo : Je retire, c'est un débile profond.
Washington-Denver : Ouais !
Nairobi : Ah, ça faisait longtemps.
Raquel Murillo : Quelqu'un a une explication pour l'embauche de ce cretin danss une équipe d'élite ?
Andrés de Fonollosa : Je suis étrangement d'accord avec Murillo.
Tokyo : Comme quoi tout arrive.
Denver : Mon papa dit « Tout vient à point qui sais attendre » !
Nairobi : Citation étrangement bien placé vu le contexte.
Raquel Murillo : En fait, c'est comme ça que vous avez gagné ce braquage. Par le hasard des circonstances.
Andrés de Fonollosa : Il y a de ça oui.
Washington-Denver : Ouais !!!
———-
[ Conversation privé Raquel-Andres. ]
Raquel Murillo : Bien. Ça n'est pas facile à dire.
Andrés de Fonollosa : Vous êtes une grande fille, vous devriez y arriver.
Raquel Murillo : Ne commencez pas.
Andrés de Fonollosa : L'humour, ça n'est pas votre fort.
Raquel Murillo : Alors que vous, vous êtes un vrai petit rigolo.
Andres de Fonollosa : Pourquoi vous êtes comme ça ?
Raquel Murillo : Comment comme ça ?
Andrés de Fonollosa : Mal à l'aise, sur la défensive.
Raquel Murillo : Vous n'en savez rien.
Andrés de Fonollosa : Je vous connais.
Raquel Murillo : C'est cela. Je voulais juste vous signaler qu'il portera le nom de votre père. Du père de Sergio.
Andrés de Fonollosa : Votre fils ?
Raquel Murillo : Non mon lapin nain. Bien sûr mon fils.
Andrés de Fonollosa : Qu'elle prévenance de me donner le nom d'un enfant que vous ne me laisserez jamais voir.
Raquel Murillo : Je ne vous aime pas.
Andrés de Fonollosa : Sans rire.
Raquel Murillo : Mais vous serez sans doute un meilleur oncle que beau-frère.
Andrés de Fonollosa : Oh.
Raquel Murillo : Pas de commentaire. Je ne veux pas que ça devienne larmoyant entre nous.
Andrés de Fonollosa : Je sais.
Raquel Murillo : Pourquoi restez-Vous sur la conversation ?
Andrés de Fonollosa : Je cherche comment vous dire merci.
Raquel Murillo : Abstenez-vous.
Andrés de Fonollosa : Ça me semble bien oui.
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FanficC'est le bordel, c'est multi-ship, c'est drôle ( j'espère ) et c'est dans le déni. Bise bise