Infiltration dans la forteresse Gerudo

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Le lendemain

Pdv de Link

Après un réveil rempli de câlins, de baisers et un bon petit déjeuner bien consistant, nous enfilâmes nos bottes normales et quittâmes l'auberge. Puis, nous quittâmes le village Cocorico et allâmes chercher Epona. Une fois que nous l'eûmes trouvés, nous lui donnâmes quelques caresses en guise de salutation, avant de monter sur son dos. Puis, j'ordonne à Epona de partir au trop en direction de la forteresse Gerudo, tandis que (Tp) regarde attentivement la carte pour être sûre que nous ne nous trompons pas de chemin. En début d'après-midi, nous arrivâmes dans une sorte de petit canyon. J'ordonne alors à Epona de ralentir pour qu'elle se repose un peu.

- C'est par là ? demandais-je à (Tp), d'un ton curieux et intrigué, en tournant mon regard dans sa direction, tandis que celle-ci regarde la carte d'un air concentré.

- Oui. C'est la bonne route. confirme-t-elle, en m'offrant un petit sourire. Il faut qu'on continue d'aller tout droit. Et je pense qu'on arrivera au désert Gerudo en fin d'après-midi. m'explique-t-elle, en rangeant la carte dans sa sacoche.

Je hoche alors la tête pour lui dire que j'ai compris. J'attends alors que Epona ait récupérée assez pour pouvoir reprendre la route. Il lui fallut encore quelques minutes, avant de reprendre du poil de la bête. J'ordonne alors à Epona de reprendre la route au trop. Au bout d'un moment de route, nous arrivâmes à l'enjambée d'un pont brisé. Ah... C'est assez embêtant ça...

- Link... Tu crois qu'on doit... commence-t-elle à me demander, d'une voix légèrement craintive, en ne finissant pas sa phrase.

- Je crains qu'on n'ait pas vraiment le choix. répliquais-je, d'un ton embêté et désolé.

Suite à ma réponse, (Tp) se mit à déglutir difficilement, tandis que je fais de même.

- Oh ça va... Pas la peine d'en faire tout en fromage... souffle Navi, en poussant un petit soupir moqueur. Ce n'est qu'un tout petit saut de rien du tout. Vous allez y arriver, les doigts dans le nez. nous dit-elle, d'un air rassurant et confiant.

- Navi... Dois-je te rappeler que contrairement nous, tu n'auras pas sauter ce précipice puisque tu es dotée d'ailes et que tu peux voler sans problèmes par-dessus ? lui demande (Tp), d'une voix légèrement énervée par la remarque de Navi.

Navi pousse alors un petit rire nerveux, avant d'aller se cacher sous mon bonnet pour éviter de subir les foudres de (Tp). Suite à sa réaction, (Tp) et moi, nous nous lançâmes un regard, avant de glousser de manière discrète pour éviter que Navi ne nous entende et qu'elle ne commence à se vexer pour cela. Je fis alors reculer Epona pour que celle-ci puisse prendre de l'élan.

- Accroche toi bien. dis-je à (Tp), d'un ton prévenant.

Elle hoche alors la tête, avant de resserrer sa prise autour de ma taille pour bien s'accrocher et pour éviter de tomber. Lorsque je fus sûr qu'elle était bien accrochée, j'ordonne à Epona de partir au galop en direction du pont. Une fois à l'enjambée du pont, j'ordonne à Epona de continuer de galoper et de sauter. Celle-ci saute alors par-dessus le précipice et arrive à atterrir de l'autre côté du pont. Suite à cela, j'ordonne à Epona de s'arrêter pour qu'elle reprenne son souffle, avant de la caresser pour la féliciter de son saut.

- Ça va, (Tp) ? lui demandais-je, d'un ton inquiet, en tournant mon regard dans sa direction.

- On va dire que ça peut aller. me répondit-elle, en poussant un petit soupir dans le but de se remettre du saut que nous venions de faire.

Je la regarde alors avec compassion, avant de déposer un doux baiser sur sa joue pour la réconforter. Elle se mit alors à rougir légèrement, avant de détourner légèrement le regard. Je la regarde alors faire d'un air attendri, tout en souriant. Lorsque Epona eut finit de reprendre son souffle, je lui ordonne de reprendre la route tranquillement. A la tombée de la nuit, nous arrivâmes non loin de la forteresse Gerudo et vîmes que celle-ci était truffée de gardes.

- Quelque chose me dit qu'il vaut mieux pour nous que nous restions à couvert, et que nous ne nous fassions par repérer. me dit (Tp), d'une voix prévenante.

Je hoche alors la tête pour lui dire que je suis complètement d'accord avec elle. Nous nous accroupîmes alors et décidâmes de profiter de l'obscurité pour tenter de nous faufiler. Nous commençâmes alors à nous faufiler entre les gardes, tout en faisant de nôtre mieux pour être discrets. Alors que cela faisait un moment que nous étions entrain de nous faufiler et que nous continuions à être discrets, je me fis soudainement sauté dessus, avant d'être assommé par un coup de massue.

Tome 2 : Le destin qui continue au-delà du TempsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant