Ana, jeune diplômé sortie d'une relation toxique avec son petit ami du lycée: Nathan, postule en tant qu'assistante dans une grande entreprise mondialement reconnue, GUCCI.
Tristan, autrefois le souffre-douleur du lycée, est l'un des plus jeunes PDG...
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Mon coeur s'arrêta.
- Quoi? Pourquoi ?
- Écoute Ana, avait entrepris Justin, Tristan a eu, comment dire, de mauvaise expérience lorsque ses relations amoureuses ont été dévoilées publiquement.
- Certes ils étaient au courant pour moi et Irene, mais ce sont des paparazzis, ils vont s'acharner sur nous si nous divorçons. Et je ne veux pas que tu subisses tout ça par ma faute.
J'étais complètement perdue. Mes larmes avaient cessées de couler et laissaient place à de l'incompréhension.
- Qu'allons-nous faire alors ?
- Pour le bien de tous vous allez resté marié, se prononça Jacob, du moins jusqu'à ce que nous obtenons les papiers d'annulation et que toute cette histoire se tasse.
Sans vraiment avoir le choix, j'acceptais l'offre de mon employeur.
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Toute la journée, chaque membre du personnel parlait du mariage de leur patron et de sa bien-aimée dont l'identité est encore secrète.
Soulagée de savoir que mon visage et mon nom restaient encore inconnu, je rentrais chez moi l'esprit quelque peu tourmenté.
Vers vingt et une heure, on sonna à ma porte, ce qui me surprenait vu que je n'avais personne ici à part Ella et Justin.
Mais Ella n'était pas en ville et Justin ne connaissait même pas mon adresse. C'est alors qu'avec méfiance je me dirigeai vers la porte qui s'ouvrit dans un grand fracas.
Un homme vêtu de noir pénétrait mon appartement et posa son regard malveillant sur moi.
- Approche poupée, on doit discuter.
Le stress montait en moi tandis que l'homme s'avança dans ma direction arme en main.
- Qu-Qui êtes-vous ? Que me voulez-vous ?
Ce fut les seuls mots qui s'échappèrent de ma gorge nouée par la peur.
De sa main gantée il m'étrangla contre l'un des mur du séjour soulevant mon corps dans les airs.
Le sang me montait à la tête tandis que l'air s'échappant de mes poumons brûlants ne semblait plus revenir.
- Dis à tes chers parents de payer ce qu'ils me doivent où tu en souffriras.
Lentement il caressa ma joue de son arme avant de la ranger contre un poignard et m'effleura le cou laissant un filet de sang s'échapper m'arrachant un cris de douleur.
Il me laissa là, complètement apeurée en précisant que s'il reviendrait la prochaine fois je ne verrais plus la lumière du jour.
C'est alors qu'avec l'adrénaline et les vêtements remplis de sang, je prenais tous ce qui m'étais indispensable ainsi que mes compagnons pour courir jusqu'à ma voiture et rouler loin de chez moi sans destination précise.
