Ana, jeune diplômé sortie d'une relation toxique avec son petit ami du lycée: Nathan, postule en tant qu'assistante dans une grande entreprise mondialement reconnue, GUCCI.
Tristan, autrefois le souffre-douleur du lycée, est l'un des plus jeunes PDG...
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PDV Tristan
La scène de ce midi me mettait hors de moi. Moi qui détestais la discrimination et le harcèlement, j'avais assisté à une scène d'humiliation pour Ana et avais puni ses harceleuses de la même manière.
- Mina Steve dans mon bureau immédiatement ! Avais-je ordonné à la blonde qui était assise à son poste en regardant ses deux amies faire leurs cartons.
Elle se releva surprise par ma voix grave et me suivit en jetant un regard provocateur à Ana.
- Ça ne sert à rien de faire ça, avais-je simplement dit. On montait dans l'ascenseur où se trouvait Justin à ma grande surprise.
- Mina ? Tu fais quoi ici ? Avait demandé mon ami.
- Je travaille ici.
- Pour l'instant tu peux douter de ta phrase avais-je enchaîné.
Elle me regarda surprise par mes mots.
- C'est pour cela qu'il ne fallait pas l'embaucher, avait repris Justin, cette femme n'est qu'une source de conflit.
Le ding de l'ascenseur retentit et le noiraud s'extirpait de la cage de verre pour se rendre dans le bureau de Jacob.
*****
- Je n'ai fait que défendre ma place ! Criait-elle.
- En persécutant ta concurrente ? C'est ça le plan? Waouh t'es devenue pire qu'au lycée.
- Je me battrait coûte que coûte pour ma place au sein de l'entreprise et à tes côtés !
Je me rapprochais d'elle dangereusement et susurra la pure vérité à son oreille.
- Ces places sont déjà prises. Maintenant sors de ce bâtiment et ne repose plus jamais les pieds ici!
- Tu n'en a pas le droit ! Seul le PDG peut me renvoyer.
- Tu crois que je t'aurais appelé dans mon bureau si cette décision ne venait pas de lui, répondis-je un sourire moqueur aux lèvres. Maintenant je te pris de disparaître de l'entreprise sous les ordre de Monsieur GUCCI.
Furieuse, elle sortie de mon bureau en claquant la porte.
- Pètes cette porte et je te défonce ton être plastifié!
Les jurons qui sortaient de sa bouche se faisaient entendre depuis le bureau d'Anita qui heureusement était déjà partie.
*****
Je regardais sur mon téléphone. 16h54. Alors que je rangeais mes dossiers, des petits coups se firent entendre derrière l'immense porte.
