Chapitre 39

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- Wow

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- Wow...fit Justin surpris par les propos de celle qui était passée de petite amie à meilleure amie.

- S'il te plaît, dis moi que tu me crois! Fit Ana qui prit la main du brun dans la sienne les yeux larmoyants.

- Mais prouve le moi, fît-il.

Cherchant au fond de sa mémoire, elle se souvenait de son entreprise dont il allait hérité aujourd'hui normalement.

- Aujourd'hui ton grand père t'appellera pour te céder son entreprise et il te dira qu'à 22 ans tu seras assez mature pour diriger son affaire qui deviendra l'une des plus célèbres du monde.

Justin n'en revenait pas. De tel propos était absurde mais il n'eut pas le temps de vraiment donner son avis que son cellulaire sonnait affichant le nom de son grand-père.

Les sourcils froncés le noiraud décrochait avec méfiance, ne sachant pas à quoi s'attendre. Un bref 'Allô ?' émanait de ses cordes vocales avant que ses ye e s'écarquillent.

Elle avait raison...pensa le brun en saluant son aîné avant de raccrocher.

- Bien, qu'est ce qu'on doit faire ?

- Pour l'heure il faut éloigner Tristan de la nouvelle qui arrivera demain, fît la lycéenne.

- Il y aura donc une nouvelle demain?

- Oui, elle sera dans notre classe, et son prénom est Irene.

Justin hocha la tête réfléchissant au moyen d'empêcher leur début de relation.

- Et si on le faisait aimer quelqu'un d'autre ?

- Huh? Tu crois qu'il aime quelqu'un dans ce lycée pourri ?

Réfléchissant à sa remarque, Ana se rappela des paroles de Lola, lorsqu'elle s'était présentée à elle la première fois. Son premier amour, était la première chose qu'elle avait dite à son égard avant que le patron du Gucci ne la coupe.

Tristan m'aime t-il? Se posa t-elle la question.

- Moi je pense que tu dois tenter ta chance avec lui Ana.

Et c'est comme ça que le noiraud avait simplement lu dans ses pensées en la choisissant comme solution.

Certes ses sentiments pour le lycéen étaient revenus, mais de son côté, elle planait encore dans le doute sur le fait que Tristan puisse l'aimer.

Et au pire qui ne tente rien n'a rien? Pensa t-elle.

- D'accord. Mais s'il me rejette je te tue avant de me suicider.

- Marché conclut!

Les deux amis reprirent la direction de chez eux, constatant que leurs cours étaient terminés et Ana étaient comme paralysée face à sa porte d'entrée.

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