Chapitre 13 : Plus tard ne change rien

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Six ans... six longue années et... tellement avait changé depuis se jour où Nightmare et Dream avaient emmener leurs enfants sous l'arbre pour leurs dire le rôles qui allaient être le leurs à la morts de leurs parents...

Six longue années que Deus ne ressentait plus rien. Il ne souriait plus. Il n'était plus joyeux... même faire semblant lui était impossible. Il n'en avait plus la force. Et sa magie...

Elle s'était éveillé... sauf que ce n'était pour rien de bon finalement. Nightmare pensait depuis un moment que c'était lié. Mais il n'était pas question pour le maître des cauchemars de bridé la magie de son fils. il savait ce que ça faisait. Il savait, il connaissait la douleur que cela provoquait. Alors il n'était pas question de faire ça à Deus...

Même si c'était la seule solution pour qu'il retrouve des émotions... non, il devait bien en avoir d'autres.

Juste une...

Lucid pensait pareil que le maître des cauchemars. Alors ils cherchaient tout les deux une solutions pour que Deus aille mieux... six ans pour Nightmare et quatre ans pour Lucid. Ils passaient du temps avec lui, l'aidait. Mais ce n'était plus le même Deus. Ce n'était plus le gentil petit squelette trop timide. Non...

Ce qu'il le pensait il le disait, même si c'était blessant. Ce n'était que la vérité, ce n'était que ce que pensait Deus. Ce n'était pas pour être méchant ou blessant. Non. Juste parce que c'était la vérité ou parce que c'était ce que pensait le jeune squelette. Cette sincérité, c'était ce qui lui manquait. Pas parce qu'il mentait mais parce qu'il n'osait pas le dire avant.

Il n'osait pas...

La peur de vexer, de dire quelque chose de méchant.

Il n'avait plus tout cela.

Et... il avait un point de vue plus... sur peut être ? Il y avait le côté émotionnelle ou sentimentale en moins. Il avait changé. Pour le mieux peut être sur certains points... mais pas sur d'autres.

On ne réalise ce qu'on avait que quand on ne l'a plus.

« -Ca me manque.

-De ?

-De ne plus rien ressentir.

-Vraiment ?

-Oui... ça ne me manque pas d'être triste, de pleurer... ce qui me manque c'est de rire, de ressentir du plaisir... surtout... que j'ai toujours voulue que mon père s'occupe de moi...

-Et maintenant qu'il le fait vraiment tu ne peux même pas en profiter ?

-Oui... j'aimerais en profiter. Pourtant c'est complètement inutile. Si j'avais des émotions, il ne s'occuperait pas de moi et je serais triste. Cette impression stupide, ce manque imbécile est complètement paradoxale puisque je sais qu'il ne s'intéressera plus à...

-Ne dis pas de bêtise ! Tu sais bien que ton père t'aime ! Il t'aime comme il aime tes frère et ta soeur !

-Je n'es qu'un frère et une soeur. Mon père à trois fils dont un est mon frère.

-Deus... ne dis pas ça... tu aimais beaucoup Crescent avant.

-Avant qu'il ne m'insulte comme tout les autres.

-Tu n'en veux pas à tout le monde si ?

-Je n'en veux à personne. Je ne suis juste pas stupide. Je ne veux plus fréquenter des gens qui m'ont fait du mal.

-Et moi ? je t'ai fait du mal ?

-Non. pourquoi tu m'en aurait fait ?

-Je t'ai laissé seul.

-C'est ton droit. Tu es un des rare à ne pas m'insulté.

-Mais je t'ai ignoré.

-Tu l'as fait quand ça ne pouvait plus me faire de mal donc tu ne m'as jamais fait de mal.

-C'est... paradoxal tu sais ?

-Oui. Mais, comme je te l'es dis, c'est comme cette ridicule envie de profité de quelque chose qui ne se ferait jamais si j'avais des émotions. C'est plus par réflexe.

-Et c'est par réflexe que tu es la ? Avec moi ? »

Ils étaient assit sous un arbre dans les jardins du château. Ils observaient les étoiles.

« -Je pense oui. Et, d'après Hate, je ne peux pas me permettre de refuser la rare invitation que je reçoit une fois tout les mille ans, je ne suis déjà pas...

-Arrête ! » Lucid l'interrompit.

« -Arrête tu entend ! Hate avait faux ! Il avait tout faux sur toi ! Tout tu entend ! » le squelette aux os blanc pensait tout.

C'était pour ça qu'il était en colère. Il le pensait vraiment.

« -Tout le monde me déteste. Te mettre en colère parce qu'on me maltraite t'attirera aussi des ennuie Lucid.

-Je m'en fou ! Tu es mon ami, mon meilleur ami, mon cousin et... »

Soudain Deus se redressa, Lucid s'arrêta de parler. Ils avaient tout les deux sentit une présence proche et le fils de Dream pouvait sentir la colère de cette personne. Ils se lavèrent et allèrent en direction de la présence. C'était clair, ils ne savaient pas qui c'étaient mais il ou elle les surveillait.

Sauf que cette personne avait disparut quand ils arrivèrent.

« -Tu ferais mieux de rentrer.

-Non. Viens, tu peux dormir ici.

-Je préfère rentrer.

-S'il te plait, ton père sait que tu es la, il ne s'inquiétera pas si tu ne rentre pas.

-Même s'il ne savait pas que j'étais la, il ne s'inquiéterait pas. Je ne suis rien.

-Deus... »

Il avait l'air de le penser... et ça ne lui faisait rien. Il le pensait et ça ne lui faisait ni chaud, ni froid... c'était ça le pire.

C'était vraiment ça le pire.

C'était tellement terrible pour le plus jeune enfant du couple royale qu'il en oubliait la personne.

Ce n'était pas important pourtant...

Ou alors ?

Peu importe. maintenant que Deus ne ressentait plus rien depuis six ans, il ne restait que peu d'espoir de l'aider. Pourtant Lucid ne cachait rien. Il gardait espoir comme Dream avait gardé espoir pour Nightmare. C'était aussi le cas du maître des cauchemars.

« -Vraiment Lucid, dormir ici n'est pas une bonne idée avec mon aura.

-Deus, vraiment. J'insiste. Pense que ça me ferais plaisir. On est ami et, même si moi je ne peux pas te faire plaisir, toi tu le peux. Je sais que tu veux mon bonheur.

-Soit. Je reste. Mais ça va t'attirer des problèmes.

-Non. Je t'assure que non.

-Tu es trop... je ne trouve même pas de mots pour qualifier ta naïveté et ton optimisme excessif.

-Je sais. Je tiens ça de ma mère. Mais n'oublie pas une chose, je suis quelqu'un de très lucide. Je ne me trompe que très rarement et, depuis que ma magie c'est éveillé, je le suis encore... »

Il toucha l'épaule de son ami...

Et...

Un énorme flash blanc...

« -Lucid répond. Lucid. » il n'y avait rien dans sa voix...

Rien...

Ou...

« -Deus... Deus aide moi... c'est... c'est... »

Empireverse -Nouvelle génération-Où les histoires vivent. Découvrez maintenant