Quand le soleil m'a brûler

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Merde. Merde, merde, merde merde et re merde ! Qu'est-ce qu' il ce passe la ?! Pourquoi je suis enfermer dans un putain de placard dans un putain d'amphi collé a un putain de rouquin ?! Il glisse sa main plus fermement entre mes jambes ce qui me fait instantanément grogner. Il place sa main sur ma bouche et commence a bouger son autre patte sur ma virilité. Je ne me défend pas...pourquoi je ne me défend pas ?! Je le fixe dans les yeux, ses yeux qui me brûles, lui il n'a pas conscience de tout ça. Il me dévore, me consume et moi je concède. Sa main me fait du bien et j'ai du mal a réprimer les sons qui veulent franchir mes lèvres. Il semble le remarquer, se colle contre moi mais c'est en faite pour me susurrer a l'oreille :

- On dirait bien que cet endroit n'a pas eu d'attention depuis un moment hein ?

Je dégage ma bouche de sa main pour lui répondre :

- Ferme ta putain de gueule j-

Mes dents mordent ma lèvre, parler est trop difficile. Et il a raison, ça fait très longtemps que personne ne m'a toucher comme ça. Sa main me caresse encore et encore avant de stopper tout mouvement ce qui me fait grogner malgré moi. Il rie a cette réaction puis va pour déboutonner mon pantalon, je le laisse faire en me mettant de grosses claques mental. Mon corps dit oui, ma raison dit non. Il franchis la barrière que compose mon pantalon pour retourner a son activité tandis que je sens le souffle chaud provenant de sa bouche proche de ma clavicule.

Ça ne doit pas continuer..ça ne PEUT PAS continuer, il faut que je l'arrête parce que lui ne semble pas savoir s'arrêter. J'attrape son poignet dans mon pantalon en regardant sa réaction. Il redresse la tête une fraction de secondes étonné avant de reprendre son sourire serein.

- Oui tu as raison, c'est assez pour aujourd'hui. Je me suis bien amuser Bakugo.

- Mais c'est quoi ton putain de problème ?!

Il souris toujours et dépose un baiser sur ma joue. Puis l'agitation ce fait dans l'amphithéâtre, il me regarde et place a nouveau sa main sur ma virilité qu'il semble jaugé.

- Pour le moment c'est toi qui a un gros gros problème.

Il me fait un clin d'œil puis sort de l'armoire me laissant la, seul, a bander comme un âne. Je jette un œil en dehors de l'armoire, ce putain de Shitty Hair est retourner au près de ses amis et rigole avec eux comme si de rien était. Les questions ce bousculent dans ma tête et c'est pas si mal, ça me donne le temps de débandé. Pourquoi je n'ai pas réagis ? Est-ce que c'est un viol ? Est-ce que j'étais consentent ? Est-ce que c'était un jeu pour lui ? Pourquoi il a fait ça ? Pourquoi ça me dérange putain de pas tant que ça ?!

J'attends que l'amphithéâtre se vide pour enfin sortir de l'armoire est récupérer mes affaires qui ont étaient laisser a l'abandon. Je bénis le Japon est sa population respectueuse, mes affaires n'ont pas bouger. On ne semble ne m'avoir rien volé. Je soupir, enfile mes écouteurs pour écouter les Beatles et part en direction du métro dans un rythme plus rapide que d'habitude. Je calcule pas Izuku qui essaye de me parler, sûrement pour me proposer de me ramener.

Une fois dans la rame, la chance me souris et je trouve un endroit pour m'asseoir. Je me pose doucement et bascule ma tête en arrière en fermant les yeux pour me relaxé. Il faut absolument que j'arrête de penser a cette histoire. D'ailleurs plus je retourne la chose dans tout les sens, plus je me dit que je n'ai était que victime d'un pari de merde. Il me suffira de retrouver Shitty Hair et de lui éclater la gueule pour m'assurer que tout ce qui c'est passer dans ce placard y reste.

Mon arrêt arrive bien vite, je descend est part en direction de l'appartement ou m'attend un Shôto particulièrement froid. J'enlève tranquillement mes chaussures sans y faire attention tendit que lui me fixe les bras croisés comme un daron.

Moon and Sun [KIRIBAKU]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant