O M N I S C I E N T
Ce soir la, rien ne semblait être joyeux. La perte d'un proche est très dur à encaisser, les lumières de l'appartement étaient éteinte, seul le séjour était éclairer.
Ils étaient là, autour de cette table basse à regarder le vide. Aucun bruit ne se fait entendre pendant 10 minutes à peu près, le jeune homme se lève et parti dans sa chambre.
Il pose ces mains sur ces hanches puis se mit à réfléchir, qu'est ce qu'ils vont bien pouvoir faire maintenant ? Son misérable salaire ne suffira pas à nourrir sa famille pendant plus d'un mois. La seule solution qui se présentait à lui était celle là.. la vente illégale.
Pendant ce temps, un peu plus loin de cette cité, cette jeune femme était affaler sur son fauteuil à regarder elle aussi le vide. Sans savoir ce qu'il se passait chez son ami, aucun appel, aucun message de sa part et cela l'inquiétait plus qu'autre chose.
Elle était tentée par l'envie d'enfiler son manteau et de mettre ces chaussures pour aller à son domicile, mais le courage ne se présente pas. Un mauvais pressentiment se fit sentir en elle, ces mains commençaient à devenir moites et son cœur battait fort.
Cependant, ils n'avaient pas tous la même vie. Dans cette somptueuse villa, un dîner joviale avait lieux. Des invitées fort aisée y étaient convier, comme pour un gala... ce n'était qu'un simple dîner.
Malgré tout sa, un seul était en retrait, comme à son habitude. Il n'aimait pas rire ou même se mélanger avec n'importe qui. Sa méfiance et sa froideur était terrible, au point même, qu'aucun invitée n'eu le cran de lui serrer la main.
Son regard glacial faisait froid dans le dos, il le savait très bien, et c'est pour cela que son regard se dirige vers son assiette et ne changea pas de direction.
Malgré sa beauté et son charisme, son caractère d'enfant insociable ne passait pas inaperçu. Mais cela ne le dérangeait pas plus que ça, après tout, le regard des autres il s'en balance un peu.
Souvent moqué par ces camarades de classe, cela ne l'a pas empêcher de gravir les échelons en comptant sur son père.. son pauvre père.
"Ne jamais juger un livre à sa couverture" ce que son père lui disait souvent. Ce qui montrait au gens de lui, était tout simplement cette face d'enfant blessé et meurtri par son enfance.. très compliquer.
Une mère, qui a dû vivre dans l'ombre de son père pendant qu'il vivait une vie de riche, au coter de cette femme et ce petit garçon. Cette femme la, est morte. La cause ? Elle s'est réfugiée dans l'alcool en laissant de coter son enfant sans se soucier de son état a lui.
Pas un seul regard se poser sur lui étant plus jeune, son père, quand à lui, remarqua enfin son existence et décida de l'abriter sous son toit, avec cette femme et ce petit garçon, ce petit pourri gâter qui ne pensait qu'à lui.
Les deux petits bonhomme, ne s'entendaient guerre et pourtant, c'est le plus discret qui su ce démarquer. Leurs père crée des querelles entre eux, ces petits étaient constamment en compétitions pour tout et n'importe quoi.
Au jour d'aujourd'hui, la personne qui se pensait au dessus de tout le monde, puissant et intouchable, a fini par tomber plus bas que ce que l'on imaginais. Un sans emploi... un chômeur qui passe ces journée à rester cloîtré chez lui sans aucun objectif de vie.
Tandis que celui qui s'amusait à embêter ce petit, en lui montrant qu'il était bien meilleur que lui, était aujourd'hui un pdg. L'un des plus grands dans son domaine, qui est les affaires. Reconnu pour son sérieux et son intelligence, il rend folles les femmes qu'il croise dans les couloirs de son entreprise, sans même ce soucier de tout sa.
Il avait réussi sans même le vouloir, sans prétention et tout ça en restant le même petit garçon qu'il était auparavant, froid, disant et insociable. Son sourire était rare, même dans sa famille. Le faire sourire était un exploit chez certains et chez d'autre c'était une mission impossible.
Cette soirée risque d'être longue pour ces jeunes gens.
? - Aller bouge ! On doit y aller !- Oui, bah attend mon frère ohlolo.
? - Déjà j'suis pas ton frère, papa il nous attend 'tain, tu casse les couilles.
- soupir C'est bon, ferme ta gueule, j'arrive... en plus t'as pas de couilles imbecile.
? - Si, la couille c'est sa tête.
- pouffe de rire T'es trop méchant me lève bref on bouge.
Je ferme cet ordi puis le laisse à l'endroit où il était déjà posé avant de saisir ma veste et de quitter ma chambre.
O M N I S C I E N T
VOUS LISEZ
Namiko - Sentiments Néfastes.
RandomOn finit toujours par détester ceux qu'on a trop aimé.