Le chasseur et la souris (parti 9 )

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Bonne saint Valentin à tous le monde, mon cadeau est que tout comme la parti 5 vous allez pouvoir poser des questions aux personnages. Cette fois-ci, si je trouve que les questions sont répétitive ou inintéressantes, je n'y répondrai pas ^^'.

Deuxième chose j'ai sorti un nouvelle OS, "danse infinie..." ça fais un moment que je travaillais dessus d'où mon retard ici, mais il est vraiment super alors allez le lire si vous voulez.

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Les soirs de la fête de l'ombre sont les nuits où le village est les plus agité. Les habitants dansaient entre eux, riant. Dust soupira, avant, quand leur précieux Dream était encore parmi eux, ils fêtaient cette nuit... Il caressa le tissu d'or. L'ancien temps lui manquait. La lumière de leur nation s'est éteinte avec le prince.

Il marcha d'un pas lent vers la place du village. Dès la naissance, le don de la vue lui avait été retiré. D'après le dire de ces proches, la Lune l'avait maudit, le condamnant à ne jamais voit le jour et de vivre dans le monde de la nuit, dans le monde de la Lune. Comme les autres enfants dit « maudit par le dieu de la nuit » son existence avait été caché, il avait beau être le seul enfant de l'une des familles des gardes royaux, il n'avait jamais été présenté au prince. Après tout, comment un aveugle aurait pu espérer être utile au roi noir ? Pourtant, c'était ce même roi noir qui était venu le voir pour faire de lui l'un de ces précieux guerriers.

L'être maudit par la Lune arriva à la place du village. Les rires enfantins du peuple orgueilleux résonnaient, une colère sourde fit bondir son âme. Comment ces pécheurs pouvaient pouvait rire en cette nuit ? Le roi jaune, le prince pur n'était plus, comment ces pécheurs pouvaient s'amuser alors que les responsables de cette tragique perte étaient ces fameux danseurs.

Dust s'adossa à un mur, agacé d'être bousculé de tous les côtés. Il caressa le tissu d'or qui cachait ces orbites vides. Cette nuit-là, leur précieux prince de pureté viendrait-il les voir ? Un rire sans joie s'échappa de ses dents, seize longues années après cette tragique perte, aucun des gardes royaux n'avait réussi à vraiment faire son deuil.

Il leva ses orbites aveugles vers les cieux. Offrant un murmure silencieux à la Lune, priant qu'elle devient le messager secret à cet être si précieux à son âme.

- Les temps sont bien longs depuis ton départ. Les étoiles semblent bien ternes, tous comme notre roi. Le printemps semble s'être enfuis à tes cotés. La douleur ne semble pas s'effacer avec le temps. Je t'en prie, précieux prince, reviens nous... Viens panser les plaies de ton frère...

Le vent souffla autour de lui comme s'il emportait ses mots. Les étoiles paresseuses brillaient dans le ciel endormi, éclairant un jeune noble portant le nom de Reaper. Le noble vêtu de noir portait comme une princesse son compagnon de danse.

- Eh bien, mon tendre Geno, quel plaisir de pouvoir danser en cette nuit avec toi.

- On ne danse pas, tu tournes sur toi-même comme un imbécile en me portant.

- Je suis l'imbécile le plus heureux du monde, j'ai dans mes bras un magnifique prince.

- Je suis un gamin du peuple imbécile ! Arrête de flirté comme l'idiot que tu es.

- J'ai attendu plus de cinq ans pour pouvoir te murmurer mon amour, alors, mon ange, laisses-moi en cette nuit profiter de la nuit de l'ombre pour te dire à quel point je suis heureux. Les cieux cléments t'as laissé à mes coté, surement charmé par notre amour, alors, laisse-moi te le murmurer sous la Lune, je t'aime Geno. Je suis le squelette le plus stupide et le plus heureux du monde.

La souris et le chasseurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant