L'élu oublié

Chapitre16 : Le bal de noël de Poudlard(partie2)

Adrian dansait avec Parvati en essayant de ne pas écrasé les pieds de cette dernière. Ce spectacle étaient hilarant du point de vue de nos protagonistes américains qui riaient sous capes avec leurs amis poudlariens :

-Regardez-moi cet idiot, il est héritier d'une grande famille est pourtant il ne sait pas danser. J'aurai honte à sa place, rigola Draco.

-Même en Amérique, les sang-mêlés et les né-moldus savent danser correctement, rajouta Lucas.

-Quand je pense que ma grand-mère voulaient que je devienne ami avec lui, soupira Neville.

-Oula, tu es pas passé loin de la catastrophe, s'exclama Orlando Aporto, un septième année de Ilvermorny qui était venu rejoindre le groupe avec sa cavalière Jane Quilder en cinquième année elle aussi à Ilvermorny.

-Je me demande comment il peut être aussi populaire alors qu'il est exécrable, demanda Hermione.

-Il est le Survivant, Mione, lui répondit avec dégout le métisse du groupe, Blaise.

Puis une fois la danse d'ouverture terminé, les couples partirent danser, nous avions donc un mélange inter-école pour certains couples. Et heureusement pour Parvati Patil, Potter partit s'asseoir avec elle des que la dernière note de musique avait disparu. 

A minuit, les Bizarr' Sisters cessèrent de jouer. Elles furent  salués par une nouvelle salve d'applaudissements enthousiastes, puis les danseurs commencèrent à quitter la salle. Nombre d'entre eux auraient souhaité que le bal se prolonge, et parmi eux nos protagonistes. Le petit groupe, pas si petit que ça, était composé des jumeaux Bredark, de Jane Quilder, de Orlando Aporto, de Viktor Krum, de Hermione Granger, de Neville Londubat, de Luna Lovagood, de Hannah Abbot, Draco Malfoy, de Blaise Zabini, de Théodore Nott, de Daphnée Greengrass et de Tracey David. Ils étaient tous réunit devant la Grande Salle pour se souhaiter bonne nuit :

-Bon il va être l'heure de se séparer, dit Hermione.

-Oui, en tout cas ce bal était pas mal, acquiesca Théo.

-Je préfère les bals que les parents organisent, dit Enora.

-Oui c'est vrai que ta mère fait de superbes bals, renchérit Viktor.

-En faites, vous vous connaissez comment, demanda curieusement Jane et tous acquiescèrent à la question en regardant le russe et les jumeaux.

-Nos mères sont cousines, enfin, c'est ce qu'elles disent même si c'est plutôt cousines très éloignés et au second degré, expliqua calmement Lucas.

-Ooooh, répondu intelligemment Tracey.

-Tracey ferme ta bouche sinon des fléreurs vont rentrer dedans, dit Daphnée exaspérée par le comportement enfantin de sa meilleure amie.

-Alors les enfants, il faut aller vous coucher, les interpella Monsieur Bordreb.

-Oui Professeur, répondirent les quatre américains du groupe.

-Au revoir les ilvermorniens et le durmstrangien, déclara Blaise.

-Blaise, c'est encore ces jeux de mots bizarres, dit exaspéré Drago.

-Au revoir les poudlariens et bonne nuit, dirent en coeur les cinq élèves des délégations étrangères.

-Bonne nuit, répondirent aussi en coeur les anglais avant de partir vers leurs dortoirs respectifs.

Quant aux cinq autres étudiants ils traversaient le parc pour rejoindre le bateau pour le russe et le bus pour les américains. Arrivé devant Orlando et Jane rentrèrent directement alors que Viktor devenait mystérieusement nerveux, ce qui était inhabituel :

-Euh... Lucas, est-ce que je peux t'empreinter ta soeur quelques minutes.

-Ouais, mais c'est à ma soeur qu'il faut demander pas à moi. Aller bonne nuit, répondit Lucas avant de rentrer dans le bus.

-Tu veux bien aller marcher autour du lac avec moi, demanda Viktor encore plus mal à l'aise.

-Oui bien sur, répondit Enora en souriant pour essayer de détendre son meilleur ami et confident qu'elle voyait de plus en plus... stressé ?

Ils marchèrent quelques minutes autour du lac noir avant que Viktor ne s'arrête subitement :

-Viktor, tu vas bien, demanda inquiète la jeune fille.

-Oui ça va, c'est juste que...

-Que quoi ?

Le russe se tourna alors vers la personne omniprésente dans ses pensées et lui pris délictement les mains :

-J'ai... quelque chose à te demander... quelque chose d'important.

-Rien de grave, demanda morte d'inquiétude la jeune fille.

-Euh... NON NON !!

-Alors quoi ?

-Et bien, j'ai... je ne sais pas vraiment comment de le dire. Je n'ai jamais fais ça avant.

-Et bien dit comment tu me parles tout les jours, dit Enora perplexe devant le comportement étrange de Viktor.

-Avec nos mères, on se connait depuis tout petit et on à toujours était proche et avant le temps j'ai...

-Tu as quoi, Viktor, demanda-t-elle ne comprenant pas le but recherché par Viktor avec cette phrase.

-Ce que je veut dire c'est que j'ai des sentiments pour toi Enora, pas des sentiments amicaux ou fraternels... Je t'aime Enora, j'aime cette fille intelligente et pétillante de vie que j'ai toujours vu soutenir son frère même quand il ne voulait pas d'aider. Cette fille qui m'a remonté le moral après la journée où j'avais été harcelé par des fans et des journalistes quand ils ont su pour ma nomination dans l'équipe nationale de Quidditch de Bulgarie. J'aime cette fille aux beaux yeux bleus qui ne m'a jamais vu comme une star mais juste pour moi, Viktor. Je te le redit encore une fois je t'aime Enora Bredark et j'aimerai que tu deviennes ma petite-amie, dit d'une traite Viktor.

Dire qu'elle était choqué, serait mentir, non elle était abasourdit et avait les larmes aux yeux. Elle aussi avait commencé avec l'arrivée de l'adolescence à développer des sentiments amoureux pour le grand ténébreux. Elle ne savait pas quoi dire mais elle voyait bien l'inquiétude apparaître sur le visage de jeune homme en face d'elle alors elle lui sourit et lui sauta dans les bras comme une enfant à qui on venait de donner le plus beau cadeau de Noël et en réalité on y était ! Après tout, on était le 25 décembre. Viktor surprit par la réaction de l'élue de son coeur ne pu que remercier ses réflexes d'attrapeur quand il réceptionna Enora. Puis il l'a senti rapprocher sa tête de son oreille :

-Moi aussi, je t'aime Viktor Krum. Je serai honoré d'être ta petite-amie, souffla l'américaine.

A ces mots, Viktor resserra son étreinte autour du corps de sa, maintenant, petite-amie et un sourire béat apparut sur ses lèvres.