Chapitre 48

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RÉCAPITULATIF✏️

Il a finit par se relever et moi aussi. On était en train de se diriger vers la cuisine pour faire le petit déjeuner mais j'ai bien sûr laver mon visage d'abord mdr quand je reçois un appel
Je prends mon téléphone puis je décroche

APPEL

Moi : allô ?

? : madame cinar ?

Moi : euh oui.. vous êtes qui ?

? : je suis ....
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ALYA

Moi : vous êtes qui ?

Elle : premièrement je vous demandes de rester calme.

Moi : oui mais vous êtes qui ?

Elle : j'appelle de l'hôpital ..

J'ai senti mon coeur s'accélérer d'un coup. J'ai un mauvais pré sentiment.

(Samet : c'est qui ?)

Il était en face de moi, il attendait que je lui réponde. Il a sans doute remarqué que mon visage s'est fermé en qlq secondes.

Moi : o..ok je vous écoutes

Elle : d'accord, y'a t'il quelqu'un avec vous ?

Moi : oui mon fiancer mais pourquoi ?

Elle : je suis désoler mais vous devez vous rendre rapidement à l'hopital votre fils s'est fait tiré dessus. Nous avons besoin de sang et vite.

Mon coeur a sauter un bond, j'ai mal entendu ?
Mes membres se sont engourdie en quelques secondes, je sentais mes jambes qui ne tenaient plus puis le téléphone tomber de mes mains.
Samet ne comprenant pas la situation me regardait étonner.
J'étais paralyser de la tête au pied ne pouvant prononcer un mot.
Il finit par me tenir et me secouer pour me demander de revenir à moi même mais c'était peine perdu je n'y arrivais pas, il y avait juste mes larmes qui coulaient, je n'arrivais pas à y croire.

SAMET

j'attrape le téléphone par terre et demande qui est à l'appareil

Elle : j'appelle de l'hôpital, je suis infirmière et vous êtes sûrement le fiancer. Je vais faire court le jeune ahmet est entre la vie et la mort il faut rapidement venir. Il est impératif pour vous de faire vite nous devons voir si votre sang est compatible avec le petit, appeler vos proches si possible et encore une dernière chose...

Moi: oui ?

Je regardais alya en même temps craignant ce que j'allais entendre à travers le téléphone.

Elle : nous n'avons pas pu sauver la mère...toute mes condoléances.. au revoir.

Moi : o..oui

J'étais paralysé, je n'arrivais plus à bouger. La seule chose que j'entendais c'était les larmes d'alya bourdonner dans mes oreilles.
Le téléphone à la main je ne savais pas quoi faire donc je me suis approcher d'elle pour la prendre dans mes bras.

ALYA ET SAMETOù les histoires vivent. Découvrez maintenant