Chapitre 12

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« Laisse moi devenir ton allié , pour nos ennemis un alien...! »

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_Bonne lecture_

Un peu plus loin j'étais dans mon taxi. J'étais remonté oui mais il fallait faire preuve de sagesse. Je ne pourrai pas débarquer de nulle part en attaquant un homme armé. Ce n'aurai pas été très intelligent de ma part.

Je scrutais Sarah , Son amie et le mec qui leur pointait l'arme en attendant la moindre faille. Je ne vous pas le mec en question est assez imposant. Il a une dégaine de gangster, il ne me fait pas peur non. Moi aussi je suis chef de gang. Mais si j'interagis là tout de suite il pourrait débouler son boretta et flinguer l'un de avec. Faut savoir que je ne suis pas armé.

Je leur voyait négocier quand il a attraper ma woman en voulant la jeter dans le fourgon. Là c'était le feu vert. Je suis sortie du taxi avec tout l'assurance et la sûreté du monde. Je me dois de faire bonne augure aussi.

Je me suis avancer jusqu'à leur niveau, le visage plus renfermé que jamais. Puis j'ai demandé dans le plus grand des calmes :

Moi - Lâche les demoiselles et ne me fait pas répéter.

Le mec - *rire* T'as entendu Sarah ton monsieur me demande de laisser ma pute.

Ma woman était tellement terrifiée qu'elle n'osait pas me regardait dans les yeux. J'avoue sur le coup je me foutait pas mal de la Madie en question.

Moi - Tout de suite j'ai dit.

Le mec - Retourne dormir petit j'ai pas ton temps. Allez montez *en parlant au fille*

J'ai bien visionner sa position et sans plus attendre je lui ai flinguer une droite venant du turfu en pleine gueule. Ce qui le mets un peu K.O.

Moi - Courrez Sarah rentrez dans le taxi là-bas.

Elle se sont mise à courir jusqu'au véhicule et j'ai fait un signe au taximan de verrouiller les porte.

Que la partie commence !

Le mec m'a rendu le coup. Ça fait mal on va se l'avouer. Le gars c'est un stock. Mais j'ai vite riposter je l'ai éjecter vers l'arrière avant de me déchaîner sur lui. On se rendait les coups comme de vrai rijal ( homme ).

Sur le coup j'étais à fond dans mes coups que j'en ai oublier qu'il était armé.

Je l'ai défoncer je voyais bien son arcade ouvert. Avec sa lèvre pété il était à bout. Je me demande comment il a fait mais il s'est retiré de mon emprise avant de viser son arme qu'il venait de ramasser ver moi.

Putain j'espère qu'il aura pas le cran de tirer la tout de suite parce que je n'ai aucun moyen de me défendre à part le frapper et cette option est impossible.

Alors je le regarde les yeux dans les yeux. Et oui j'ai lu dans son paire d'œil qu'il n'irait pas jusqu'au bout. C'était un froussard.

Je me suis mis à sourire pour le déstabiliser.

Règle numéro 1 : Ne jamais montrer à l'adversaire qu'on a peur.

𝑺𝒂𝒓𝒂𝒉 - 𝑼𝒏𝒆 𝒗𝒊𝒆 𝒎𝒂𝒍𝒈𝒓𝒆́ 𝒎𝒐𝒊 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant