Chapitre 4

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《 Mon allure cache un petit coeur de porcelaine...! 》
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_Bonne lecture_

Sarah Hernandez

Peut être que je suis la fille qui rigole all the time, Celle qui parle avec tout le monde et qui rit aux éclats et qui ne prends rien au sérieux, mais peut être aussi que je suis la même fille qui pleure la nuit quant elle est seule et n'as plus personne devant qui elle pourrait faire semblant d'être heureuse ?

Celle qui noie son chagrin dans l'alcool et la cigarette ? J'ai beau chercher des larmes mais ils ne coulent plus, parfois je sens mon coeur qui s'endurcit c'est triste à dire mais plus rien ne m'atriste.

Je veux m'évader de ce monde je veux partir. Les souvenirs du passé me donnent des maux de tête. Je suis bourrée de l'intérieur et pourtant je suis vide. J'ai crier, j'ai tapé sur des rings et rien n'a changé. Je me suis battu contre le monde en passant qu'un jour la roue allait tourné mais on dirais que le sort m'a oublié.

J'ai voulu tout déballer mais quand je me suis retournée il y avait personne en vue pour m'écouter et me prendre sous son aile.

Je suis assise toute seule sur mon lit, un joint en main et une margarita dans l'autre. La nuit noir m'inspire, la sombritude et la solitude sont synonyme de mon existence. J'en suis sur que je suis passer à l'oubliette aux yeux des gens. Je me suis levée pour me diriger vers la bibliothèque, j'y ai pris un journal vide. Je remplirai ses pages de mes chagrins peut être que lui saura me dire la couleur du tableau que j'ai dans le coeur.

Comme la plus part du temps, comme la plus part des histoires, j'ai voulue commencé par « Il était une fois » Mais suis je digne d'une conte de fées ?

Non je ne pense pas.

Notre longue pratique m'a enseigné que la confidence noie la douleur.

Alors j'ai pris mon stylo et j'ai commencé à écrire :

Journal, journal, journal....

Je m'ouvre à toi en espérant venant de toi une petits consolation....

Je me souviens de cette nuit du 21 Décembre. J'avais accusé un retard de trois heures de temps à mon lieu de travail. J'étais la bonne d'un vieux monsieur de 47ans. Ce jour là il y avait beaucoup d'embouteillage raison pour laquelle j'ai dus être en retard, mais mon patron ne m'a rien dit. Ça ne m'avais pas choquée vu qu'il était toujours très gentil avec moi, je le considérais comme un oncle.

J'avais fait tout les corvées de la maison ensuite j'ai commencé à faire le dîné. Il devait faire aux environs de 20h.

Je regardais la télé quand une voix se fit entendre c'était celle de mon patron, il m'appelait depuis sa chambre.

- Sarah Sarah

- Oui monsieur j'arrive.

Alors je me suis levé sans réticences et je me suis dirigé vers sa chambre. J'ai toqué à la porte et il m'a ouvert. Mes pressentiments ne m'ont pas pas averti.

𝑺𝒂𝒓𝒂𝒉 - 𝑼𝒏𝒆 𝒗𝒊𝒆 𝒎𝒂𝒍𝒈𝒓𝒆́ 𝒎𝒐𝒊 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant