𝑺𝒂𝒓𝒂𝒉 - 𝑼𝒏𝒆 𝒗𝒊𝒆 𝒎𝒂𝒍𝒈𝒓𝒆́ 𝒎𝒐𝒊

Chapitre 11

« Je m'appelle Hazim Haïdara et j'assume ma vie... ! »

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_Bonne lecture_

Je me dirige vers le bureau de mon père, je toque et il me demande d'entrer.

Moi - Salam papa.

Lui - Aleyki Salam mon fiston comment tu vas ?

Moi - Alhamdoulilah on s'accroche.

Lui - Mais dit moi tu en où avec les entreprises ? Je t'avais dit que dans six mois je ne sera plus en mesure de tout gérer.

Moi - Et bien pour l'instant j'ai une fondation à gérer et bientôt tout sera OK je pourrait être PDG. Mais papa moi aussi j'ai ma propre vocation et tu sais que je suis très actif dans le monde culinaire. J'avais des projets pour un restaurant.

Lui - C'est une bonne idée et c'est rentable ,si tu est en mesure de gérer plus de cinq entreprises avec ton restaurant je ne ferais que t'encourager. Je me fais vieux et il est temps que tu prenne le relais.

Moi - Ai confiance en moi je suis ton fils à toi ne l'oubli pas dès que j'ai des projets je fais tout pour les réalisé.

Lui - Ça c'est bien la réalité et je suis derrière toi.

Moi - Tu me verra toujours combattre mais jamais baisser les bras mais si il arrive parfois que je tombe je me relèverai par ce que tu m'a appris que tomber n'est pas un échec mais c'est ne pas se relever qui en est un.

Lui - Je ne m'inquiète pas je sais que tu ne me mettra jamais la honte.

Moi - Tu parle de moi Hazim dis je en haussant les épaules.

Quoi ? Je profite bien du bon humeur de mon père car ça va disjoncter d'un moment à un autre je vous promet que le cheval reviendra au galop avant que je ne sorte de ce bureau.

Tic tac tic tac....

Papa - Et l'affaire Aïchatou tu en pense quoi ?

Et je disais quoi ? C'est pas pour rien que je dis que j'ai toujours raison...

Moi - Pas besoin de clore ce dossier je ne l'ai pas ouvert et je compte pas l'ouvrir.

Lui - Et bien moi ton père je dis que non. Je ne serais jamais en mesure de te forcer à faire quelque chose qui sera à ton péril.

Moi - .....

Lui - C'est une fille bien ,elle est jolie ,diplômée , religieuse polie et obéissante. Si j'en ai parler à Djafara c'était pour vous unir et je lui ai donner ma parole par ce que je ne pensais pas que tu refuserait.

Moi - Papa s'il te plait comprend moi et n'insiste pas ma décision est irrévocable.

Lui - C'est toi mon père ou bien le contraire ?

Moi - Le contraire père.

Lui - Alors si je vois une bonne personne j'ai bien le droit de penser à ton futur avec elle ?