《 Je serais prêt à faire la re-gé quitte à mourir pour toi...! 》...
On venait d'arriver au supermarché, nous nous sommes dirigés vers les stands avec nos caddies. Et comme d'hab moi j'étais dans la partie réservé au cochonneries. J'ai pris un tas d'oréo et de kinder sans oublier mes bébés pringles. C'est trop la base et même si j'en prends trop je peux me le permettre vu que je vais payer avec mon propre argent.
J'ai beau essayé de l'ignorer depuis ce matin mais je ne me sens pas en sécurité, je me sens toujours observer et oui hors mis cette personne qui m'a attaqué hier soir en ce moment plusieurs regard sont posés sur moi ,des regards plutôt dégueulasses et loin d'êtres plaisants. J'apprends à vivre avec ,car tout le monde me regarde de cette œil.
À la cité comme un peu partout, j'ai ma réputation de Prostituée, on me fusille du regard ,on me critique ouvertement ou m'insulte sans retenue. Disons que je suis assez calme pour ne pas répondre à leurs injures, je me contente de mettre mes écouteurs dans mes oreilles et d'ignorer leurs balivernes.
Et comme prevu quand je me suis retournée vers les stands des serviettes hygiénique et les trucs féminins, j'y ai vu les filles plus communément appelées "commères" me pointer du doigts pour se moquer , Ah vous même vous savez que dés qu'on a une mauvaise réputation, tout les loups se jettent sur nous pour nous achever.
J'ai continuer mes courses sans trop les calculer, Hazim c'était un peu éloigné et j'avais perdu de vus les filles. Je marchais tranquillement quand soudain je sentit une main se balader sur mes fesses. J'ai pousser un cris de surprise avant de me retourner pour voir Nabil ,un jeune homme du quartier qui ne m'apprécie pas trop et qui passe son temps à me rabaisser. Il avait cette habitude de me repeter cette phrase, "Je ne payerai jamais mon argent pour sauter une crasseuse mais un jour je t'aurai dans mon lit " des mots qui ont l'air blessants mais qui ne me font pas grand chose, moi et ma conscience savons que je mérite toute les insultes du monde.
J'ai furtivement dégager sa main de mon derrière ,en me cachant avec mon tee-shirt que je tirer vers le bas.
Moi - Arrête ça Nabil , je ne suis pas d'humeur à te supporter alors passe ton chemin et laisse moi tranquille.
Nabil - Laisse toi faire ma belle, on sais tous que tout le pays t'as sauter dessus alors une putain de prestation gratuite ne te feras pas de mal.
Moi - Je ne suis pas dans une oeuvre de charité alors casse toi je ne veux pas de scandale jeune homme.
Nabil - VENAIT VOIR SARAH LA PUTE VEUX FAIRE SA SAINTE.
Et instinctivement tout le monde se retourna vers moi pour me dévisager, suivies des murmures incessantes. J'ai baisser la tête mal aise mais cela ne m'empêchais en rien de sentir leurs regards sur moi.
Nabil - Alors on fait moins la malignes salle garces.
Moi - Tu n'as pas honte de rabaisser les gens comme ça ?Qu'est-ce que je t'ai fais ? Pourquoi tu me veux tant de mal ? Dis je la voix tremblante.
Nabil - *rire* Je veux te baiser gratus c'est trop demander ? mais non n'y pense même pas jamais je sauterais une pute comme toi ,t'es dégoûtante.
Les gens nous regardaient comme dans une scène de cinéma. J'étais dégoûtée de ma vie.
Moi - Tu n'es qu'un..
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𝑺𝒂𝒓𝒂𝒉 - 𝑼𝒏𝒆 𝒗𝒊𝒆 𝒎𝒂𝒍𝒈𝒓𝒆́ 𝒎𝒐𝒊
General FictionElle - Beaucoup trop jeune pour faire le plus vieux métier du monde, certaines se prostituent par choix mais ce choix ,elle ne l'a jamais eu. Lui - Ses mains étaient censés pétrir de l'or, ils pétrissent de la merde. Il jouait le mec sans coeur mais...