Fils d'un champion du monde [FINI]

Chapitre 13

Bonjour mes lecteurs adorés ! Comment allez vous ? Vous ne vous ennuyez pas trop ? Cette petite note pour m'excuser de plus publier ou alors, très irrégulièrement. Je suis en seconde et les profs nous surchargent de travail. Je n'ai plus le temps d'écrire entre les visioconférences, les devoirs à rendre, les exercices d'entraînement, les livres à lire en français... enfin bref... Je n'ai plus le temps et je pense que nous sommes beaucoup dans cette situation. Je voulais aussi vous souhaiter beaucoup de courage dans cette triste période.

Prenez bien soin de vous et de vos proches.

Je vous aimes ❤❤

Bonne lecture...

PDV GRÉGOIRE

Gabriella : Alors comme ça ton père va remplacer Didier ?
Moi : Ouais, il est super heureux. Ma mère est très fière aussi.
Gabriella : Et toi ? Tu es content ?
Moi : Oui ! Je suis très fier de lui. Il le mérite, il travaille dur avec le Bayern.

Elle me sourit et continue de marcher à mes côtés dans le jardin de Clairefontaine.

Moi : Et comment ça se passe à Londres ?
Gabriella : Très bien. J'adore ma vie londonienne.
Moi : Un petit copain ?

Elle rougit et regarde ses pieds.

Gabriella : Un garçon me fait des avances et je sais pas comment réagir.
Moi : Tu l'aimes bien ?
Gabriella : J'adore notre amitié, je l'adore en ami. Mais, j'ai peur qu'en acceptant ses avances, nous perdons notre complicité. Puis, si ça marche pas, j'aurais perdu un ami précieux.

C'est ma Gabriella ! Personne ne sort avec elle, personne ne la touche, ne la regarde, ne la drague.

Moi : Tu préfères l'avoir en ami ou en petit ami ?
Gabriella : Ami je crois.
Moi : Tu as ta réponse dans ce cas !

Elle sourit avant de me remercier.

Gabriella : Et toi ? Une copine ?
Moi : Non. Y'a une fille que je trouve magnifique mais elle est plus âgée.
Gabriella : Ça relève peut être plus du fantasme que de l'amour non ?
Moi : Je sais pas. Elle est très belle, et j'adore la voir mais peut être c'est que physique.

Je crois rêver mais j'entends Gabriella murmurer un "j'espère".

Gabriella : Et sinon, comment va Louise ?
Moi : Elle s'ouvre un peu plus a nous. Mais, la flamme dans ses yeux est toujours éteinte, et.... j'ai peur qu'elle ne veuille pas porter plainte.
Gabriella : Elle portera plainte. Malgré tout, Louise est quelqu'un de très rancunière.

Je lui souris avant de la serrer dans mes bras. Le parfum de ses cheveux vient me chatouiller le nez. Un délicat parfum de rose. J'adore.