PDV GRÉGOIRE
C'est aujourd'hui que les trois anciens joueurs de l'équipe de France retournent chez eux. J'ai la boule au ventre. Ils étaient une bouffée d'air frais, ça faisait tellement du bien. Mon père n'était plus sur les nerfs. Ils vont beaucoup me manquer mais j'ai hâte d'être aux prochaines vacances pour aller passer la semaine à Clairefontaine.
Je descends de l'étage et rejoins tout le monde autour de la table de la salle à manger. Je m'assoie à ma place et mange mon petit déjeuner.
Amélie : Paul ! Arrête d'apprendre des conneries à mes enfants !
Paul : Mais c'est très utile !
Amélie : C'est sur que poser du pain sur la cuillère et s'en servir de catapulte est très utile !
Antoine : Je suis d'accord avec Paul ! Il va pouvoir se défendre !
Julien : Regarde maman !Julien fait la catapulte avec des céréales et une cuillère.
Amélie : Ne fais pas ça Julien ! Ce sont des bêtises ! Quant à toi Paul Pogba, tu vas cesser tes enfantillages sinon je te laisse aller à l'aéroport à pieds !
Paul : Ma Crevette ! Il serait temps que tu apprennes la crédibilité ! Je pense être un excellent professeur pour t'apprendre ça.
Amélie : C'est sur qu'il t'en a fallut de la crédibilité pour cacher toutes tes conneries à mon parrain !Nous regardons ma mère et Paul se chamailler en riant. J'adore Paul, il est génial !
Hugo : Je ne veux pas faire le casseur d'ambiance mais on va rater notre avion. Enfin, surtout le notre Paul.
Nous montons dans les voitures de mes parents. Mon père démarre et conduit jusqu'à l'aéroport.
Antoine : NON NE REVIENS PAS ! PRENDS TES AFFAIRES RENTRE CHEZ TOI !
Benjamin : Oh non ! Pas cette musique Antoine ! Arrête ou je t'abandonne sur le bord de la route !
Antoine : OH DJADJA ! Y'A PAS MOYEN Y'A DJADJA ! JE SUIS PAS TA CATIN DJADJA GENRE ! EN CATCHANA BABY TU DEAD CA !Paul se met à suivre Antoine sur la musique d'Aya Nakamura tandis que mon père les supplie d'arrêter de chanter.
Benjamin : La ferme ! On m'appelle !
Mon père décroche et une voix que je ne connais pas résonne dans la voiture.
Benjamin : Bonjour Noël.
Noël : Bonjour Benjamin. Comment tu vas ? Et ta famille ?
Benjamin : Bien merci. Écoutez, Amélie va très bien, vous la connaissez elle est hyperactive. Mes enfants vont bien également. Et vous ?
Noël : Je vais bien. Si je t'appelle, c'est parce que j'ai une proposition à te faire.
Benjamin : Je vous écoute.Un silence se fait attendre avant que ce Noël reprend la parole.
Noël : Tu fais d'excellents résultats en étant l'entraîneur du Bayern, c'est pour cela que la fédération te propose de devenir l'entraîneur de l'équipe de France. Tu es calme, réfléchi, tu prends du recul quand c'est nécessaire et le Bayern perd rarement un de ces matchs depuis que tu en es l'entraîneur.
Mon père ne répond pas, trop surpris par la proposition.
Noël : Tu acceptes Benjamin ?
Benjamin : Euh... Oui.. oui avec plaisir même ! Il suffit seulement que j'en parle avec Amélie mais elle devrait être ravie.
Noël : Comme je suis heureux ! Je te ferai signer ton contrat quand tu viendras avec ta petite famille pendant les vacances.
Paul : SALUT NOËL !
Noël : Mon cher Pogba ! Quel plaisir de vous entendre à nouveau me défoncer l'oreille !J'éclate de rire rapidement suivi par Antoine et mon père.
Noël : Je vais vous laisser. Bonne journée messieurs.
Benjamin : Bonne journée Noël.Noël raccroche et un silence se fait entendre. Rapidement perturber par les bleus.
Antoine : Putin mec tu vas devenir l'entraîneur de l'équipe de France !
Paul : ET POUR BENJAMIN ALLER ALLER ! ET POUR BENJAMIN ALLER ALLER !Mon père sourit et nous arrivons rapidement à l'aéroport. Nous nous regroupons devant les voitures.
Paul : Benjamin a quelques chose à vous dire !
Amélie : Qu'es qu'il se passe mon chéri ?
Benjamin : Noël m'a appelé.
Louise : C'est qui Noël ?
Hugo : Le président de la fédération française de foot.
Amélie : Et ?
Benjamin : Il m'a proposé d'être le nouvel entraîneur de l'équipe de France. Et j'ai accepté...
Ambre : C'est génial papa !Louise, Ambre et Julien sautent sur mon père en le félicitant. Hugo le prend dans ses bras et lui tapote l'épaule. Tous les regards se tournent vers ma mère. Elle lui sourit tendrement avant de l'embrasser.
Amélie : Je suis fière de toi liebe !
Nous entrons dans l'aéroport en souriant et rejoignons la porte d'embarquement du vol de Hugo et Paul.
Les deux joueurs viennent nous prendre dans leurs bras.Hugo : Tu fais attention à toi, et je sais que c'est compliqué mais parle avec ton père. Il souffre de la distance que tu instaures entre vous.
Moi : Je ne peux rien te promettre.Il me sourit et rejoint Paul. Il nous reste le barcelonais qui nous sourit.
PDV AMÉLIE
Je prends le bras de Ben et l'éloigne des autres.
Benjamin : Qu'es qu'il se passe ma belle ?
Moi : Je suis si fière de toi. La seule chose qui me fait mal c'est qu'on va se voir moins souvent.
Benjamin : Mais je t'appellerai tous les jours. Je t'aime.
Moi : Je t'aime liebe.Nous nous embrassons tendrement avant de rejoindre nos enfants et Antoine qui ne tarde pas à aller prendre son avion.
Nous sommes de retour à la maison. Comme d'habitude, Greg monte s'enfermer dans sa chambre et Louise part jouer avec les plus jeunes. L'absence de nos amis se fait déjà ressentir.
Voici la fin de ce chapitre ! Qu'en avez vous penser ?
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Fils d'un champion du monde [FINI]
FanficVous avez aimé les aventures d'Amélie Zidane et de Benjamin Pavard ? Venez suivre la vie de notre couple et de leurs enfants quinze ans après la fin du premier tome...