Sold and Broken

Chapitre 12

Point de vue de Gabrielle :

Billie m'énerve un peu, elle me suis absolument partout où je vais, même quand je me lave ! J'ai plus le droit de sortir, j'ai plus le droit d'avoir des objets coupant (compas, taille crayon, ciseaux), elle à mit des cadenas sur les fenêtres en hauteur et sur le tiroir qui contient des couteau, elle à ranger dans une boîte fermé à clé tout les médicaments et elle ne me laisse plus accès aux foulards de peur que je m'étrangle. Elle me force toujours à manger et m'empêche toujours aussi de vomir. J'en ai MARRE !!!
Je sors de la douche, tiens, pour une fois elle n'est pas coller derrière la porte. Elle est dans sa chambre, peut être que elle aussi elle en a marre de me suivre partout au final. Je rentre dans la chambre et la vis avec une lame de rasoir dans la main qu'elle avez posé sur bras mais elle n'avait encore rien fait.

Moi: Noooon, Billie ne fait pas ça, s'il te plaît !

Billie : Et qu'est ce qu'il me l'en empêche ?

Moi: Rien, il n'y a que toi qui peut t'en empêcher...

Elle le fit sous mes yeux, je voulais crié, pleurer mais je reste paralysé, je me contenta simplement de la regardé avant de m'écrouler par terre en pleurant. Pourquoi à t-elle fait ça ? Pourquoi devant moi ? Quelques jours plus tard, je décide de lui poser la question :

Moi: Billie ?

Billie : Oui ?

Moi: Je peut te poser une question ?

Billie : Bien sûr mon ange !

Moi: Pourquoi tu t'es fait du mal devant moi ? Pourquoi ?

Billie : Tu as ressenti quoi quand j'ai fait ça ? Tu t'es sentie comment ?

Moi: Euh.... Bah je ne pouvais rien faire. J'étais paralysé.

Billie : Voilà pourquoi je l'ai fait. Pour que tu te rendes compte de ce que ça fait d'avoir quelqu'un se détruire sous nos yeux mais de ne pouvoir rien faire. C'est pour ça que je veux que tu manges et que tu fasses très attention à toi. Parce que moi je me sens impuissante face à ça. Elle se mit à pleurer. Je dois supporter te voir te détruire de jour en jour en ne pouvant rien faire. Tout ce que je veux c'est te rendre heureuse mais je n'y arrive pas... C'est pas en voulant te protéger comme ça que je vais te rendre heureuse mais en attendant je n'ai pas le choix parce que j'ai peur, peur de te perdre, peur que tu te blesses d'avantage, peur de te voir souffrir mais pourtant tu souffres dans cette situation et je le vois bien. Depuis que je t'ai rencontrer, je ne t'ai jamais vu heureuse.

Point de vue de Billie :

Il est 2h30 du matin, je viens de me réveiller parce que j'ai senti une angoisse, je ne sais pas laquelle. Si, maintenant je sais, Gabrielle n'est plus à côté de moi. Mais il n'y a pas de lettre. J'ai tellement peur qu'elle soit en danger ! Putain mais je suis tellement conne !!! Je suis conne de la forcer à vivre comme ça !!! C'est de ma faute, tout est de ma faute. Si j'étais allée voir le principal plus tôt, tout ça ne serait jamais arrivé ! J'ai tout foiré putain ! Je lui ai gâcher sa vie ! Je suis tellement désespérée que je ne la cherche même pas, elle est mieux morte plutôt qu'avec moi. Alors je la laisse faire ce qu'elle fait même si je ne sais même pas ce qu'elle fait. Je sortis dans le jardin pour prendre l'air et entendue des pleures qui venait de derrière la maison. C'était Gabrielle. Je m'approche doucement d'elle et me pose à côté d'elle c'est à dire assise par terre dans le froid.
Elle respirer difficilement car elle était sûrement en train de faire une crise de panique.

Moi: Ça va aller ma belle, je suis là, respire, respire. Chut, calme toi, c'est bon. C'est fini.

Je la prit dans mes bras pour la calmer. Je sentais son cœur battre à mille à l'heure et son souffle dans mon coup qui s'accélérer. Je ne sais pas pourquoi mais je commence à chanté. Plus je chantais, plus je la sentais se calmer. Son souffle ralentissait et ses battement aussi. Puis elle s'endormit ici, dehors dans mes bras. Ça doit faire tellement longtemps qu'elle ne s'est pas endormie comme ça. Je la porte pour la ramener dans la chambre. J'étais tellement heureuse de voir qu'elle avait repris du poids. En même temps elle a un bébé dans le ventre. Son ventre avait d'ailleurs grossit. Il était tout rond (en même temps il ne va pas être  triangulaire). Je l'a dépose dans le lit avant de m'endormir près d'elle.