Chap 17 ~fumer tue~

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Je sors brusquement et rapidement mon téléphone de ma poche puis aperçois dans mes notifications...
Cyril, pour changer.

*𝓂𝑒𝓈𝓈𝒶𝑔𝑒𝓈*

C: J'ai bien réfléchit...

C: Et je suis désolé de t'avoir énervé. Pas besoin de te rappeler à quel point tu me manques Valentin... je pense toutes les nuits à toi, tout le temps en fait, et quand je te vois avec Maxime tout le temps ça me fend le coeur, te voir lui tenir la main et tout c'est horrible Valentin, je t'aime. Je t'aime plus que tout, je ferais tout pour toi je te le jure. Je t'embrasse. Cyril.

Attend, quoi??? J'ai bugué là.

V: Comment ça tu nous vois ?????

C: Heu, je veux dire que je sais que tu es avec lui donc...je vous imagine !

V: Tu nous as vu où Cyril ?!

C: Nulle part !! Seulement je sais à quel point Maxime est tactile et quand c'est lui tu ne dis rien, donc je sais comment ça se passe...

V: Tu es où la ?

C: Chez moi...

V: T'es sûr ?

C: Pourquoi je mentirai ??

V: Salut.

J'éteins subitement l'application, puis appel directement maxime.

V: Allô ??? Maxime ??

Aucune réponse.

Je lui envois des centaines de messages, aucune réponse, même pas de vu..

ℙ𝕕𝕧 𝕄𝕒𝕩𝕚𝕞𝕖:

J'arrive au tabac, j'achète trois paquets de Marlboro, et marche sur la longue route à 5 minutes à pied du tabac. Arrivé au milieu de cette étroite route, un léger fossé de quoi? Même pas 2 mètres de profondeurs? Séparant la route, et le champ de quelques hectares qui s'exposaient à ma vu.

J'allume une première cigarette, remet mon bonnet en place, et regarde en face de moi...La solitude de cette ville me fait du bien.

Devant moi, ce trouvait seulement de l'herbe bien verte, avec quelques arbres au fond du paysages.
Le ciel est bleu grisé, il y avait un léger air qui me donnait des frissons le long de mes bras, et quelques gouttent tombaient sur ma manche noire.Puis je fume une deuxième, puis une troisième, ceux pendant quelques heures.

Je faisais des poses bien sûr, regardant toujours autant le ciel, les oiseaux qui passait, parfois des pies, parfois de simples pigeons, des canards, une cigogne et la liste est encore longue.

J'avais une boule au ventre, et je ne cessais de songer à l'être qui s'infiltre depuis des jours maintenant dans mon petit appartement à côté du tramway...

Beaucoup, voir énormément en fait, de notifications vibraient dans la poche gauche de ma grosse veste, que fais-je ? Je profite encore de ce magnifique paysage ? Ou je me stresse à répondre à Valentin qui m'harcèle depuis tout à l'heure ?

Et bien sûr il faut toujours que je me face du mal, je décide donc de répondre.

*𝓂𝑒𝓈𝓈𝒶𝑔𝑒𝓈*

V: Maxime !

V: Je sais que tu ne veux pas me parler, mais c'est important.

V: répond moi.

V: S'il te plaît Maxime.

V: [appel manqué à 16:36]

V: [appel manqué à 16:39]

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