[⚠️Le chapitre comporte des actes assez violent, si vous êtes susceptible d'être « choqué » évitez ce chapitre⚠️]
Je ne sais pas ce qu'il m'a prit.
Dès qu'il sort la boîte de pansements, j'ai clairement pété un plomb, j'ai senti mon coeur et mon ventre se déchirer, et mes yeux se remplir de larmes.
En fait, en voyant cette boîte, j'ai eu tout d'un coup une vague de nostalgie. Ça m'a rappelé il y a quelques temps, lorsque Maxime c'était blessé, et que je l'avais soigné.
Le lieutenant avait compris que quelque chose n'allait pas, à vrai dire, ce n'était pas très compliqué à le distinguer, je m'étais levé du fauteuil et mes yeux coulaient d'une eau amer.
Mon bras droit saignait un peu, le médecin n'avait pas eu le temps d'appliquer le pansement.
D: Ce n'est pas fini monsieur, rasseyez je vous pris.
Mes mots tremblaient beaucoup trop pour qu'une phrase n'arrive à sortir correctement.
Le policier décide donc de prendre la parole.
P: Bon monsieur Palun, on ne va doute même pas vous laisser saigner, on met le pansement et on y va. Un peu de courage.
Il m'attrape par les deux poignets puis me rassoit sur le fauteuil comme un enfant,il s'avait que je n'allais pas lui obéir si facilement.
P: Fermez les yeux si ça vous dérange tant que ça.
Je fais ce qu'il me dit. Et pendant quelques secondes, qui m'ont parut éternels, je m'suis évadé.
J'étais bien mais terriblement mal en même temps.
En fait, j'ai repensé à tout les moments avec Maxime. Nos soirées, nos rires, nos fifas, nos repas, nos tournages,tout.
Enfin, de ce qui est positif...
D'un autre côté je suis si mal, lorsque le médecin a prononcé la phrase « vous pouvez réouvrir vos yeux » je me suis rappelé en un instant de seconde que ce n'était pas, ou du moins plus, la réalité...
J'ai comme l'impression que mon coeur a lâché, c'est une sensation terrible.
Mon regard est plongé dans le vide, le médecin ainsi que le policier s'assoit sur les chaises devant le bureau, règle deux trois chose jusqu'à ce que le policier me secoue légèrement.
P: Monsieur Palun hé ho ! On se réveille !
Aucun mot ne sort de ma bouche, je me contente de le suivre.
Arrivés dans la voiture, il ne démarre pas tout de suite, il prit le temps de me fixer et de parler d'une voix basse.
P: C'est dur je le sais, ce n'est pas comme ça qu'on va le retrouver. Mais on va y arriver, je ferai tout mon possible c'est promit.
On est sur la bonne voix vous même vous le savez...dites moi, je peux vous poser une question?
Mon regarde se tourne légèrement vers lui.
V: Hm?
P: Que représente ce garçon pour vous?
Ma tête se baissa et mes yeux clignent légèrement.
V: C'est mon meilleur ami.
P: Vous en êtes sûr ?
V: Oui j'en suis sûr. J-j'en suis même certain...!
P: Et... pourquoi vous avez pété les plombs tout à l'heure ?
V: Pour rien, enfin- ...bon allez arrêtez le blabla je veux rentrer chez moi!
P: Comme vous voudrez.
Il démarre et me laissa devant la gendarmerie.
*𝓈𝓊𝓇 𝓁𝑒 𝓅𝒶𝓇𝓀𝒾𝓃𝑔 𝒶𝓋𝑒𝒸 𝓁𝑒 𝓅𝑜𝓁𝒾𝒸𝒾𝑒𝓇 𝑒𝓉 𝒱𝒶𝓁𝑒𝓃𝓉𝒾𝓃*
Il me tend la main et me dit:
P: Reposez vous bien, vous en avez besoin, je vous tiens au courant dès que j'ai des infos. N'hésitez à venir me voir en cas de soucis vous avez mon numéro.
Je lui sers la main puis pars en marchant vers chez moi, à un quart d'heure à pied.
Je rentre enfin chez moi puis je vais me coucher.
ℙ𝕕𝕧 𝕄𝕒𝕩𝕚𝕞𝕖:
Des jours entiers, je ne saurai même pas dire combien. Une éternité.
Des jours? Des semaines? Des mois? Des années?
Je suis attaché comme un animal sur une chaise depuis tout ce temps. Que fait Valentin? M'a-t-il oublié?
Cyril est une vraie hyène. Je mange une fois par jour, je suis frappé quand il a décidé de s'énerver, je ne dors même pas sur un lit ou un matelas. Que sur cette maudit chaise.
Pourquoi ne pas me laisser mourir finalement?
De toute façon je ne suis même pas loin de la mort, je suis si faible.
J'ai des bleus de partout, visage,ventre,bras,jambe,cou, enfin, partout...
23:39 indique la pendule qui me torture au dessus de ma tête. C'est devenu mon seul divertissement.
J'aparcois au loin la silhouette de Cyril s'approcher de moi en craquant ses doigts, et que le show recommence pour la énième fois.
Je suis son punching-ball, je ne peux même pas me défendre. Mes mains sont attaché dernières mon dos et mes pieds sont scotchés au sol comme le tronc d'un arbres. Même si je le voudrai, je n'ai même plus la force...
Le grand roux s'approche de moi, et m'étouffe avec sa grande main, ce qu'il me laisse à moitié conscient.
C: IL EST OÙ PUTAIN? HEIN?? IL EST OÙ !?
ÇA FAIT DES JOURS QU'IL N'EST TOUJOURS PAS LÀ. MERDE.
Ma voix se fait très peu entendre et mes mots se tranchent par la force de Cyril dans mes cordes vocales.
M: I-il- il est mal-malin. T-u tu es fai-faible.
C: ON T'A DEMANDÉ DE PARLER TOI?
Il me mire une claque.
C: C'est qui le faible ici?!
Il me frappe pendant de longue seconde qui me parurent interminables, mon visage est en sang et mes hurlement ne vont rien arranger.
C: Si il n'est pas là avant dimanche. C'est fini pour toi.
C'est ici que mon cerveau n'ut pas assez d'oxygène pour rester conscient.
࿐࿐࿐࿐࿐࿐࿐࿐࿐࿐
Merci pour les 4k de vus. Merci beaucoup.
Bon je vais pas m'excuser à tout les chapitres oui je suis presque pas active et oui je m'en veux. Désolée.
La chapitre est donc oui assez violent j'espère qu'il ne vous aura pas trop offensé.
Qu'en pensez vous?
Je vais ESSAYER d'écrire d'autre chapitre histoire d'être active, je ne vous promet rien.
En tout cas merci beaucoup pour tout vos retours vous êtes géniaux merci merci✊
Gros bisous <3
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