Je tremble.
Je me retourne lentement, très lentement, et aperçois le visage de...Cyril...
Il pointe une arme sur le côté droit de mon front, et place son autre bras autour de mon cou près à m'étrangler. (Emma rpz<3)
C: Écoute moi bien à présent, je ne le répéterai pas deux fois tu m'entends? N'approche
plus
Valentin.
M: Lache moi Cyril putain. Et laisse moi tranquille avec Valentin.
C: Lache le.
M: Non.
Instantanément, Cyril force sur son bras gauche, ma respiration se coupe, et mes yeux se ferment ; je m'endors.
Je m'évade dans mon petit pays des rêves, sans me rendre compte que je me fais transporter.
ℙ𝕕𝕧 ℂ𝕪𝕣𝕚𝕝:
Sa tête devient pesante, il tombe dans mes bras.
La voiture n'est pas bien loin, il ne va pas rester endormit comme ça pendant longtemps donc il faut que je me dépêche.
Je le met sur les sièges arrières de la voiture, allongé.
Je conduis plutôt vite jusqu'à chez moi jusqu'à la maison que j'avais loué pendant un an, où personne ne connaissait réellement l'existence, et puis c'est un endroit paumé entre deux champs donc je n'ai pas à m'en faire.
Je sors maxime toujours inconscient de la voiture et rentre dans la maison.
Je le pose directement dans le canapé, en liant ses deux mains ainsi que ses deux pieds à des menottes.
Il ne va pas tarder à se réveiller.
ℙ𝕕𝕧 𝕍𝕒𝕝𝕖𝕟𝕥𝕚𝕟:
Bon, plus de trois quarts d'heures qu'il n'est toujours pas là, je vais aller le chercher.
Je sors de l'hôtel et met mes mains dans mes poches puis marche jusqu'à l'endroit où il était tout à l'heure.
Après pas mal de minutes de marche, j'arrive à l'entrée de cette route déserte, et continu ma route la tête baissée.
Je marchais à vitesse moyenne, au pire des cas, je ne pense pas qu'il irait bien loin à part chez lui, il n'a pas de famille autre part qu'ici, toute sa famille était à Angers.
J'arrive au beau milieu du chemin, mais, je n'aperçois personne.
Attend quoi?
Bon, pas de panique,il a du rentrer sans que je ne le vois. Je vais faire demi tour. Mais avant, je vais quand même l'appeler espérant avoir malgré tout une réponse.
Je colle mon iPhone contre mon oreille, et attend une réponse.
Quand soudain:
Je regarde dans le petit fossé d'à peine deux mettres.
Le téléphone de Maxime est là, en train de sonner.
Mon dieu. J'ai peur.
Je l'attrape, la main tremblante, et éteins la sonnerie.
Une boule au ventre m'était montée, et mon esprit ne sut que faire.
Je met le téléphone dans ma poche, et observe l'endroit de fond en comble, pour m'assurer qu'aucune chose de plus ne soit là. Et effectivement, aucun n'objet ou quoi que ce soit ne se trouve ici.
Le seul réflexe qui me vient et de courir, le plus vite possible, au commissariat.
Je cours, je cours, sans m'arrêter.
Arrivé vers le centre ville, je bouscule plus d'une personne, je cours toujours aussi vite, jusqu'à enfin apercevoir le commissariat au bout de la ruelle.
