Prise au piège

18

- Ah oui quand même je suis désoler pour toi.

- Moi aussi je suis désoler pour ce qu'il t'ai arriver vraiment.

Puis je l'a pris dans mes bras et la sera fort. Cette fille en avait autant baver que moi et franchement, je ne pensais pas ça possible. Elle mérite mon soutient.

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Elle s'écarta de moi et me dit : 

- Je suis désoler mais je commence vraiment à fatiguer. Tu penses que je pourrais me reposer ?

- Mais oui bien sur va en haut et normalement à la troisième porte à gauche, il y a une chambre d'ami.

Puis elle monta et me souhaita bonne nuit je fis de même. Elle a l'air d'être quelqu'un de bien, j'espère sincèrement qu'il ne lui arrivera rien...

- C'est bon je te crois frérot mais ne me fait plus jamais un coup du genre ok ? Dit Marco.

- Mais oui c'est promis ! Bon je vais aller me coucher tout ce "sport" m'a épuiser. Dit Conrad en rigolant.

A son tour Conrad monta en me faisant un clin d'œil. Je leva les yeux en l'air en signe de réponse.

Je me retourna vers Marco et il me regardait tous souriant, il est trop mignon. Je m'approche de lui et met mes mains derrière sa nuque et il met quand à lui les siennes autour de mes hanches.

- Tu m'as manqué. Lui avouais-je.

Il me caressa doucement  la joue de sa main droite et me dit :

- Je suis heureux de t'entendre dire ça parce que toi aussi tu m'a manqué tesoro.

Mon visage s'approcha lentement de celui de Marco jusqu'à ce que nos lèvres se touchent. Même si ça ne fait que quelques jours, il m'a terriblement manqué. Normalement je devrai avoir peur de l'influence qu'il a sur moi, du pouvoir qu'il a et le faite qu'il pourrait complètement m'utiliser pour tous et n'importe quoi même si il ne le fait pas.

Après que nos lèvres se soient détachés je m'approche de son oreille et m'apprête a lui dire quelque chose qui va légèrement changer sa vision sur moi :

- ça te dirais qu'on essaye tous les deux, ensemble le "sport" que ton frère adore tellement faire ?

Il se recula surpris ne sachant quoi répondre, il ouvra la bouche et arbora un léger sourire.

- J'aimerais beaucoup mais la question est de savoir si tu es sur de vouloir le faire enfin je veux dire de vouloir le faire avec moi. Dit il un peu gêner.

- J'en suis sur.

Il me pris par la main et m'emmena dans la chambre. On commença, j'étais un peu stressé et je voyais bien qu'il essayait par tous les moyens de me déstresser. Après quelques temps d'hésitation il le fit, même si pendant les premières minutes la douleur était très forte, quand elle a disparu une nouvelle émotion me submergea. Je n'avais pas une seule fois lâché Marco du regard tous comme il l'avait aussi fait avec moi, épiant chaque recoins de mon visage pour savoir si j'allais bien.

Juste après avoir passé, ce qu'on pourrait appeler le meilleur moment de ma vie, il s'allongea près de moi et me dit au creux de l'oreille, en chuchotant, son souffle caressant ma peau :

- Je t'aime Ana.

Je ne pouvais pas y croire il venait de me le dire, je...je....WOUAOU. Je tourne la tête vers lui et lui dit :

- Moi aussi je t'aime Marco.

Il m'embrassa une dernière fois puis m'enroula de ses bras et on s'endormit.