Prise au piège

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Il me pris dans ses bras et on resta quelque temps comme ça. Mais quelqu'un interrompa notre étreinte quelqu'un que je ne pensais pas vraiment voir ici.

- Ah c'est pour ça que tu m'as repoussé tu visais plus haut.

Oh non je sens que ça va mal ce finir cette histoire. Pourquoi on peut pas être tranquille.
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Ricardo. Qu'est ce qu'il me veut celui là ? Il commence vraiment à m'énerver lui.

- C'est bon arrête Ricardo t'es chiant là.

- Oh non je ne vais pas m'arrêtez donc tu as préféré être une des petite putes de monsieur le chef de gang que plutôt être avec moi. Je vois le genre de fille que tu es.

Je peux lire en Ricardo, il est énervé et blesser dans son égo. Ça fait de lui un homme qui a la rage et qui raconte n'importe quoi. Je ne suis pas sûr qu'il pourra survivre si il continue de me parler comme ça avec Marco à coter.

- Parle lui encore une fois comme ça et je te jure que je te pete les dents. Dit Marco la voix remplis de rage.

Ricardo applaudit, rigole et se rapproche de nous.

- Félicitations à ce que je vois tu viens d'avoir une promotion. Tu viens d'être promue pute personnelle donc exclusive du chef. Je trouve que ton parcours est remarquable mi querida. Dit Ricardo entrain de rigoler.

Marco me lache et se rapproche rapidement de Ricardo déterminé. Il lui assène un coup dans le ventre et lui prend la tête pour la taper contre un des meubles de la cuisine.

Ricardo tousse et gémit. Cependant Marco n'arrête pas pour autant. Ricardo se trouve maintenant à terre et Marco lui assène de nombreux coup de pied dans l'abdomen. Puis il enchaîne avec plusieurs coup de poings au visage.

J'ai comme des flash, des flash de ce que me faisait mon père. Quand il était trop saoul ou trop drogué ça lui arrivait de me confondre avec ma mère. Donc après les coup de ceintures il se mettait à me frapper, à me donner des coups de pieds et poings de partout sur le corps. Le pire c'est que le lendemain il ne se souvenait plus de ce qu'il s'était passer.

La voix de Marco me ramena à la raison.

Marco s'éloigne de lui et lui dit :

- Si je t'entend encore une fois l'insulter de pute tu es mort c'est compris ? Et Dieu sait que je n'aurais aucun remord.

Il regarda une dernière fois Ricardo et posa ensuite son regard sur moi. J'étais effrayée je n'en pouvais plus de toute cette violence alors je suis partis.

- Ana tu vas où ? Dit Marco me poursuivant et me criant dessus.

- Je ne sais pas mais loin d'ici.

- Quoi ? Comment ça ?

Je m'arrête on est maintenant dehors, je le regarde et je peux voir qu'il est perdu.

- J'ai juste besoin d'être seule quelque temps. Depuis ce qu'il s'est passer avec Tommy je suis à fleur de peau... j'ai juste besoins de quelques jours ok ? Pour m'en remettre et ce n'est pas avec toute cette violence que j'y arriverai.

- Tu... tu m'avais dit que tu ne me laisserais pas. Jamais. Ce sont tes propres mots.

- Je ne t'abandonne pas loin de là mais si je veux aller mieux il me faut un environnement avec un peu moins de violence d'accord ? Je pensais pouvoir y arriver seule mais j'ai besoins d'en parler et je ne peux pas avec toi ça fait trop mal et je ne suis pas sûr que ce soit une partie de plaisir pour toi aussi. Si je ne me guérie pas maintenant j'ai peur de ne plus jamais être là même. J'ai juste besoins de quelques jours c'est tous s'il te plaît. Disais je en pleurant.