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Mon sang ne fit qu'un tour, ça ne pouvait pas être vrai. J'allais devoir habiter avec mon bourot et en plus depuis quand mon père m'appelle comme ça d'habitude c'est à peine si il m'adresse la parole étant bourré. Mais en y réfléchissant il y a peut-être un point positif mon père ne pourra plus me frapper en tout cas plus aussi souvent qu'avant maintenant qu'ils sont là j'espère juste que ça va bien se passer.

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Je partis direction ma chambre sauf que:

- Ah au faite petite pouilleuse on ne t'a pas dit mais tu vas devoir dormir à la cave, mon Tommy prendra ta chambre. Me dis ma nouvelle belle mère le sourire au lèvre.

- Quoi c'est quoi encore cette histoire ?

- Tu as intérêt a mieux lui parler jeune fille, prends tes affaires et emmène les a la cave.

Ne voulant pas aggravé la situation je baissa les yeux mais les relevait directement quand je vis Tommy ainsi que sa mère rire. Je ne vais pas pouvoir supporter ça longtemps. Je monte les escaliers et prends mes affaires puis descend. Je vois tous le monde sauf mon père ou est-il aller ? Je me dirige vers ma nouvelle chambre si on peut appeler ça comme ça. J'entends un bruit, un bruit qui me térifie je lache mes affaires au sol. 

- Non s'il te plait papa ne me fait pas mal et en ils vont le découvir je t'en supplie ne fais rien.

- Ils sont au courant de se que je te fais subir tous les matins et ils n'ont pas le droit d'en parler. Cependant je suis d'humeur à être généreux. Il s'approche de moi.

- Tu sais tu as des formes maintenant. Je te propose quelque chose soit on se fait quelques parties de jambe en l'air tous deux me dit-il en louchant sur mes seins et en me caressant le bras se qui me donna une intense envie de vomir. Soit tu te prends les coups habituels ma chérie. Que décides-tu ? Me dit-il en commençant a défaire les boutons de ma chemise. Prise d'un terrible d'égout je le repousse.

- Non jamais tu me dégoutes je ne ferais jamais rien avec toi. C'est quoi ton problème merde tu peux pas te comporter comme un père normal ? Disais-je en pleurant, dégouter de la proposiion de mon père.

- Oh ma chérie tu n'aurais pas du dire ça et en plus c'est de ta faute si ta mère est partie donc que je me retrouve comme ça. Tous ce qu'il t'arrive est uniquement de ta faute gosse de merde. Tu as de la chance que j'ai un minimum de conviction pour ne pas te violer.

Comment peut-il me dire ça ? Prise de panique j'essaye de partir sauf qu'il me rattrape par l'avant bras et me ramène a lui. Il me plaque contre le mur et m'étrangle tellement fort que je manque d'air je suis a deux doigts de m'évanouir. Mon père ne me ferait pas se plaisir là.

Il me lâche donc a temps, je tombe au sol en toussant énormément. Il sert la ceinture qu'il a dans la mains et viens me mettre le premier coup d'un longue série. J'aurais du fermer ma bouche parce qu'il me donna 50 coup de ceintures.

Il me laissa seule dans le noir, blessé et affamé. Heureusement que j'avais penser a prendre les cachets anti-douleurs. Je ne sais pas par quel miracle, au bout de 30 min je finis par arriver a ramper jusqu'au cachet et une bouteille d'eau. Après les avoir pris, je resta au sol de toute façon je n'avais pas de matelas alors autant restez la.

Le lendemain matin

Je ne sais pas quelle heure il est mais je sais une chose j'ai très mal. Je reprends donc des cachets, j'en aurai bientôt plus il faudrait que je pense allez en acheter. Je me lève difficilement et désinfecte mes nombreuses blessures. Merde y en a une au ventre qui n'arrête pas de saigner je met donc de la crème puis met un pensement dessus. Je fis par crémer l'entièreté de mon corp presque aucune partie n'avait été épargné par les coups de mon père. 

Je m'habille, décide de mettre un gros collier noir pour ne pas qu'on voie les traces sur mon coup. Je me dépêche de sortir de la maison sans manger je n'en ai pas la force. Hier soir mon père était passé et m'avait dit que ce matin je ne me prendrais pas de coup. Putain j'ai de la chance sinon je pense que je serais morte sur le coup.

Arrivé au lycée je repère Lina seule je vais la rejoindre je lui saute dessus mais je remarque qu'en faite quelqu'un était avec elle et ce quelqu'un est autre que Marco génial. 

- Hey salut ça va ? Me demanda Lidia .

- Ouai ça va.

Je regarde Marco et je vois qu'il m'observe les sourcils froncés enfin il regarde mon ventre. Je baisse les yeux et remarque que mon tee-shirt c'était relevé laissant apparaitre mon pansement. MERDE il l'a vu bon j'espère juste qu'il ne posera pas de question. 

Je vois bien qu'il cherche mon regard mais je ne fais pas attention je décide d'entrer dans le lycée.

1 semaine plus tard

Ca fait une semaine que je vis l'enfer moi qui croyait naïvement que tous t'allait s'arrêter grâce à Gabriella et bien non. Mon père a décider que maintenant il y aurait 40 coups de ceinture 20 le matin et 20 le soir.  Le pire je crois c'est que c'est Gabrielle qui lui a donné l'idée. Tommy quant a lui me laisse tranquille au lycée mais ne m'épargne pas a la maison, il me fait tous le temps des propositions indécentes que je refuse bien évidemment.

Seulement le problème est que Tommy déteste qu'on lui dise non donc ce qu'il fait c'est qu'a chaque fois que je repousse ses avances il me donne un coup de fouet comme si je ne n'en recevait pas déjà assez. En gros je peux recevoir entre 5 et 15 coup de fouets par jour je crois qu'il pense qu'un jour je lui dira oui pour qu'il arrête ça mais le truc qu'il n'a pas compris c'est que je préfère mourir plutôt que de coucher avec lui. 

Je dors par terre mais je ne vous ai pas dis ce qu'ils ont décidé pour moi le Week end. Ne supportant plus de voir ma tête. Gabriella m'enferme donc le week-end dans la cave qui est maintenant ma chambre elle me laisse seulement une seule bouteille d'eau.

Pendant le Week end je me suis énormément ennuyer j'ai pu donc remarquer des choses que je n'avais pas vu avant comme toute les traces de sang au sol les miennes ou bien meme un object tranchant sous mon lit comme un rasoir.

J'ai pris la décision de me tailler les veines, tous le monde dit ça soulage mais le seul truc que ça m'a fait moi c'est un mal de chient c'est tous. Je ne le referais plus jamais ça c'est sur.

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Chapitre terminé dites moi ce que vous en pensez j'espère que ça vous plaira. Si vous avez aimé Voter et Commenter.

Biz, 

E.



Prise au piègeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant