L'amour est aveugle

chapitre 10

Dany se leva à son tour en levant un sourcils, de quoi parle et elle ? Victoria lui pris la main et le dirigea un peu plus loin, dans une autre pièce. Il y avait moins de musique, il pouvait l’entendre. Elle  lui demanda de s’installer, ce qu’il fit. Ça sentait le cuir, il avait l’impression d’être dans une voiture. C’était le cas, c’était un simulateur de voiture de course. Elyès lui attacha la ceinture. Quand  Dany posa ses mains sur le volant en cuir, il ressenti un bien-être. Comme à l’époque, quand il pouvait conduire et voir. Victoria se pencha vers lui, il pouvait sentir son odeur, elle était extrêmement proche, il se tourna dans sa direction.

Victoria : Vous verrez, vous allez vraiment adoré.

Dany: C’est… Une voiture de course ?

Victoria: C’est un simulateur, elle fera exactement les mêmes choses qu’une voiture de course. Vous pourrez ressentir exactement la même chose que ce que vous adoriez faire à l’époque.

Dany:  Merci… Merci infiniment.

Dany mis le contact et le ronronnement de la voiture le fit vibrer tout entier. Il était surexcité et extrêmement heureux de pouvoir vivre cet instant, cette montée d’adrénaline qu'il n’avait pas ressenti depuis longtemps. Il fît plusieurs tour de voiture et en était tellement heureux. Il ne pensais pas qu’il aurait pu ressentir cette sensation, qu’il avait presque oublié et qui était passionnante pour lui. De retour à la maison, il ne savait comment la remercier pour ce geste qu’elle avait eu auprès de lui. Il était encore plus heureux d’avoir fêter son anniversaire avec elle, plutôt qu’avec d’autres personnes qui côtoyé avant.

Victoria: C’était une bonne soirée n’est-ce pas?

Dany prit Victoria par les épaules, elle sursauta légèrement, étonnée par ce contact. Il caressa sa joue et elle ferma les yeux, elle savourait la douceur de sa peau contre la sienne. Son cœur palpiter légèrement, il s’approcha d’elle et effleura ses lèvres avec les siennes. Il lui fit un baiser chaste, mais il en avait envie il la désiré au fond de lui. Dany était tellement heureux de pouvoir vivre cet instant avec elle. Il se recula et colla son front au siens.

Dany: Merci, c’est la plus belle soirée de toute ma vie.

Elle se mit à sourire.

Victoria: À ce point-là ? Ce n’était qu’un tour.

Dany:  C’était bien plus pour moi, j’aimerais vraiment, vraiment à partir de maintenant que l'on se tutoie.

Victoria: Très bien, je vais aller me coucher maintenant et vous… Enfin tu, devrais en faire autan.

Dany:  Merci.

Il lui fit un furtif baiser sur la bouche et s’en alla. Victoria était devant le perron et se demander ce qu’il venait de se passer, il l’avait embrassée. Un des premiers baisers qu’elle avait eu de sa vie, et c'était de lui. Son cœur s’emballa et elle savait à ce moment-là, qu’elle avait des sentiments pour lui. Alors que pour lui c’était probablement un baiser pour la remercier de ce geste. C’est ce qu’elle voulait se mettre en tête, pour ne pas souffrir. Elle savait que si il voyait, il ne se serait jamais retourner sur elle. Victoria n’était pas le genre de femme que les gens regarder, enfin si, il regardait son visage et sa façon de marcher, sa cicatrice. Elle chassa ses pensées qui la rendait triste et alla se coucher.  Le lendemain matin, quand Victoria se leva, elle fut déçu d’apprendre que Dany avait dû se rendre à New York pour affaire.
Il partirait plusieurs semaines, et cela lui briser le cœur, il ne lui avait même pas laissé un mot ou quelque chose pour lui expliquer la situation. Elle se rendit compte à ce moment-là, que leur baiser n’avait aucune importance. Certes elle le savait, mais elle avait toujours eût un petit espoir, que ça puisse être quelque chose d’un peu plus important pour lui.
Elle passa sa semaine à ranger son bureau. Elle avait acheté des livres en braille, qu’elle avait disposé sur la bibliothèque de façon à ce qu’il puisse les retrouver. Victoria pensait beaucoup à lui et se demander si lui pensez également à elle, bien sûr que non. Pourquoi était-elle obnubilé par lui ? Est-ce de c’était de l’amour ? Elle était en train de ranger la bibliothèque et déposer les derniers livres qu’elle avait commandé pour lui. Quand soudainement, elle entendit une voix. Une voix familière, cette voix qui la faisait frissonner.