Chapitre 4 : Je t'aime

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( NDA : À partir d'ici, on quitte la "time-line" de l'animé et commence un scénario inventé. Oh et je vous mets un potit amv  cool ici : 

Bonne lecture ! ) 

PDV Killua :

- Killua... J-je t'aime...

Hein ?! Mais pourquoi il dit ça ? Il doit se tromper...

- En fait, depuis qu'on est arrivé à la tour céleste, j'arrive pas à penser à autre chose qu'à toi... Je suis encore assis au bord de la falaise quand Gon se rapproche et se colle à moi, Même si j'essaye de te voir que comme un ami... ... Tu vas peut-être me haïr si je dis ça... Mais je t'aime Killua... Je t'ai senti un peu distant ces derniers temps, et le simple fait de penser que tu puisses ne pas m'aimer ça me fait vraiment mal... Killua, est-ce que tu m'aimes ?

Aucun mot ne s'échappe de ma bouche... Je suis comme paralysé. Pourquoi voudrait-il m'aimer alors que nous sommes ami ? Mais en même temps, je ne peux m'empêcher de penser qu'il a raison... Je ne bouge pas, ne réponds pas. Je vois son visage se déformer par l'inquiétude, mais avant que je ne puisse le rassurer.

- Je ne viens pas de te dire à quel point ça faisait mal quand je pouvais penser que tu puisses me haïr ?.. Alors, s'il te plaît, fais moi me sentir bien !

Il me regarde, nous avons tous les deux les joues rouges. Il rapproche son visage du mien et colle ses lèvres aux miennes tout en fermant les yeux. C'est un baiser doux, chaud, amoureux, et même si je suis très gêné, je ne peux m'empêcher d'y répondre. 

Finalement, je suis peut-être bien amoureux de mon meilleur ami

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Finalement, je suis peut-être bien amoureux de mon meilleur ami...

Il s'éloigne étonné ;

- Mais je croyais que/.


Je ne le laisse pas finir sa phrase et l'embrasse de nouveau. Ce baiser n'est pas le même que le premier, il est humm plus sauvage ? Je constate que ça ne lui déplaît pas, en effet après quelques secondes, je sens sa langue pousser délicatement mes lèvres pour demander leur ouverture, ce que j'accepte immédiatement.

Je ne me suis jamais senti aussi bien... D'ailleurs je ne sais pas depuis combien de temps nous sommes entrain de nous embrasser ni combien de temps ça va durer, mais je m'en fiche, je profite, je profite de ses lèvres contre les miennes, de nos langues qui dansent, de cette chaleur qui nous réchauffe sous un ciel aux milliards d'étoiles.

Quand nous nous écartâmes pour reprendre notre souffle, je lui dis ;

- Gon, je t'aime.

Je peux lire son soulagement dans ses yeux, ces yeux, brillants plus que toutes les étoiles réunies dans le ciel nocturne.

Nous recommençons un baiser, encore plus passionné que le dernier quand nous entendons un bruit derrière nous. À peine retournés, nous voyons un sac tomber au sol et une silhouette courir dans le sens opposé de notre direction.

Curieux, mais sur nos gardes, nous regardons ce que contient le petit sac tombé au sol. Deux petits sandwiches ainsi qu'une bouteille d'eau s'y trouvait. Je me retourne vers Gon pour lui demander à qui peut bien appartenir ce sac, mais je n'ai pas le temps de lui poser la question qu'il me répond déjà :

- Ce sac, il est à tante Mito...

Je vois une larme couler sur sa joue. Au début, je ne comprends pas, puis... J'entrevois la vérité, ce qui me glaçât le sang. Si ce sac appartenait bien à la tante de mon nouvel amoureux, cela signifiait qu'elle avait dû assister à la scène. Et si elle avait "fui" ça voulait dire que... Il n'y avait pas des milliers d'explications... Mais comme pour nous rassurer, je cherchais tout un tas d'autres possibilités toutes aussi improbables les unes-que les autres.

- T'inquiètes pas Gon, et puis déjà, qu'est-ce qui te prouve, c'est son sac ?...

Ses deux joues s'humidifient désormais.

 Je le reconnais... Et puis je peux sentir son odeur.

C'est vrai que Gon a un très bon odorat, il est quasiment infaillible. De plus, il doit pouvoir reconnaître l'odeur de sa tante entre mille.

Il commence à sangloter.

Je le prends dans mes bras pour le réco/. Il me repousse... Même si j'en suis triste, et au fond, blessé, je comprends sa réaction. C'est encore plus frustrant pour moi de le voir si triste sans pouvoir l'enlacer pour le rassurer... J'essaie tant bien que mal de le soutenir, mais ça n'a aucun effet...

Il commence à partir, je comprends qu'il souhaite rentrer. Nous nous mettons donc en chemin, je ressens désormais le froid de la nuit sur ma peau, qui était auparavant réchauffé par la présence du garçon qui me plait.

Je marche derrière lui, et nous ne parlons pas... Je me sens faible et impuissant.

À suivre...

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Désolé pour ce chapitre assez court 👉👈 ^^' m'enfin c'est pour le bien de l'histoire 😁
Ah et les chapitres mettrons un peu plus de temps à sortir étant donné que je dois tout inventer !

++

Attends ! [Killugon - Terminée]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant