debout !

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"izu...
izuku...
juste un signe s'il te plaît...
je t'en supplie..."

"Je ne sais pas d'où tu viens viens mais vas t'en !"

J'ai beau lui répéter mais elle ne daigne pas s'en aller. Cette voix résonne de plus en plus dans ma tête. Je pense que la ou je suis dans cette vaste étendue noir, le temps défilé de la même manière que chez les vivants. Je ne sais pas où je me situe mais je ne suis pas mort. Je me souviens de tout. Et malgré ma tentative, je ne suis pas mort. Je sais que je m'appelle izuku midoria et j'ai 15 ans. Je vie avec ma mère uniquement car mon père nous a abandonné. J'ai un ex copain. Le mot ex me soulage un peu. Shoto todoroki n'as pas était la plus belle des personnes avec moi. Il m'a fait des choses qui me donne envie de vomir de moi même . J'ai de très bons amis pourtant, Uraraka, Iida, Kirishima, Asui, Kaminari, Tokoyami et je me rappel même avoir sympathisé avec Aoyama. J'ai aussi un meilleur ami. Je ne sais pas si c'est réciproque ou si il m'accepte juste comme être vivant. Il est assez spécial je l'avoue mais il a son charme. Bon okay un charme que seul moi peut voir d'après les autres mais je vous assure qu'il est charmant. J'ai toujours essayé de me tendre avec lui. Petit je me plier en deux pour lui quitte à me prendre des coups. Mais après mon entré à UA, j'ai quand même continué à essayer de me rapprocher de lui. Oui je sais c'est étrange mais j'ai l'impression d'avoir besoin qu'il soit dans ma vie. Mais maintenant je fait tout pour qu'il me respecte et bizarrement ça marche parfois on arrive même à discuter tranquillement. Vous vous dirais qu'une relation de meilleurs amis ne devrait pas vraiment ressemblé à ça. Mais personnellement je m'en fiche. C'est ma relation à moi et Kacchan.
C'est étrange...normalement dans cet endroit je ne ressens ni fatigue, ni faim et ni soif. Mais là j'ai l'impression que si je ne m'endors pas mon corps le ferra sans mon accord.
Alors je m'allonge sur ce que je pense être le sol. Mais ca donne plus une impression d'immense matelas. Une odeur de froid me chatouille les narine mais je n'y prêt pas plus attention et ferme doucement mes paupières.
Je n'ai pas vraiment rêver, j'ai simplement vue beaucoup de souvenirs de ma vie. J'allais sûrement mourir. Alors j'ai prier. Prier pour pouvoir revoir le plus de moment ou jetait heureux avec lui.
Mais yeux s'ouvre, bien que difficilement, se faisant agressé par une forte lumière blanche. Et bah c'est drôlement cliché la mort. Mais mon corps peine à bouger. Mes yeux s' habitue à la lumière et je commence à distinguer des objets d'abord en face de moi se trouve un petit écran télé. À ma droite une grande fenêtre qui remplisse la pièce d'une forte lumière. En tournant la tête vers la gauche je vie une petite table avec sur son dessus un vase rempli de fleur. Ça doit être un pur hasard mais se sont mes fleurs préférés. Je suis séparé de la porte par un grand rideau blanc. Je suis donc dans un hôpital... Se qui veut donc dire que je suis en vie...
Au bout de 15 minutes à regarder par la fenêtre j'entends la porte s'ouvrir puis de refermé. Des bruits de pas arrive en ma direction. J'aperçois devant le rideaux, un homme vêtu d'une longue blouse blanche. Il est de dos et ne doit sûrement pas avoir remarqué mon réveil.

" Euh excusez moi, je pourrais savoir quel jour on est ? s'il-vous-plaît.."

Pour seule réponse j'obtenue un cri. Waw sa c'est du réveil de compétition. L'homme parti et claqua la porte. Qu'es ce que j'ai dit encore... Je fait si peur à voir que ça... Au bout d'une minute même pas un médecin rentra dans la chambre et vint s'asseoir à côté de moi.

" Bonjour mon garçon.
  Bonjour.. dites j'ai simplement demandé à votre collègue quel jour on était et il est partie en hurlant..
  Se n'est pas votre faute.. À vrai dire les autres médecins et moi ne savions même plus si vous alliez vous réveiller. Vous êtes resté dans le coma durant un ans monsieur midoria .
Un  ans sérieusement..!
Oui et d'ailleurs je doit vous parler de certaines choses. Toutes mes condoléances mais vôtres mère... Madame midoria nous a quitté juste après votre arrivée à l'hôpital... Je suis désolé de vous l'annoncer si tôt. D'ailleurs après son décès nous avons cherché vos parents les plus proche et nous n'avons trouvé aucune réponse. Votre père n'apparaît dans aucun ficher. Je pensais quand retrouvant votre père cela pourrait, même infiment, soulager se poids... Personne ne pouvant prendre en charge vos frais d'hospitalisation nous devions vous débranché mais votre petit ami a dit s'en charger.
Mon quoiiii ?!!
Vous savez je ne vous jugerai pas. Il ne nous l'a pas dit clairement je le sais mais cela se voyait dans son regard il espèrer vous voir revenir plus que quiconque. Il venait vous voir tous les jours à la même heure espérant vous retrouver. Je suis désolé pour toutes ses révélation si rapides mais votre ami, si j'ai bien compris, à dit qu'il vous expliquerait plus en détail à sa visite. Voulez-vous que je le préviene ?
Est ce nécessaire ?
Il devrait arriver d'ici 1h30. Ça le ferait simplement arrivé plus rapidement.
Laissé lui la surprise docteur. Je vous remercie encore pour ce que vous m'avez dit. Je vais avoir besoin de temps pour faire mon deuil de ma mère mais je m'en sortirai.
D'accord. Euh un dernier détail monsieur midoria. Suite à des dépistage nous allons vous faire consulter une psychologue. Cela vous sera malheureusement obliger.
Oh je n'y voie pas d'inconvénient mais pourquoi donc ?
Nous avons trouvé des résidus de spermatozoïdes à l'intérieur de vous. Votre ami m'ayant l'air la personne la plus proche de vous je lui ai demandé si il était au courant d'une quelconque relation sexuel. Il m'a clairement fait savoir que non et à insisté pour savoir pourquoi. Je me suis dit que se serait plutôt à vous de lui en parlé.
D'accord, merci beaucoup docteur.
Derien. Des médecins passeront vous faire quelques test en fin d'après midi.
d'accord "
Le médecin s'en alla et ferma derrière lui la porte. Ma mère est morte... Les larmes montaient je me laissa aller et pleura à chaude larmes sur mon lit d'hôpital. Je me suis mis dans la position de l'herisson comme je l'appel et resta environ 1h comme ça. Quand la porte s'ouvrit et me fit me relever la personne ne vint pas vers moi directement. Je ne voyait qu'une ombre sur le rideau. Nan ça doit être shoto ! Je veux pas le voir ni l'entendre. J'ai envie de m'enfuir par la fenêtre. Mon cœur se resserre à l'intérieur de ma poitrine. Bon si il s'approche de trop j'appuie sur le bouton d'urgence!

plus jamais ! Où les histoires vivent. Découvrez maintenant