plus jamais !

oups..

Je suis contant . Demain je vais chercher deku à l'hôpital. Il va vivre avec moi maintenant je le savais déjà et pourtant ça me fait chaud au cœur. J'en reviens pas d'avoir autant pleurer dans ses bras mais waw j'en avais besoins, il m'a tellement manqué.
Un petit pincement au cœur..
Pourquoi il ne m'as pas parlé de sa relation avec l'autre la.. Il aurait put me le dire a moi. J'avoue qu'on était pas complice nan plus, mais me cacher qu'il avait un copain quand même... Bon, d'après se que j'ai compris il ne sont plus ensemble. J'ai l'impression que il c'est passé quelques choses... Ça a beaucoup affecté deku à se moment là, ça devait être assez grave pour que izuku se mette dans un tel état ...
J'aimerais qu'il me raconte se qu'il c'est passé entre eux..
Mon deku... (oui c'est le mien okay) tant que je serait là il ne t'arriveras plus rien, maintenant je te te protégerait toujours...
Mes paupières devienne lourde et je finit par tomber de sommeil, étalé en caleçon sur mon lit... Faudrait que je perde cette habitude quand il sera là on dirait un exhibitionist...

*biiip*biiip*biiip*
Je tape assez fort sur mon réveil pour pouvoir l'éteindre mais j'espère que je l'ai pas non plus cassé j'en ai malheureusement besoin moi..
Bon il a rien de péter...
Je me redresse difficilement, et me rend à la salle de bain.
Tien j'ai apparemment préparé mes affaires pour aujourd'hui la veille... En même temp je vais chercher izuku aujourd'hui...
MERDE DEKU!!
Je vais finir en retard j'espère qu'il est pas encore réveillé j'aurai imun peu plus l'air dans les temps..
J'enfile un jean troué noir et un tee-shirt gris puis attrapé ma veste en jean se trouvant sur le porte mentaux. Je file me faire une tartine et cours prendre ma voiture. Oui je l'ai eu pour mes 16 ans l'année dernière...
Je file en direction de l'hôpital, je nous prendrai un café sur le chemin du retour..
En arrivant je voit une Mercedes rouge sur le parking, mais c'est qu'il est garé comme un cochon celui là!
Merde c'est toujours des cons qui ont les belles voitures... Je me gare un peu plus loin car ce con a pris 2 place à lui tout seul. Mais d'ailleurs je ne connais que trop bien les médecins ici. Aucun n'a de tel voitures et c'est pas l'heure des visites...     À ce que je sais seul deku sors aujourd'hui... J'ai un mauvais pressentiment... Je me rue à l'intérieur de l'hôpital et cours en direction de la chambre 109.
*vlam*
J'ouvrit la porte coulissante et entra en trombe dans la pièce. La scène que je vit m'horripila au plus au poins. Il avait une main sur sa bouche, et de l'autre il tenait ses frèles poignets au dessus de ça tête. On entendais juste de légers cris mais ils étaient infimes, cachés sous cette masse beaucoup plus imposante que lui. Il me jetta un regard noir. Et repris son activité en léchant son cou. Au même moment ses yeux se posèrent sur moi.
"aide moi... s'il te plaît"
Je sauta sur son agresseur. D'une main je lui joint les poignets au dessus du cran et de l'autre je lui colle de puissantes droites. A la mon coco ta bien fait d'être dans un hôpital au moins après ça on t'emmenera pas trop loin. J'arrive quasiment plus à m'arrêter sa tête de bicolore  me donne de plus en plus envie de vomir un filet de sang coule de son nez tandit que sa lèvre est fendu. Il a l'air assommer je reprend mes esprits et me redresse d'un coup. Je prend izuku encore sous le choc en mode princesse.de base là situation m'aurait gêner, mais la j'ai plus le temp. J'ouvre la porte, pose deku sur une chaise, attrape un ballet pas loin de nous et coince la porte avec. Je reprends ensuite izuku dans mes bras mais cette fois si avec plus de délicatesse. Un médecin arrive paniquer devant nous..

"mon dieux monsieur bakugo que c'est il passé  ??
Et bien vous vous rappelez du bicolore qui était venu au réveil de izuku.. Il est revenu et a commencé à agressé sexuellement de..izuku..
Je vois je vais prévenir la sécurité et cette fois il ne s'en sortira pas..
Euh d'ailleurs.. Je pense l'avoir un peu amoché sur le cou.. Je suis désolé...
Ne vous inquiétez pas monsieur bakugo vous avez fait se qu'il fallait pour défendre monsieur midoria."