Acte 2 – scène 3 :
(Ling et Mei sur un banc, Ling tient un journal et Ming caché)
Ling : Madame ! Avez-vous vue les dernières nouvelles, on raconte qu’un monstre court en
ville !
La dame l’a regarde en fronçant les sourcils
Mei : Vraiment !? Il ne faut pas croire tout ce qu’on lit ma chère.
Ling : mais ! Voyons écoutez, on raconte qu’un monstre hante la ferme abandonnée, on aurait
retrouvé des carcasses de rats en putréfaction
Mei : des rats morts on en trouve partout
Ling : Mais laissez moi finir ! Après analyse on remarque que sur les carcasses qu’il n'y a plus
de chairs, de globes oculaires et plus de cerveaux. De plus on remarque sur le sol de la grange
des taches de sangs, d’après les experts les rats ont été frapper avec le pied ce qui expliquerait
pourquoi leurs os sont semblables à des miettes de pains !
Mei : C’est dégoûtant, cesse donc de lire cela tu risque de ne pas trouver le sommeil ce soir !
Ling : Mais écoute le pire est à venir ! Les os des animaux ont été retrouvés tailler comme des poignards devant un autel à la déesse de la vie et de la mort. Tu te rends compte !? Un fou habite notre contrée !
Mei : où alors ce n’est qu’un animal capricieux qui ne mange pas de carcasse, les chats sont pédants, je suis sur qu’un matous de gouttière rode et se nourrit dans cette ferme, pour l’histoire de l’autel ce n’est qu’une coïncidence et une parole populaire amener par les personnes crédules et paranoïaques. Crois moi tu ne dois pas te faire du soucis pour cette histoire
Ling : Pourtant regarde la photo de l’article avec les os, ils semblent que cela ressemble à des dessins de notre culture. Je vais essayer de déchiffrer, attends un peu.
Ling sort un crayon à papier et elle retrace les caractères de la photo
Ling : Oh mon dieu mais c’est Horrible ! Cela ne peut pas être un chat ! Un chat ne peut pas
écrire de telles atrocités par erreur !
Mei se penche et regarde par-dessus son épaule
Mei : Je n’arrive pas à te relire, peux tu me dire ce qui est horrible ?
Ling avec le ton grave : C’est un 4 symbole de mort avec un crâne à côté ! voilà ce qui est dit ! Nous devons tout de suite rentrer chez nous ! Un mal rode par ici, vite dépêche toi de te lever ! Partons le plus vite possible je ne souhaite pas servir de repas à cette créature malfaisante.
Les deux femmes partent à la hâte bras dessus bras dessous. Ming les observe partir satisfait mais il ne laissa pas la vie aux femmes.
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Le Lilas des Indes
ParanormalRésumé : « Je voudrais être un poignard pour faire couler ton sang comme tu as fait couler mes larmes, n'est-ce pas de ta faute très chère mère ? » C'est ainsi que s'adresse Ming à sa mère Ai. En effet celle-ci alors qu'il vient de naître va l'aband...
