Acte 5 – scène 3 :
(Ming et Ai)
Ming détache sa mère et celle-ci se relève mais ses jambes tremblent, elle sourit à son fils en
s’approchant de lui pour se saisir de son arme.
Ai : Idiot ! Tu as crû mes paroles ! Tu n’es vraiment qu’un homme crédule, tu crois tout ce que l’on te dit. Maintenant je vais te détruire pour me venger de l’argent que tu as brûlé ! Tu n’es pas au bout de tes peines, j’ai tué ton père, ce n’est pas toi qui va m’effrayer. Tu n’es qu’un cafard mal élevé. Je vais te sanctionner avec amour. Car ta maman t’aime. Tu as détruit ma vie. Je ne peux pas m’empêcher de vouloir détruire la tienne.
Ming serre ses poings en la regardant droit dans les yeux : Je vais faire couler ton sang comme tu as fais couler mes larmes n’est ce pas ta faute très chère mère ?
Ai se jette sur son propre fils avec l’arme blanche qui scintille. Ses yeux sont écarquillés par la folie, elle rit à gorge déployée mais sa folie la rends aveugle. Elle rate son fils.
Ai : montre toi mon fils ! Montre moi ta jolie frimousse que je vais me faire un plaisir de tailler comme une mauvaise herbe.
Ming : Je vais vous tuer ! Mère je vous dit adieu ! je vais venger Nu Wa et mon père. Le bien va vaincre le mal !
Ming commence une série de coups violents, ses mains se tâchent mais Ai se défend et elle entaille plusieurs fois son fils. Ming attrape sa mère qu’il porte comme un nourrisson pour la
jeter dans les flammes qui la dévorent vivante.
Ming : Adieu Mère. Rejoignez les enfers et travaillez toute votre vie en tant qu’esclave, vous allez casser des cailloux en enfers. Les rôles s’inversent. Vous n’êtes que poussière désormais.
Ming plonge dans les flammes pour récupérer le corps, il tranche la tête pour la remettre dans son caveau puis il ouvre le torse en deux pour récupérer le cœur.
Ming : Voici ma récompense personnelle ! Votre cœur Mère. Votre cœur inutile dont vous ne vous êtes jamais servi, je vais le garder comme trophée. Désolé vous ne pouvez plus nuire ! Mon père peut reposer en paix tout comme la déesse. Voici mon offrande ultime Nu Wa, admire le
corps de ma génitrice brûler et délecte toi des odeurs. Ma mission est achevé
Ming croque dans le cœur à pleine bouche.
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Le Lilas des Indes
ParanormalRésumé : « Je voudrais être un poignard pour faire couler ton sang comme tu as fait couler mes larmes, n'est-ce pas de ta faute très chère mère ? » C'est ainsi que s'adresse Ming à sa mère Ai. En effet celle-ci alors qu'il vient de naître va l'aband...
