Une histoire de Sceletoon

Chapitre 4

La veille de la troisième lune étais arrivé. Mes affaires étaient emballer et j’étais déjà prête à quitter cette demeure qui me servait de prison.

Malgré toute la souffrance que j’avais vécue, je ne pouvais pas m’empêcher d’éprouver une certaine nostalgie. Après tout, j’avais eu une famille, certains souvenirs, quoi que pas tous aussi agréable, résignait en ces murs. Je ne pouvais me résigner à m’endormir. J’avais à la fois hâte mais en même temps, je n’osais pas m’imaginer quitter cette maison. Je pourrais enfin voir le monde de l’extérieur. Je pourrais voyager avec ma tante, je serai avec mon cousin tant adorer, Maria me suivais aussi, et j’aurai mon nouvel ami avec moi. John. Ma tante ma permis d’emporter mon oisillon. Bref, tout semblait pour le mieux. A mon grand contentement, je n’avais pas vue Père depuis ‘l’incident’. Je ne voulais pas le voir non plus. Enfin… Je crois ne pas vouloir le voir. Il me manquera peut-être, n’empêche le fait que j’ai vécu avec lui. Qu’il me consolait en me serrant dans ces bras lorsque je ne me sentais pas bien.  Qu’il me montrait des créatures fantastique qui dormais dans notre jardin, de temps en temps éveiller par le siffle qu’il faisait pour que ces être si jolie et mystérieuse viennent nous voir. Il ne me racontait pas grand détails de la famille et encore moins n’aimait-il s’exprimer en mots. En y repensant, il me manquera. Cette prison me manquera aussi. Ces grands jardins, autant. Ma petite cabane derrière ceux-ci, vraiment beaucoup. De plus, j’ai cherché tous les indices concernant ma famille et John, ici. Il n’y a plus rien à n’y quérir. Les secrets qui non pas été dévoiler le demeureront indéfiniment. Par contre, je persisterai à trouver toutes ces réponses. 

Je décidai de me lever et de m’assoir devant ma grande fenêtre. Bientôt, je ne pourrais plus savourer cet instant. Bientôt, je ne pourrais plus captiver ce soleil levant et couchant au gré du temps. Non, bientôt, je ne serrais plus ici.

Quelqu’un cogna soudainement à ma porte.

-C’est ouvert.  Dis-je

Qui pourrait, a cette heure tardive, cogner a ma porte? Maria?

La porte s’ouvrit. La faible lueur des bougies ne me permettait malheureusement pas de distinguer la personne. Soudainement et étrangement, quelque chose en moi se mis à frémir.

-Que me voulez-vous à cette heure?

La personne ne me répondit qu’après quelques instants.

-T’ai-je réveillé?

-La n’est pas la question … Père. Elle est sans importance.

Il prit une chaise et s’y assis.

-J’ai vu les papiers concernant ton départ et j’ai pris soin de demander des rapports sur tes travaux.

-Alors comment avez-vous trouvez le travail de votre enfants? Dévastateur? Ne me dite pas que vous allez annuler mon voyage …

- Calme-toi mon enfant. Pourquoi toujours être sur tes défenses, en ma présence?

‘’Pourquoi’’ demandait-il? Il a tué ma sœur et son amant. Il ma emprisonner toutes ma vie jusqu'à maintenant, ici. Même si parfois il peut être doux, gentil et compréhensif, ce qui n’est que cas rare, il est cruel et méchant. J’ai beaucoup de raison de le détester.

-Je ne suis pas venu te voir pour t’annoncer que ton départ est annulé, Élizabeth,

Alors pourquoi était-il venu me voir?

-Pour tout te dire, je suis très fier. Tes travaux sont très soigné et ton voyage est très organiser. Je voulais aussi te dire que tu peux revenir quand tu le veux. Tu seras toujours la bienvenue…