Chapitre 11

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Nous étions à la grande table. C’était l’heure du souper. Tous les inviter de la mâtiner étais présent. Mon oncle était cette fois, assis près de moi, au bout de la grande table. J’étais à sa gauche et ma tante était à sa droite. Les inviter étais assis par famille, de chaque coter, et évidement, Nous pouvions nous attendre a ce que Rose soit assise près de mon cousin. Jérémy me lançait des regards qu’il ne m’avait jamais présentés. Une cloche sonna et les serviteurs arrivèrent avec plusieurs plateaux. Nous en avions chacun un près de nous et lorsqu’une deuxième cloche sonna, ils enlevèrent le plateau qui cachait notre repas. Nous avions de la viande avec des pommes de terre aux beurres et des légumes. Un repas normal.

-Sir, puis-je vous demander la raison de cette adaptation si rapide et le fait que vous aillez plusieurs technologie qui ne vienne pas de notre siècle?

-Pour faire simple, mon bon homme, Nous avons des ‘voyageurs du temps’. Une spécialité de Sceletoon. Répondit loyalement mon oncle.

-Oncle Étienne...Dis-je.

Personne n’était supposé être au courant de notre espèce. Mais je suppose que mon cher oncle avait ses raisons d’en avertir ou d’en parler à ces personnes.

-Alors, chère Élizabeth, c’est cela? Demanda Rose.

-Oui, qu’y a-t-il? Répondis-je

-D’où venez-vous? Demanda Lydia

-Du Canada. Dis-je fièrement. J vis dans des montagnes à l’écart du monde extérieur. Pour être plus précise, dans le château de Froet. Nous avons quelques villages a géré mais notre manoir n’est que peu convoiter par les habitants de nos régions.

-Du canada. J’habitais par là bas quand j’étais jeune. Répondit alors mon autre cousin que nous avions rencontré le matin même. Gorge.

-Tu habitais ou? Demandais-je. Je veux dire, vers quelle contrée?

-Québec. Un endroit ou les saoul et les buveurs font leur naissance et ou l’hiver est plus persistant que la pluie a Londre.

-Je connais cet endroit. Mon père m’en rapportait de belles fleurs, des comptes d’horreur autant que fantastique comme…la chasse galerie, vous connaissez?

-Bien sur! Mais, je dois vous avouer, c’Est une des plus belle régions qu’il peut exister. Les gens accourent lorsqu’une personne est en détresse et malgré plusieurs défauts, ils sont fiers d’eux. Ils ont leur vocabulaire qui est très spéciale en point positifs. Ils beaucoup de point positif. J’y retournais n’importe quand.

A ces mots, tous levèrent les yeux et fixait mon cousin qui celui-ci avec des yeux brillant de fierté.

-Justement, c’est de là bas que je viens! Ria t’il

Il donnait le gout à tout le monde de visiter sa région natale.

-Un jour vous m’y emmènerez? Demanda Rose à Jérémy.

-Vous pouvez compter là dessus. Répondit-il.

Personne ne semblait avoir remarqué son sarcasme. Personne hormis moi.

Quelques minutes plus tard, nous avions tous terminer de manger et les assiettes étaient retirer par les domestique. John faisait partie d’eux. Il m’adressait des regards de temps en temps. Parfois un sourire chaleureux.

Je repensais a ce qui c’étais passer au jardin de ma tante. John qui s’approchait de mon visage et le sursaut que j’avais eu lorsque Jérémy m’avais appelé. Je rougis à cette idée.

Oncle Étienne pris ma main.

-Tout va bien mon enfant? Demanda-il inquiet.

-Oui oncle Étienne. J’étais seulement un peu distraite.

Une histoire de SceletoonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant