Chapitre 6

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John venait de se trancher la gorge? Impossible! Il ne ferait jamais une telle chose!

Je reportais mon regard vers le cadavre qui ce vidait de son sang. Tout sang m’asséchait la gorge, mais malgré la tentation de me jeter sur se corps inerte, je portais mon attention sur John. Était-il vraiment mort?

-John! Hurlais-je. John!

Si Arthur me lâchais finalement.

-Pourquoi m’en avoir empêché!? Lui demandais-je

-Il voulait te donner la chance de voir ta Mère. Il voulait que tu aie ta chance. Tes réponses.

-Je me contre fiche de toutes ses réponses. A quoi servent-elles si je n’ai personne avec qui les partager. John…Je m’approchais de son corps.

Je m’agenouillais près de lui, soulevant sa tête tachée d’un rouge si tentant, et la portait sur mes genoux. Je lui caressais les cheveux. Je me souvins, à ce moment, la première fois que je l’ai rencontré.

-Pourquoi, idiot. Pourquoi t’être sacrifié pour moi? J’aurais mille fois mieux aimé trouver ces réponses avec toi, que seule.

Il ouvrit les yeux, me regardant, malgré la douleur, avec une douceur infinie. Il essayait de me parler mais je l’en empêchais.

- Pas un mot. J-je ne sais pas comment te guérir. John…les larmes coulaient déjà depuis un moment. John, pourquoi?

Il essayait, malgré le peut de force qu’il lui restait, de me consoler. Je ne pouvais faire autrement que de verser mes larmes sur son visage.

-John, j’ai aussi besoin de toi. Idiot! Stupide! Idiot! Idiot!

Quelques minutes venaient de passer et John étais partit. Son âme n’était plus ici.

Maria sorti finalement de l’ombre. Elle me prit dans ces bras et à sa stupéfaction, je la repoussai

-Abby…? Demandais-t-elle

-Tu aurais pu l’en empêcher! Maria! C’était mon ami! Maria! Maria…

Après quelques efforts inutile, je me ressoudais a me laisser bercer par ma domestique.

-Abby…Regarde…

Elle me pointa le corps immobile de John. Je ne voulais pas regarder, mais Sir Arthur s’agenouilla près de moi et Maria et me dit de regarder. Je ne pus faire qu’obéir, encore une fois. En me retournant, je vis non seulement le corps de mon ami, mais un enfant.

Elle avait les cheveux dorée, des yeux bleus comme Mère et des lèvres d’un rouge flamboyant. Elle portait une longue robe de couleur crème décoré de roses. C’était étonnant d’aussi voir des ailes. Mais le plus surprenant est qu’elle passait par-dessus John pour venir me voir.

-Élizabeth? Avais telle demandé.

-Qu-qui êtes-vous? Demandais-je, choquer.

-Élizabeth! C’est toi! Criais-t’elle de joie.

Mais je m’évanouis.

Quelques heures plus tard, je me réveillais.

Ou étais-je? Dans un jardin?

Il y avait plusieurs enfants qui couraient et ils emblaient tous très joviales.

-Élizabeth! Élizabeth! Riaient-t’ils

-Nous t’avons emmené ton amoureux! Ton amoureux! Riaient-t’ils encore.

-Ce n’est qu’un ami! Arrêter! Hahaha! Me surprenais-je à dire.

Une histoire de SceletoonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant