Chapitre 7

246 6 0
                                    

Quelques jours passèrent sur le bateau et nous étions arrivés sur la terre ferme. La fièvre de John étais presque disparut et après ce nouvel épisode, un alliée c’étais mêler a nous : Sir Arthur. Nous venions d’arriver à Londre. Il fallait que nous trouvions évidement la maison de ma tante Marie mais nous devions certainement informer la parenté a Sir Arthur qu’elle ne pourrait plus dispenser de ces services maintenant qu’il c’Étais trouver un maitre.

-C’est incorrecte. Ils non pas besoin de le savoir! Avais objecté Sir Arthur.

-Oui! Répliquais-je. Nous devront l’avertir!

-Si je serais toi, Arthur, j’obéirais. Elle est très têtue. Avais lancé John par-dessus mon épaule.

-C’est SIR Arthur. Avais dit le sujet de notre conversation.

-Je ne suis pas si têtu! Dis-je au fiévreux. Je me retournai et m’adressa de nouveau a Sir Arthur. Nous avons signé un contrat, j’en ferai alors usage. Au nom de ce contrat, vous, Sir Arthur, me devez voyance et obéissance. Celons la grande nuit des Sceletoon qui durent depuis des millénaires, je vous donne l’ordre d’Avertir vos anciens comparses de ce nouvel événement.

John tapais maintenant des mains et sifflait :

-C’étais tout un ordre sa! Haha! Et si bien formuler! Avais conclut John.

-Ah! Toi, dis-je en me retournant. N’étais tu pas sensé être avec Maria a l’auberge pour te reposer? Demandais-je avec un ton d’autorité.

-Justement…Parlons de se sujet. Commençait-il.

-Que t’ais je dis à bord du bateau? Tu te souviens? Ta punition!

-Oui et…commençai John.

-Il a reçu une punition de la maitresse! Hahaha. Éclata Sir Arthur.

-Élizabeth…lui dit-je. Pas ‘Maitresse’. Et sur ce, John, retourne a l’auberge. Quand a toi, Sir Arthur, venez avec moi. Nous n’irons pas chez ma tante, tant et aussi longtemps que ta parenté ne sera pas au courant de ce nouveau contrat!

Il grogna et ne pu faire autrement que d’accepter.

Je me retournais et vit John, qui n’avait toujours pas réagis a l’ordre que je venais de lui donner.

-John? Mon ami, qu’y a-t-il? Tu a le feu aux joues! Ne me dit pas que t’a fièvre à empirer? Je te l’avais bien dit!

-J-j’y vais… Dit-il en courant vers l’Auberge qui n’était pas très loin.

-Il m’inquiète. Soufflais-je

-Et tu l’inquiète aussi. Me répondit Sir Arthur.

-Je ne suis pas certaine de comprendre.

-Vous le saurez assez tôt. Me dit-il.

Je savais qu’il me disait sa pour me tracasser, mais j’avais tout de même cette arme puissante contre ce Servo :

-Allons visiter votre parenté. Vu vos connaissances, je suis certaines que vous savez ou ils se trouvent.

Il me regarda, me lançai un petit rire amuser et me dit :

- Ne devrions-nous pas avertir cette charmante domestique?

-Tu a raison.

Je fermais les yeux, me concentrais sur Maria, et souffla.

-Vous avez de drôles méthodes pour communiquer. Dit Sir Arthur.

-J’en ai conscience…

-Tu me fais pitié! Dit-il

Une histoire de SceletoonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant