Chapitre 5

272 6 0
                                    

Ces joues étaient vraiment toute rouges. Il faillait que j’oublie ce détails. Il avait mentionné quelques choses qui me semblaient plus important.

-Elle ne veut pas que tu te souviennes? Demandais-je, essayant de ne pas remarquer ces pommettes rouges.

De quoi se rappelait-il? Qui était ‘Elle’? Mère? Il releva la tête, les joues un peu moins rouges, mais toutes fois, il était un peu en sueur. Avait-il de la fièvre?

-Elle m’a dit que tu aurais besoin de moi…mais Élizabeth…J’ai besoin de toi. Souviens-toi!

-John?

-Je ne me sens pas très bien. Voudrait-tu m’excusé?

Il me quitta, me laissant perplexe. Il descendait vers sa cabine qu’il partageait avec des clandestins. Moi qui restait la, indécise, sur le pont avant, regardait le soleil couchant.

Rust étais cacher dans mon petit manteau. Pour une soirée d’été, le vent se rafraichissait.

Que voulait dire John par ‘ …Élizabeth, j’ai besoin de toi’ et ‘Souvient toi!’.

A qui s’adressait ce ‘souvient toi!’? A John ou à moi?

-Rust, je me demande si je réussirais à trouver toutes ces réponses…

Ma petite lowlight me regardait de son endroit chaud.

Toutes ces histoires différentes et pourtant, je n’avais aucune pistes.

La vie ne me semblait point sereine et aisé.

-Rust, je crois que je vais allez voir John. Il me semblait mal en point.

Ma petite lowlight sortie un peu du manteau, les joues bouffies, et rentra aussitôt.

-Rust?

Un homme m’interpela.

-Puis-je vous porter compagnie? Êtes-vous seule?

-Bien sur, et pour répondre a votre question, non, je suis accompagner de ma servante et mon domestique…

Ca faisais très étrange d’appeler mon ami un ‘domestique’.

-Et vous? Demandais-je

-Moi? Je suis seul ce soir.

Il ne semblait pas si vieux mais quelques choses m’indiquait que j’avais tord…mais quoi?

Sa peau était un peu blanche sans quoi dire qu’il n’était que peu bronzé. Ces yeux étaient d’un noir charbon, tout petit, mais ils brillaient autant que les étoiles qui commençaient à apparaitre. Il était grand et avais la même posture que Joey, le domestique de Père. Quoique les vêtements de l’étranger fussent du même style que Père, sa nationalité était tout autant différentes, selon moi. Comme s’il lisait dans mes penser, il me demanda :

-Vous devez être Canadienne. Je me trompe? Moi, je suis Asiatique.

-Êtes-vous certain de ce que vous avancé? Demandais-je

-Votre posture est droite, vos vêtement, et votre façon de parler est différente des autres nationalités, j’en conclu d’ailleurs que vous êtes d’une famille plutôt aisé. Votre teint pale et clair comme la neige m’indique que vous vivez probablement dans un endroit fermer et la façon dont vous observer ce qui nous entoure nous prouve que vous ne sortez pas souvent. Votre premier voyage? Probablement.

-Vous n’avez pas tord. Puis-je connaitre votre prénom? A qui ais-je l’honneur de parler?

-Veuillez excusez mes manières. Vous avez devant vous, Sir Arthur Woh long.

Une histoire de SceletoonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant