Chapitre 8

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J’entrais dans le jardin menant vers le manoir de ma tante Marie.

Les arbres entouraient une allée qui menait jusqu’au manoir.

J’étais dans un carrosse, car l’allée était très longue.

Mes amis nous suivaient dans un second carrosse. Jérémy m’accompagnais.

-Je suis heureux de te voir parmi nous.

-Et moi de même Jérémy. Lui dis-je en souriant.

-Élizabeth… J’aimerais savoir…

-qu’aimerait-tu savoir? Jérémy? Demandais-je, inquiète du silence qui avait suivi.

Cela ne lui ressemblait pas. Normalement, il savait toujours tout sur tout.

Il s’apprêtait à parler lorsqu’une boulle de poile mauve reluisante, entra dans par une des fenêtres ouverte du carrosse et s’installa sur la tête de mon cousin. Ma lowlight sortit en même temps du petit manteau que j’avais déposé sur la banquette.

-Hé! Kala! Fait un peut attention. S’écriait Jeremy.

-Kala? Demandais-je

-C-c’est…oui, hé bien, Oncle Logan m’a envoyer un Lowlight.

-Père a fait sa ?! Demandais-je, prise par surprise.

Pourquoi Père enverrait-il un Lowlight de nos jardins a Jérémy? C’était étonnant de sa part, lui qui détestait un peu notre famille. Bref, le fait que Père lui envoie un lowlight n’étais rien de personnel celons moi.

-Il me la envoyer car tu en avais un. Je me demande ce qu’il a derrière la tête.

Alors, c’étais personnel. Je m’étais trompé.

-Sérieusement, je me demande si ce point me serait d’utilité…Mais que sait père? Me murmurais-je.

-Pardon? Demandais Jérémy.

-Ce n’est rien! Lui dis-je, un peu trop rapidement.

Lorsque je vis son expression de surprise, je détournais le regard.

-Tu vis dans de belles terres, Jérémy.

-Un jour, tout sa sera a moi. Dit-il.

Les rayons de soleils essayaient de passer aux travers des branches d’arbres. Les feuilles étaient de toute sorte de couleur malgré le petit vent froid et la saison avancé. La maison, qui de loin paraissait grande, étais en réalité, immense! Voir plus grand et gros qu’un château. Il paraissait que les villageois aient du respect envers ma famille. Les Sceletoon régnaient sur plusieurs terres autour du monde entier.

-Je veux vivre ma vie. Avais-je dit avant de sortir du carrosse, aidé par un valet.

Je venais d’entrer dans le ‘palais’ de ma tante quand celle-ci dévalais les grands escaliers centrale qui entourait la grande porte du salon.

-Ma chérie! Tu es e-n-f-i-n arrivé! Comme je suis heureuse! Dit-elle.

-Tante Marie! Je suis si contente de vous voir et toute autant heureuse de passer cette année avec toi.

-Et moi dont, chère enfant!

Elle m’enlaçait et je fis de même. Elle sentait les lilas et étais habillé d’une jolie robe jaune orangé qui mettait en valeurs ses beau cheveux roux, court.

La grande porte s’ouvrit de nouveau et trois personnes entrèrent.

-Tante Marie, me pardonnerait-tu d’avoir emmené trois personnes?

Une histoire de SceletoonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant