chapitre 17

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Le silence commençais a ce faire lourd et les larmes menaçaient de recommencer a couler. Il releva la tête et déposa son front sur mon épaule.

-C’est que ca te blesse, te peine. Que ca te fait mal. Que tu en pleur.

Il soupira.

-Élizabeth, si ta mère nous a choisis, c’est qu’elle a confiance en nous. Autant en toi qu’en moi. Elle nous guide et fait en sorte qu’ils ne nous arrivent pas gros malheur.

-John…

-Élizabeth, tu ne dois pas en vouloir à ta mère. Elle t’aime. Elle ne t’aurait surement jamais obligé à faire cette quête si elle savait que cela pourrais te mettre en danger… Il y a tant de gens qui compte sur toi. Tant de gens qui t’aime…

-Tu ne te rends toi-même pas compte des gens qui t’aime…Ne prend pas ta vie a la légère…

Les sanglots recommençaient, peu à peu.

-Élizabeth…Son ton se faisait doux mais a la fois sévère.

Je lui pris la tête et l’a rapprocha de la mienne, une fois de plus, nos regards se captivaient mutuellement.

-Ne prend pas cet air avec moi…Ordonnais-je, essuyant du revers de ma main mes larmes.

-Quel air?

-Celui qui est inquiet, celui qui veut se faire sévère avec cette voix si douce.

-Comment va t-ont leurs prouver…?

-Je n’en sais rien. Il y a, cependant, une chose dont j’aimerai être certaine…

-Je t’aime…Je t’aime simplement. Je t’aime tellement…Murmura John.

-Pourquoi est-ce si dur de t’aimer? J’en suis bouleverser comme j’en suis si heureuse…

Il scella mes lèvres avec les siennes, étouffant un sanglot qui allait évidement se laisser bercer sur mon visage. J’entourai mes bras autours de ses épaules et lui, autour de ma taille. D’une seule étreinte, ce garçon chamboula ma vie. Le baiser ce fit discret, au début. Puis, Léger. Au fur et à mesure que je sentais mon cœur battre plus vite, les petits baisers se transformèrent-en de plus long et de plus passionné.

Je dus m’éloigné, à regret, pour reprendre un peu d’air.

Le rayon clair de la lune parcourait nos visages, rougis par ces aveux que le silence comprenait.

*Le vent souffle.

 Amitié a cédé place à amour.

 Mais faites attention.

 Orage est prévu.

 Un sentiment.

 Rouge qui s’efface.*

-Agatha…

-Et Antoine. Compléta John.

-Je comprends déjà un peu le paragraphe…Dis-je

-Ils ont chantés ensemble. Remarqua John.

-Bien sur. Tu ne t’en souviens pas? Je viens tous juste de me rappeler qu’ils sont jumeaux et jumelle.

-Non, je ne me souvenais pas. Dit-il d’un air déçu.

-I-il se fait tard. Nous devrions allez nous coucher.

-Tu a raison.

L’atmosphère se faisait plus pesante. Nous venions de parlez comme si rien ne c'étais passer. Devais-je dire quelque chose pour m'assurer qu'il ai bel et bien compris ce que je voulais insinuer et le fait que j'étais plus que sérieuse?

Une histoire de SceletoonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant