Une histoire de Sceletoon

chapitre 20

Malgré le fait de savoir que Joey était depuis tout ce temps le père de John, il fallait a tout prix que je sache pourquoi père avait tué ma grande sœur. J’avais le pressentiment qu’un mensonge m’étais raconter a ce sujet, ou que la vérité étais cacher d’un voile dramatique. Tante Marie m’a toujours dit de me fier sur mon instinct, et ces ce que je faisais en ce moment. Père, qui s’était arrêté un moment pour me fixer d’un regard réprobateur, dirigea son regard vers le petit ruisseau qui parcourait notre jardin. Il avait fait installer des petits bancs ainsi qu’une table a pique-nique en marbre. Il y avait des roses sculpté aux pattes de la table et dans chaque dossier des bancs. Il s’y dirigea et me fit un signe de tête, demandant à ce que je suive son exemple.

-J’adorais ta sœur. Dit-il. C’était tout de même ma fille. Autrefois, je ne vous cachais pas du monde extérieur. Au contraire, je vous encourageai à aller de l’avant, à visiter le monde. Lorsque tu étais tout petite, tu allais souvent jouer dans les grands prés ou commence maintenant le village du bas de la montagne. Tout le monde te connaissait, toi et ta grande sœur. C’étais, évidement, durant la période ou ta mère était…C’est aussi a ce moment que Joey a fait son apparition au village suivi de son petit : John. Je me souviens de ce regard que tu avais lorsque tu racontais les aventures dans les prés, les rivières et les montagnes alentour avec John et ta sœur. L’année avant la mort de ta sœur, elle c’étais éprise d’un jeune garçon. Ah comme ils semblaient heureux. J’étais douteux à l’idée que ma fille, vampire, tombe amoureuse d’un simple humain, mais évidement, ta mère n’était pas contre. Au contraire, elle l’encouragea.

J’écoutais attentivement chaque mots que père disait. L’histoire qu’il avait entreprise m’intéressait au plus haut point. Il toussa un peu avant de reprendre.

-Lorsque ta sœur avoua son amour au jeune humain, il lui répondit que c’étais un sentiment partager. Ils étaient vraiment heureux. Elle décida, quelques temps après, de lui avouer le secret de la famille. Lorsqu’il comprit qu’elle ne rigolait pas, il lui dit que même s’ils avaient cette différence, leur amour ne changerait pas pour autant. Ta sœur était terriblement contente.

-Alors pourquoi est telle morte? Demandais-je. Pourquoi l’avoir tuer?

L’atmosphère était un peu plus lourde.

-Car elle me l’avait demandé. Elle ne pouvait pas vivre des centaines d’année en voyant l’homme qu’elle aimait vieillir et mourir.

-...Mais elle aurait pu…Commençais-je.

Il me coupa en terminant ma phrase :

-Le transformer? Je sais, mais Élizabeth, une des règles les plus respecté de la famille est que la majorité doit consentir à la transformation. Ils voulaient la mariée a un autre, mais elle ne supportait pas l’idée d’être obliger d’aimer quelqu’un qu’elle n’éprouvait envers lui aucun désir ni de sentiment. La famille voulais annoncer officiellement le mariage entre elle et un de tes cousins, du au rassemblement que l’événement aurait causé. La veille, elle est venue me voir avec son amant. Elle m’a supplié de la tuer et son amoureux aussi. Ils ne voulaient pas vivre l’un sans l’autre. Ils ne pouvaient pas.

-Alors tu les as tués. Dis-je d’un ton qui s’était fait un peu trop froid à mon gout.

-Non. C’est ta mère. Je suppose que tu es déjà au courant qu’elle est une déesse parmi la famille.

-Oui, elle le sait parfaitement. Depuis sa transformation, elle le sait. Elle l’a entendu chanter. Dit une voix qui sortait du chemin des lilas.

C’était George.

-Ca a donc déjà commencé. Murmura père.

Je cru comprendre que j’étais la seule surprise par cette nouvelle intervention, car je fus la seule à sursauter.