Chapitre 10

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Je ne savais pas si je devais me sentir embarrasser par ma question, face aux regards de mes deux amis.

-Abby…Cette princesse, dont le paragraphe parle, est toi. Me dit calmement Sir Arthur.

John pouffa de rire.

-Quoi? Dis-je un peu vexer.

-Je ne savais pas que tu étais aussi dense. Riais John.

-Ah toi ferme la! Tu es aussi idiot que moi! Dis-je, franchement vexer.

-Oh, la jeune princesse est malpolie. Riais encore plus John.

- Allez-vous deux! Cesser de vous chamailler et reprenons ou nous étions. Ordonna le Servo. Donc le premier paragraphe était d’Hanna, la mère d’Abby.

Il cita alors le paragraphe :

*Ferme les yeux mon cœur, Espoirs et Joie te trouverons … Fermons les yeux pour le bénéfice de la princesse. N’ose pas oublier, mon amour, que c’est notre princesse. Ferme les yeux pour elle …*

-Elle parle surement à Logan, le père d’Abby. Dit Logan. Elle s’adresse à lui en l’appelant ‘mn amour’. Dit John.

Le Servo acquiesça.

-Alors pourquoi elle ne veut pas qu’il oublie que je suis sa fille. Demandais-je. Il le sait déjà non?

-Oui, c’est clair qu’il est au courant. Mais pour le moment, nous n’avons aucun indice sur le fait qu’elle lui dit de ne pas oublier qui tu es, Abby. Me répondis le Servo.

-Nous ne pouvons pas tirer plus d’informations de ce paragraphe. Dit John, le prochain maintenant.

Je citai :

-* N’ai pas peur, n’ai pas honte. Tous ont leurs droits, tous ont leurs forces. Ferme les yeux et pris pour elle. Elle est notre futur, elle changera le malheur. Elle est notre arme et il est notre bouclier. Ils sont la, ne pleur plus. Il nous protégera et il portera, sur lui, leurs histoires. Ne meurt pas car nous sommes ceux qui chanteront les gloires de leurs guerre…* Chantais-je.

-C’est de Maria. Répondis le Servo.

- Comment le sais-tu? Demandais-je

-Je t’écoute parler, c’est simple. Rias Sir Arthur.

-Elle dit de fermer les yeux et de priez pour ‘elle’. Ce doit être pour Abby. Dit John.

-Véridique. Approuva Sir Arthur.

-Je suis leur ‘arme’ alors? Et ‘il’ est le bouclier.

Il eu un silence. Ensuite, John le brisa :

-C’est moi le bouclier!

-Quoi? Demandais-je.

-Oui, sa a du sens. Je suis descendu de ce paradis et j’ai atterrie sur terre. Devant toi! Abby! C’est moi le bouclier et tu es l’arme

-Sa a du sens. Dis-je. Au juste, Sir Arthur, pourquoi ne nous dit tu pas ce que tu sais?

-Car ce n’est pas à moi de le découvrir, maitresse.

-Toi et ton ‘maitresse’…Dis-je. Bon, revenons aux faits. John, tu es celui qui porte sur toi nos deux histoires. Cela signifie quoi?

-Pour être franc, je ne sais pas. Je ne me souviens même plus de mon passer a l’exception du ‘paradis’.

-C’est grâce a lui que vous allez vous souvenir de votre passer. De ces souvenirs que vous rechercher. Clarifia Sir Arthur.

-Merci, Servo, sa nous éclair dans nos recherche. Dit sarcastiquement John.

Une histoire de SceletoonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant