Une histoire de Sceletoon

chapitre 21

Je voyais au loin père et George parler comme si de rien n’était. N’avaient t’ils pas conscience du changement radical de l’atmosphère et de l’allure que le paysage donnait?

J’allais à leur rencontre mais aucun des deux ne semblait voir que j’étais la. J’avais beau parler ou crier, ils me donnaient l’impression de ne rien entendre. Pourtant, ils se parlaient.

* Ne perd pas le sens de notre vie. Chante pour nous sauver. Près de notre terrain d’enfant, trouve la clé que nous avons perdue. Abby, cours autant pour te sauver et garde ce souvenir de moi*

Oh non. John venait de retrouver ce qu’il avait chanté il y a de cela des années. Je ne comprenais pas trop le sens de ses paroles. Il me semble qu’il me passait le message de l’oublier et de m’enfuir. Je ne pouvais pas. Trop de gens avaient souffert pour ce que nous étions en train de vivre. Je devais retrouver John pour le sauver et prouver aux Dieux que notre amour était d’un pur infinitif. Pourquoi me demandait-il de m’enfuir et de ne garder que son souvenir? Je devais à tout prix le retrouver. Maria me l’avait demandé et je ne pouvais laisser John. Joey avait-il conscience qu’il risquait de tuer John? Je ne crois pas. Joey avait toujours été la pour moi et père. Il avait veillé sur nous depuis tant d’année. Les dieux avaient surement pris possession de son corps et sur ce fait, Joey avait perdu ca conscience envers notre monde. Je me dirigeai vers le jardin de mère. La ou les paragraphes avaient commencé. Je passais des rosiers et des chemins de fleurs qui commençaient à fanée. Le Ciel ce faisait plus sombre malgré le fait que le soleil devenait d’un rouge plus perçant. En courant, j’avais l’impression de m’éloignée du jardin de ma mère. Je ralentis le pas. Confuse par cette certaine illusion que cet espace temps créait. En ralentissant, j’avais maintenant l’impression d’arrivé plus vite au jardin de mère. Cet espace temps était officiellement étrange. En quelques minutes, j’arrivai au jardin tant convoité par mes rêves et mes visions. J’étais bizarrement essouffler.

On pouvait facilement dire que le monde était à l’ envers.

Le vent était presque imperceptible. Le bruit était de temps en temps intensifié et d’autre moment beaucoup plus discret. La tête me tournais légèrement par la complexité de ce ‘monde’ que les dieux avaient modifié.

Le jardin de mère était étrangement paisible. Lorsque j’entrai au milieu de ce petit jardin, je pouvais apercevoir le soleil d’un jaune éclatant. Les animaux et les insectes bougeaient de nouveau. Le vent y était agréable et les bruit reprenaient leurs tonalités que j’avais connues. Tout était incontestablement insolite. Je ressortie de ce jardin et ce qui un peu plus tôt m’étais totalement inconnu, refit son apparition. Le soleil repris sa couleur sanglante et les bruit, une tonalité incontrôlé. J’avais l’impression de mélanger les buts de ma venu dans le jardin. Pourquoi étais-je donc sorti?

Puis, la vision de Maria malade, me revint. Le Servo inquiet, ce qui n’étais pas normal, George et père discutant tranquillement comme si je n’étais pas a leurs coter et…Qui avais—je oublier? Je recherchais le but de cette quête…qu’elle quête?

J’entendis alors ma tante me dire : Fit toi à ton instinct. Comme ta mère.

Je fermai les yeux et chercha dans mon cœur ce que j’étais sur le point de tout oublier.

…

John. J’aimais cet homme. Cet ange. Il m’aimait aussi. Autant que moi.

Il courait un danger insoupçonné. Puis, tout me revint. Des penser que j’avais même enfouit en moi depuis le temps de mère. Le temps passer en sa compagnie me revint.

Je me dirigeai vers son jardin et y entra une secondes fois en quelques minutes. Elle était si souriante. Toujours enjouée. J’ouvris les yeux et vit ma grande sœur aux coter d’une Abby un peu plus petite. Les enfants et les servantes de ma mère étaient tous la. Père y compris. Nous avions l’air tous heureux. George étais la a cueillir une rose pour l’offrir a une servante. Je me souviens. Ma grande sœur était la avec son amour. Son humain.