Une histoire de Sceletoon

chapitre 19

-C’est que…

John arriva à mon secours:

-La tempête avait abimé la fleur de miss Sceletoon.

Joey sorti de l’ombre et s’inclina devant père avant de soulever John par le collet.

-De qui détiens-tu l’autorisation de parlez a Sir Logan? Grogna Joey entre ses dents.

Je ne l’avais jamais vue de cette manière. Il avait…changer.

-J-Joey…je t’en pris…ne parle pas de cette façon a…John.

Mon père, surpris s’écrias le nom de mon amoureux.

Joey ne lâchai pas du regard, John. Mon père c’étais soudainement lever et j’étais maintenant en plein milieu d’une scène dramatiser par mon père et Joey.

Quelques minutes plus tard, nous étions moi, John et père, assis autour du foyer. John a mes coter, regardant de temps en temps l’endroit ou Joey avait disparut, espérant surement qu’il ne réapparaisse pas. Après d’interminable minutes qui nous semblaient, a lui et a moi, une éternité, Père ce mit à parler :

-Je te connais, mon garçon.

Joey et moi s’exclamions de surprise. –D-d’où me connaissez-vous…monsieur? Demanda, hésitant, John.

-Ne soit pas si craintif, ria Père. Je ne suis pas aussi méchant qu’on le prétend…enfin, pas souvent.

Il n’y avait en ces propos, rien de bien drôle. Pourquoi riait-il?

-Père, s’il vous plait, répondez…Osais-je demander.

Il cessa de rire et me fixa.

-C’étais un des enfants que ta chère défunte mère avait pris sous son aile. Il est aussi…

Il coupa sa phrase.

-Je te connais car tu étais en quelque sorte mon ‘apprenti’. Je me souviens, tu adorais roder autour de ma bibliothèque lorsque j’y lisais un bel ouvrage. Lors du massacre…

Il avait de la difficulté à parler. Ca ce voyait à l’ œil nu.

-Continuez, Sir…Je vous pris. Implora John.

-Je n’ai pas pu te tuer, et Hanna…Ma fait jurer de te laisser en vie…Je ne pouvais simplement pas…Et Élizabeth…elle…Elle c’est mise entre toi et moi lorsque la lame a failli te transpercer. Elle t’aimait déjà…à cette époque.

John rougis, accompagné de moi. Nous nous sentions vraiment prédestiner.

-Alors…Tu connaissais John…commençais-je. J’ai une question. Dis-je, hésitante.

-Que puis-je pour toi? Demanda père, douteux de ce que j’allais demander.

-Pourquoi ne rien me dire sur le temps de maman?

Il était devenu blanc comme un drap. L’air c’étais soudainement refroidi et les lueurs des bougies avaient baissé d’intensité.  Tout allait comme mon père l’entendait.

-Parce que je ne pouvais simplement pas. Fini t’il par me répondre.

-Tu dis ca comme si c’étais évident. Dis-je offusquer.

-Ne comprend tu pas que j’aimais plus que tout au monde ta mère? Je ne vivais que pour elle. Lorsqu’elle est…Enfin…

-Morte.

J’avais prononcé ces mots d’une tel froideur que moi-même j’en eu des frissons.

-Oui. J’étais choqué. J’avais perdu une épouse formidable, ma première amie et aussi ma meilleure amie. Elle était tout pour moi. Comprend moi, Élizabeth, je ne voulais pas accepter le fait qu’elle était…partie…